Le Quotidien du Peuple
12 juillet, le tribunal d'arbitrage sur la mer de Chine méridionale, initié par les Philippines, a rendu une décision illégale et invalide. Ce soi-disant arbitrage sur la mer de Chine méridionale est une provocation drapée dans le manteau du droit, et son essence consistait à nier les droits de souveraineté et les intérêts maritimes de la Chine sur les îles et récifs de la mer de Chine méridionale. Selon beaucoup d'experts sur la mer de Chine méridionale qui se sont entretenus avec le journaliste, la souveraineté territoriale et des droits et intérêts maritimes de la Chine en mer de Chine méridionale se sont constitués tout au long d’une pratique qui compte deux mille ans d'histoire, ils disposent d’une base historique suffisante, et ce n’est pas cette soi-disant décision qui pourra les nier.
Li Guoqiang, directeur adjoint de l'Institut d’études sur les zones frontières de la Chine de l’Académie chinoise des sciences sociales, a déclaré dans une interview avec le journaliste que, la soi-disant décision du tribunal fait constamment référence à de soi-disant preuves historiques, cependant, on n’y voit absolument pas à quel point le tribunal comprend l'histoire de la mer de Chine méridionale, mais qu’il a délibérément ignoré les faits, niant de façon injustifiée les droits de la Chine. Au sein des deux mille ans d'histoire de la Chine, il existe des preuves que, pour un grand nombre d'îles de la mer de Chine méridionale, la zone de la mer de Chine méridionale, ce sont les Chinois qui les ont découverts les premiers, les ont nommées les premiers, et qu’ils ont été des pionniers dans leur développement et leur exploitation à des fins pacifiques. Avant même que les pays concernés n’établissent des dynasties dans la région, le peuple chinois avait déjà montré par des actions concrètes que la mer de Chine méridionale était sa patrie, et que c’était une zone de pêche et d’activité traditionnelle de la Chine.
La Chine a toujours protégé fermement sa souveraineté territoriale et ses droits et intérêts maritimes en mer de Chine méridionale. Hu Dekun, directeur de l’Institut de recherche sur les frontières et les mers de Chine à l’Université de Wuhan, a précisé aux journalistes qu’en 1939, le Japon a envahi les îles chinoises Xisha et Nansha. En novembre 1943, lors du Sommet du Caire entre la Chine, les Etats-Unis et la Grande-Bretagne, le gouvernement chinois a formulé des exigences sur la restitution de toutes les terres perdues, qui ont été approuvées par les États-Unis et le Royaume-Uni. La « Déclaration du Caire » et la « Proclamation de Potsdam » constituèrent alors, pour la récupération par la Chine des îles de la mer de Chine méridionale, un appui du droit international et un engagement solennel de la communauté internationale.
La souveraineté de la Chine sur les îles de la mer de Chine méridionale est largement reconnue par la communauté internationale. Après la Seconde Guerre mondiale, la Chine a récupéré la souveraineté sur les îles de la mer de Chine méridionale et y a rétabli sa souveraineté ; de nombreux pays ont reconnu que les îles de la mer de Chine méridionale étaient un territoire chinois. Li Guoqiang a souligné que, tout au long de l'histoire, le Vietnam, les Philippines et autres pays riverains de la mer de Chine méridionale n’ont jamais soulevé la moindre objection à la souveraineté de la Chine sur les îles de la mer de Chine méridionale ni à la « ligne intermittente » en mer de Chine méridionale. Un grand nombre d'archives, de livres et de cartes étrangers montrent sans conteste que, la souveraineté sur les îles Xisha et Nansha appartient bien à la Chine.
John Anthony Carty, professeur à l'Université Tsinghua a de son côté fait remarquer que ces dernières années, des archives découvertes au Royaume-Uni, en France, au Japon et dans d’autres pays, ont prouvé que les Chinois sont actifs depuis des milliers d'années en mer de Chine méridionale, et qu’elles constituent un très importants matériel sur ce sujet.
