La tension monte en République démocratique du Congo. Ce dimanche 17 novembre, en plein cœur d'une messe célébrant le 65ème anniversaire du diocèse de Goma, des jeunes militants soutenant l'opposant Moïse Katumbi ont été interpellés par les forces de l'ordre.
Selon les témoignages, les jeunes manifestants ont profité de cet événement religieux pour exprimer leur opposition à un projet de révision constitutionnelle, en brandissant des pancartes à cet effet. Cette action, menée en présence des autorités provinciales, a rapidement dégénéré, entraînant l'arrestation de six militants.
Un contexte politique tendu
Cette nouvelle arrestation s'inscrit dans un contexte politique déjà tendu en RDC. Les projets de révision constitutionnelle sont régulièrement au cœur des débats et suscitent de vives réactions de la part de l'opposition et de la société civile, qui y voient une manœuvre visant à permettre au pouvoir en place de se maintenir.
La répression s'intensifie ?
Cette interpellation soulève des questions sur la liberté de manifestation et le respect des droits de l'homme en RDC. Les défenseurs des droits de l'homme dénoncent régulièrement des actes de répression à l'encontre des opposants politiques et des militants de la société civile.
Les réactions se multiplient
Les réseaux sociaux se sont rapidement emparés de cette affaire, suscitant une vague d'indignation et de solidarité envers les militants arrêtés. Les partisans de Moïse Katumbi ont appelé à la libération immédiate des détenus et à la cessation des poursuites politiques.
Selon les témoignages, les jeunes manifestants ont profité de cet événement religieux pour exprimer leur opposition à un projet de révision constitutionnelle, en brandissant des pancartes à cet effet. Cette action, menée en présence des autorités provinciales, a rapidement dégénéré, entraînant l'arrestation de six militants.
Un contexte politique tendu
Cette nouvelle arrestation s'inscrit dans un contexte politique déjà tendu en RDC. Les projets de révision constitutionnelle sont régulièrement au cœur des débats et suscitent de vives réactions de la part de l'opposition et de la société civile, qui y voient une manœuvre visant à permettre au pouvoir en place de se maintenir.
La répression s'intensifie ?
Cette interpellation soulève des questions sur la liberté de manifestation et le respect des droits de l'homme en RDC. Les défenseurs des droits de l'homme dénoncent régulièrement des actes de répression à l'encontre des opposants politiques et des militants de la société civile.
Les réactions se multiplient
Les réseaux sociaux se sont rapidement emparés de cette affaire, suscitant une vague d'indignation et de solidarité envers les militants arrêtés. Les partisans de Moïse Katumbi ont appelé à la libération immédiate des détenus et à la cessation des poursuites politiques.