Faire connaître les différents moyens de contraception aux populations de manière à limiter le nombre de grossesses non-désirées. Permettre au couple d’adopter une méthode de contraception de leur choix.
Tel est l’objectif de la célébration officielle de la Journée mondiale de la contraception, la première du genre en Côte d’Ivoire. C’était le 26 septembre à l’espace Figayo d’Abidjan-Yopougon, sous le thème : « Investir dans la contraception, c’est garantir l’avenir ».
Durant trois jours, soit du 26 au 28 septembre, les populations ont droit à des consultations gratuites de contraception, grâce aux cliniques mobiles sur place, a indiqué le directeur exécutif de l’Association ivoirienne pour le bien-être familial (Aibef), Allo Richard.
Il a souligné que l’implication des Professionnels des médias engagés pour la santé de la mère et de l’enfant en Côte d’Ivoire (Pmesmeci) dans la promotion des méthodes contraceptives modernes, est un atout. En ce sens qu’ils jouent un rôle déterminant dans des changements de comportement des populations et des décideurs. Grâce aux campagnes de communication véhiculées par leurs supports (Radio, télé, presse écrite et en ligne…).
Au non de la ministre de la Santé et de l’Hygiène publique, le directeur général adjoint de l’hygiène publique, Dr Koné Blaise a appelé les populations à fréquenter les centres de santé, les antennes de l’Aibef, ainsi que les cliniques mobiles, de sorte à planifier les naissances. Il a exprimé la reconnaissance du ministère aux différents partenaires techniques et financiers.
Selon les chiffres communiqués par la Direction de coordination du Programme national santé de la reproduction et de planification familiale, la prévalence contraceptive actuelle est de 14% contre un besoin non-satisfait estimé à 27%. Quant à la mortalité maternelle, elle est estimée à 614 décès pour 100.000 naissances vivantes.
Tel est l’objectif de la célébration officielle de la Journée mondiale de la contraception, la première du genre en Côte d’Ivoire. C’était le 26 septembre à l’espace Figayo d’Abidjan-Yopougon, sous le thème : « Investir dans la contraception, c’est garantir l’avenir ».
Durant trois jours, soit du 26 au 28 septembre, les populations ont droit à des consultations gratuites de contraception, grâce aux cliniques mobiles sur place, a indiqué le directeur exécutif de l’Association ivoirienne pour le bien-être familial (Aibef), Allo Richard.
Il a souligné que l’implication des Professionnels des médias engagés pour la santé de la mère et de l’enfant en Côte d’Ivoire (Pmesmeci) dans la promotion des méthodes contraceptives modernes, est un atout. En ce sens qu’ils jouent un rôle déterminant dans des changements de comportement des populations et des décideurs. Grâce aux campagnes de communication véhiculées par leurs supports (Radio, télé, presse écrite et en ligne…).
Au non de la ministre de la Santé et de l’Hygiène publique, le directeur général adjoint de l’hygiène publique, Dr Koné Blaise a appelé les populations à fréquenter les centres de santé, les antennes de l’Aibef, ainsi que les cliniques mobiles, de sorte à planifier les naissances. Il a exprimé la reconnaissance du ministère aux différents partenaires techniques et financiers.
Selon les chiffres communiqués par la Direction de coordination du Programme national santé de la reproduction et de planification familiale, la prévalence contraceptive actuelle est de 14% contre un besoin non-satisfait estimé à 27%. Quant à la mortalité maternelle, elle est estimée à 614 décès pour 100.000 naissances vivantes.