Le verdict a été prononcé par le tribunal de grande instance de Kinshasa/Gombe à l’issue d’un procès en flagrance. Les faits remontent au 14 avril dernier. M. Mondo avait accompagné à l’hôpital sa femme malgache, présentant des blessures au visage.
La victime, rencontrée en Iran, est décédée des suites de ses coups. Les proches de la défunte accusaient l’époux de violences conjugales récurrentes. Arrêté, l’ancien membre du gouvernement congolais a reconnu avoir battu son épouse, décédée à l’hôpital de Kinshasa.
Le tribunal a retenu la prévention de féminicide, condamnant sévèrement Moussa Mondo à 20 ans de prison ferme assortis d’une amende d’un million de francs. Une décision forte dans un pays où les violences faites aux femmes restent trop souvent impunies.
La victime, rencontrée en Iran, est décédée des suites de ses coups. Les proches de la défunte accusaient l’époux de violences conjugales récurrentes. Arrêté, l’ancien membre du gouvernement congolais a reconnu avoir battu son épouse, décédée à l’hôpital de Kinshasa.
Le tribunal a retenu la prévention de féminicide, condamnant sévèrement Moussa Mondo à 20 ans de prison ferme assortis d’une amende d’un million de francs. Une décision forte dans un pays où les violences faites aux femmes restent trop souvent impunies.