Le président du parti UNDR, le député Saleh Kebzabo, s'est exprimé vendredi à l'occasion du nouvel an. Il a estimé que le gouvernement "doit s'en aller et céder les rênes à d'autres tchadiens qui aiment davantage leur pays" et qui "sont en mesure de le changer favorablement".
Kebzabo a dénoncé "l'incompétence", "l'amateurisme" et la "mauvaise gouvernance" qui ont "généré tous ces problèmes que les tchadiens vivent".
"Les injustices que vivent les tchadiens ne sont plus tolérables. Les tchadiens veulent vivre libres, manger tous les jours à leur faim, avoir des soins de santé partout dans le pays, envoyer leurs enfants dans de bonnes écoles, se déplacer librement dans leur pays", a affirmé le président de l'UNDR.
Saleh Kebzabo s'est insurgé contre un système "injuste", à "double niveau". Selon lui, "les tchadiens ne veulent plus d'un système où subsiste encore l'esclavage dans leur propre pays, où il y a encore des tchadiens qui sont soumis aux travaux forcés".
De l'avis de Kebzabo, le Forum est "un instrument illégal, illégitime, de terreur", que le chef de l'État "manipule pour endormir les tchadiens et leur imposer des mesures impopulaires".
"Tous ces maux sont tout simplement voulus", a relevé Saleh Kebzabo.
Kebzabo a dénoncé "l'incompétence", "l'amateurisme" et la "mauvaise gouvernance" qui ont "généré tous ces problèmes que les tchadiens vivent".
"Les injustices que vivent les tchadiens ne sont plus tolérables. Les tchadiens veulent vivre libres, manger tous les jours à leur faim, avoir des soins de santé partout dans le pays, envoyer leurs enfants dans de bonnes écoles, se déplacer librement dans leur pays", a affirmé le président de l'UNDR.
Saleh Kebzabo s'est insurgé contre un système "injuste", à "double niveau". Selon lui, "les tchadiens ne veulent plus d'un système où subsiste encore l'esclavage dans leur propre pays, où il y a encore des tchadiens qui sont soumis aux travaux forcés".
De l'avis de Kebzabo, le Forum est "un instrument illégal, illégitime, de terreur", que le chef de l'État "manipule pour endormir les tchadiens et leur imposer des mesures impopulaires".
"Tous ces maux sont tout simplement voulus", a relevé Saleh Kebzabo.