Ils sont plus d’une centaine, dont environ 70 étudiants, des Congolais de Brazzaville basés à Guangzhou soit pour des affaires, soit pour toute autre raison. Le président de la République en a bien voulu s’entretenir avec eux pour, comme il est de tradition partout où il est en déplacement.
Certains se sont établis à Guangzhou depuis plus de 20 ans, d’autres un peu moins. Mais tous avaient des doléances à exprimer au président de la République. Ainsi, prenant à leur compte l’intérêt du séjour présidentiel dans leur ville, les « Congolais de Guangzhou » ont, avec émotion, salué la présence de Denis Sassou N’Guesso qui, selon eux est la preuve de « l’amour qu’il porte en ses compatriotes ».
Au cours de cette rencontre, l’occasion était toute indiquée à la diaspora congolaise de dérouler leur cahier de charges. Ainsi a-t-elle sollicité l’ouverture d’une banque commerciale congolaise en Chine, notamment à Guangzhou, afin de faciliter l’accès des commerçants aux crédits.
Tout en souhaitant que, le Congo qui accorde des visas long séjour aux hommes d’affaires chinois travaillant sur son territoire, devait exiger le principe de réciprocité en la matière, à son partenaire chinois, parce que, ont-ils expliqué, il arrive que leur pays d’accueil accorde à certains étudiants des visas de six mois, ce qui ne reflète pas la durée des études.
L’absence d’un conseiller culturel à l’ambassade du Congo en Chine a été également relevée comme difficulté à laquelle le président de la République a été appelé à apporter une solution. Il en est de même pour la ligne de transport aérien Brazzaville – Guangzhou, ainsi que les « difficiles» de conditions de retrait des marchandises au port autonome de Pointe-Noire.
L’ouverture d’un consulat général du Congo à Guangzhou est la preuve que le chef a sait scruter l’horizon, ont-ils déclaré, en évoquant le caractère commercial et économique de cette ville. Eux qui se sentaient « abandonnés » se sont, soudains rassurés que le pays ne les a pas oubliés.
A son tour, le président de la République qui a été attentif aux préoccupations exprimées par ses compatriotes, en a pris acte. Observant que ses compatriotes s’affichent unis, il les a invités à rester unis et solidaires, sans clivage politique et/ou ethniques. « Ici, vous n’êtes ni du nord, ni du sud, de l’ouest ou de l’est. Vous êtes simplement fils d’un même pays, le Congo», a martelé le président de la République.
Passant en revue la coopération entre le Congo et la Chine dont la célébration du cinquantième anniversaire est à la base de sa visite d’Etat en Chine, Denis Sassou N’Guesso a demandé à ses compatriotes de « ne pas tourner le dos au pays ».
Il a invité les commerçant à nouer des partenariats avec les hommes d‘affaires chinois parce que, selon lui, le partenariat ne devrait pas se limiter entre Etats ; il inclut également des initiatives privées. Aux étudiants, le chef de l’Etat a demandé de bien se former pour servir le pays demain.
La Chine est un pays amis qui a accepté de vous accueillir, vous devez y vivre en conformité avec ses lois et règlements, a dit le président de la République. Vous ne pouvez pas souiller l’honneur du pays ni brouiller nos relations par des comportements indignes, a-t-il insisté.
Certains se sont établis à Guangzhou depuis plus de 20 ans, d’autres un peu moins. Mais tous avaient des doléances à exprimer au président de la République. Ainsi, prenant à leur compte l’intérêt du séjour présidentiel dans leur ville, les « Congolais de Guangzhou » ont, avec émotion, salué la présence de Denis Sassou N’Guesso qui, selon eux est la preuve de « l’amour qu’il porte en ses compatriotes ».
Au cours de cette rencontre, l’occasion était toute indiquée à la diaspora congolaise de dérouler leur cahier de charges. Ainsi a-t-elle sollicité l’ouverture d’une banque commerciale congolaise en Chine, notamment à Guangzhou, afin de faciliter l’accès des commerçants aux crédits.
Tout en souhaitant que, le Congo qui accorde des visas long séjour aux hommes d’affaires chinois travaillant sur son territoire, devait exiger le principe de réciprocité en la matière, à son partenaire chinois, parce que, ont-ils expliqué, il arrive que leur pays d’accueil accorde à certains étudiants des visas de six mois, ce qui ne reflète pas la durée des études.
L’absence d’un conseiller culturel à l’ambassade du Congo en Chine a été également relevée comme difficulté à laquelle le président de la République a été appelé à apporter une solution. Il en est de même pour la ligne de transport aérien Brazzaville – Guangzhou, ainsi que les « difficiles» de conditions de retrait des marchandises au port autonome de Pointe-Noire.
L’ouverture d’un consulat général du Congo à Guangzhou est la preuve que le chef a sait scruter l’horizon, ont-ils déclaré, en évoquant le caractère commercial et économique de cette ville. Eux qui se sentaient « abandonnés » se sont, soudains rassurés que le pays ne les a pas oubliés.
A son tour, le président de la République qui a été attentif aux préoccupations exprimées par ses compatriotes, en a pris acte. Observant que ses compatriotes s’affichent unis, il les a invités à rester unis et solidaires, sans clivage politique et/ou ethniques. « Ici, vous n’êtes ni du nord, ni du sud, de l’ouest ou de l’est. Vous êtes simplement fils d’un même pays, le Congo», a martelé le président de la République.
Passant en revue la coopération entre le Congo et la Chine dont la célébration du cinquantième anniversaire est à la base de sa visite d’Etat en Chine, Denis Sassou N’Guesso a demandé à ses compatriotes de « ne pas tourner le dos au pays ».
Il a invité les commerçant à nouer des partenariats avec les hommes d‘affaires chinois parce que, selon lui, le partenariat ne devrait pas se limiter entre Etats ; il inclut également des initiatives privées. Aux étudiants, le chef de l’Etat a demandé de bien se former pour servir le pays demain.
La Chine est un pays amis qui a accepté de vous accueillir, vous devez y vivre en conformité avec ses lois et règlements, a dit le président de la République. Vous ne pouvez pas souiller l’honneur du pays ni brouiller nos relations par des comportements indignes, a-t-il insisté.