On dit que le désœuvrement use l’homme, mais on oublie aussi que l’exil annihile le sens de réflexion de nombreuses personnes. Le compatriote Abdelkerim Yacoub soit disant opposant politique n’a aucun but ni objectifs par rapport à son opposition. Pour lui, on s’oppose pour la forme, on s’oppose pour porter la veste et jouir des privilèges chimériques de cette façon de vivre.
À peine installé, le premier ministre Joseph Djimrangar Dadnadj trouve devant lui un rêveur qui croit connaitre les Hommes par la simple turpitude de sa fumeuse pensée comme s’il pouvait donner plus que des Hommes comme Dadnadji, cet ancien administrateur civil intégré à la fonction publique tchadienne en 1975. Ce commis model de l’état n’a fait que remplir sa tache avec rigueur et savoir faire notamment à l’université du Tchad et à l’ENAM. Beaucoup d’anciens étudiants gardent un souvenir d’un homme rigoureux dans le travail, méthodique, mais aussi affable et discret.
Dire qu’il est le « plus mauvais » Premier Ministre relève de la phobie de critiquer pour ne rien dire. Il est complètement erroné de soutenir des telles allégations mensongères et dénuées de sens qui ne font qu’avilir son auteur et nous réconforter dans notre pensée par rapport à l’étroitesse d’ esprit de son auteur. Abdelkerim Yacoub est pire et dangereux comme les islamistes, car son degré de discernement est notoirement à déplorer. Doit-on maintenant avoir un physique d’ ange , une beauté refaite au scalpel et rembourrée au Boto pour accéder à un poste de responsabilité au Tchad? Attaquer quelqu’un pour son apparence physique quelle qu’elle soit, n’honore aucunement son auteur. En proférant des telles insanités, Abdelkerim Yacoub s’attaque à toute une communauté pour son profil ethnique et régional, et c’est triste qu’au 21e siècle, des individus de cette sinistre augure existe encore. Il n’est qu’un obscure nostalgique des tristes événements de 1979 où des Tchadiens ont été endoctrinés à s’entretuer et s’exclure sur la base d’apparence physique et d’appartenance confessionnelle.
Moussa Guetane Moussa
À peine installé, le premier ministre Joseph Djimrangar Dadnadj trouve devant lui un rêveur qui croit connaitre les Hommes par la simple turpitude de sa fumeuse pensée comme s’il pouvait donner plus que des Hommes comme Dadnadji, cet ancien administrateur civil intégré à la fonction publique tchadienne en 1975. Ce commis model de l’état n’a fait que remplir sa tache avec rigueur et savoir faire notamment à l’université du Tchad et à l’ENAM. Beaucoup d’anciens étudiants gardent un souvenir d’un homme rigoureux dans le travail, méthodique, mais aussi affable et discret.
Dire qu’il est le « plus mauvais » Premier Ministre relève de la phobie de critiquer pour ne rien dire. Il est complètement erroné de soutenir des telles allégations mensongères et dénuées de sens qui ne font qu’avilir son auteur et nous réconforter dans notre pensée par rapport à l’étroitesse d’ esprit de son auteur. Abdelkerim Yacoub est pire et dangereux comme les islamistes, car son degré de discernement est notoirement à déplorer. Doit-on maintenant avoir un physique d’ ange , une beauté refaite au scalpel et rembourrée au Boto pour accéder à un poste de responsabilité au Tchad? Attaquer quelqu’un pour son apparence physique quelle qu’elle soit, n’honore aucunement son auteur. En proférant des telles insanités, Abdelkerim Yacoub s’attaque à toute une communauté pour son profil ethnique et régional, et c’est triste qu’au 21e siècle, des individus de cette sinistre augure existe encore. Il n’est qu’un obscure nostalgique des tristes événements de 1979 où des Tchadiens ont été endoctrinés à s’entretuer et s’exclure sur la base d’apparence physique et d’appartenance confessionnelle.
Moussa Guetane Moussa