Le chef de l'État s'est exprimé au cours de la signature de l'accord-cadre politique au Palais républicain.
Le pays traverse une situation exceptionnelle, a-t-il reconnu, ajoutant que "nous sommes restés dans un état de contradiction et de discorde entre les forces politiques et militaires et cela s'est reflété négativement sur la patrie."
Le président du Conseil de souveraineté a expliqué que la signature de cet accord politique cadre est une entrée pour surmonter les différences.
La signature du document ne signifie pas un accord unilatéral, mais plutôt un règlement sur les questions nationales avec les forces nationales pour mettre fin au conflit entre les forces civiles et militaires.
"Nous cherchons à transformer l'armée en une institution constitutionnelle qui lui interdit de prendre parti pour un parti, un groupe ou une idéologie", a dit le président.
Al-Burhan a averti les forces politiques et civiles de ne pas interférer dans le travail technique de l'institution militaire.
Le pays traverse une situation exceptionnelle, a-t-il reconnu, ajoutant que "nous sommes restés dans un état de contradiction et de discorde entre les forces politiques et militaires et cela s'est reflété négativement sur la patrie."
Le président du Conseil de souveraineté a expliqué que la signature de cet accord politique cadre est une entrée pour surmonter les différences.
La signature du document ne signifie pas un accord unilatéral, mais plutôt un règlement sur les questions nationales avec les forces nationales pour mettre fin au conflit entre les forces civiles et militaires.
"Nous cherchons à transformer l'armée en une institution constitutionnelle qui lui interdit de prendre parti pour un parti, un groupe ou une idéologie", a dit le président.
Al-Burhan a averti les forces politiques et civiles de ne pas interférer dans le travail technique de l'institution militaire.