12 juillet, le tribunal d'arbitrage sur la mer de Chine méridionale, initié par les Philippines, a rendu une décision illégale et invalide. Ce soi-disant arbitrage sur la mer de Chine méridionale est une provocation drapée dans le manteau du droit, et son essence consistait à nier les droits de souveraineté et les intérêts maritimes de la Chine sur les îles et récifs de la mer de Chine méridionale. Selon beaucoup d'experts sur la mer de Chine méridionale qui se sont entretenus avec le journaliste, la souveraineté territoriale et des droits et intérêts maritimes de la Chine en mer de Chine méridionale se sont constitués tout au long d’une pratique qui compte deux mille ans d'histoire, ils disposent d’une base historique suffisante, et ce n’est pas cette soi-disant décision qui pourra les nier.
Li Guoqiang, directeur adjoint de l'Institut d’études sur les zones frontières de la Chine de l’Académie chinoise des sciences sociales, a déclaré dans une interview avec le journaliste que, la soi-disant décision du tribunal fait constamment référence à de soi-disant preuves historiques, cependant, on n’y voit absolument pas à quel point le tribunal comprend l'histoire de la mer de Chine méridionale, mais qu’il a délibérément ignoré les faits, niant de façon injustifiée les droits de la Chine. Au sein des deux mille ans d'histoire de la Chine, il existe des preuves que, pour un grand nombre d'îles de la mer de Chine méridionale, la zone de la mer de Chine méridionale, ce sont les Chinois qui les ont découverts les premiers, les ont nommées les premiers, et qu’ils ont été des pionniers dans leur développement et leur exploitation à des fins pacifiques. Avant même que les pays concernés n’établissent des dynasties dans la région, le peuple chinois avait déjà montré par des actions concrètes que la mer de Chine méridionale était sa patrie, et que c’était une zone de pêche et d’activité traditionnelle de la Chine.
La Chine a toujours protégé fermement sa souveraineté territoriale et ses droits et intérêts maritimes en mer de Chine méridionale. Hu Dekun, directeur de l’Institut de recherche sur les frontières et les mers de Chine à l’Université de Wuhan, a précisé aux journalistes qu’en 1939, le Japon a envahi les îles chinoises Xisha et Nansha. En novembre 1943, lors du Sommet du Caire entre la Chine, les Etats-Unis et la Grande-Bretagne, le gouvernement chinois a formulé des exigences sur la restitution de toutes les terres perdues, qui ont été approuvées par les États-Unis et le Royaume-Uni. La « Déclaration du Caire » et la « Proclamation de Potsdam » constituèrent alors, pour la récupération par la Chine des îles de la mer de Chine méridionale, un appui du droit international et un engagement solennel de la communauté internationale.
La souveraineté de la Chine sur les îles de la mer de Chine méridionale est largement reconnue par la communauté internationale. Après la Seconde Guerre mondiale, la Chine a récupéré la souveraineté sur les îles de la mer de Chine méridionale et y a rétabli sa souveraineté ; de nombreux pays ont reconnu que les îles de la mer de Chine méridionale étaient un territoire chinois. Li Guoqiang a souligné que, tout au long de l'histoire, le Vietnam, les Philippines et autres pays riverains de la mer de Chine méridionale n’ont jamais soulevé la moindre objection à la souveraineté de la Chine sur les îles de la mer de Chine méridionale ni à la « ligne intermittente » en mer de Chine méridionale. Un grand nombre d'archives, de livres et de cartes étrangers montrent sans conteste que, la souveraineté sur les îles Xisha et Nansha appartient bien à la Chine.
John Anthony Carty, professeur à l'Université Tsinghua a de son côté fait remarquer que ces dernières années, des archives découvertes au Royaume-Uni, en France, au Japon et dans d’autres pays, ont prouvé que les Chinois sont actifs depuis des milliers d'années en mer de Chine méridionale, et qu’elles constituent un très importants matériel sur ce sujet.