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Plusieurs sources concordantes, nous apprennent la radiation du commandant Rachid Hachi des cadres des officiers de l’Armée Nationale après la publication d’une nouvelle intitulée « Les Al Capone du lait » qu'il décrit lui-même comme un récit d'une "pure fiction".
Commandant, chef de presse et porte-parole de l'armée mais aussi écrivain et auteurs de plusieurs livres, Rachid Hachi aurait été arrêté le mercredi 14 mars et détenu jusqu'au jeudi 15 mars 2018 dans les locaux de la SRD selon les informations dont nous disposons. C'est lors de cette détention que le procureur lui aurait appris sa radiation de l'armée. D'ailleurs, son bureau et sa maison auraient été perquisitionnés par la même occasion.
L’ODDH est profondément préoccupé par la multiplication de l'arbitraire touchant les citoyens djiboutiens sans distinction.
L’ODDH dénonce et condamne comme à son habitude les violations répétées des droits fondamentaux et la mise entre parenthèses du respect des droits humains et de la démocratie.
L’ODDH recommande au pouvoir de se conformer aux dispositions constitutionnelles relatives à la protection des citoyens, au respect des libertés fondamentales, à la Charte Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples, au Pacte international relatif aux droits civils et politiques ainsi qu’à la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme.
Agir pour la démocratie, la dignité et la justice
Farah Abdillahi Miguil
Président de l'ODDH.
Commandant, chef de presse et porte-parole de l'armée mais aussi écrivain et auteurs de plusieurs livres, Rachid Hachi aurait été arrêté le mercredi 14 mars et détenu jusqu'au jeudi 15 mars 2018 dans les locaux de la SRD selon les informations dont nous disposons. C'est lors de cette détention que le procureur lui aurait appris sa radiation de l'armée. D'ailleurs, son bureau et sa maison auraient été perquisitionnés par la même occasion.
L’ODDH est profondément préoccupé par la multiplication de l'arbitraire touchant les citoyens djiboutiens sans distinction.
L’ODDH dénonce et condamne comme à son habitude les violations répétées des droits fondamentaux et la mise entre parenthèses du respect des droits humains et de la démocratie.
L’ODDH recommande au pouvoir de se conformer aux dispositions constitutionnelles relatives à la protection des citoyens, au respect des libertés fondamentales, à la Charte Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples, au Pacte international relatif aux droits civils et politiques ainsi qu’à la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme.
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Farah Abdillahi Miguil
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