Documents Alwihda Info.
Un détournement à grande echelle de carburant délivré par le dépôt de l'armée nationale pour le compte de la gendarmerie qui a duré pendant 10 ans, a été décelé par le directeur technique de la gendarmerie nationale, le colonel Hamid Sirry, le mois passé.
Le service de dotation de l'armée nationale Tchadienne met à la disposition de la gendarmerie 10.000 litres de carburant équivalant à 300 fûts, or la gendarmerie ne reçoit que 100 fûts de carburant par trimestre depuis 2004.
Le capitaine de la gendarmerie Abdelkerim Saleh, chef de service carburant, après avoir récupéré les 300 fûts de carburant au dépôt de l'Etat major général de l'armée l'achemine à la direction générale de la gendarmerie. Seule 100 fûts arrivent trimestriellement à la direction.
Pourquoi cet officier de la gendarmerie a continué à détourner le carburant de la gendarmerie sans être inquiété pendant 10 ans, avant d'être descellé par le directeur technique, le colonel Hamit Sorry, affecté à ce poste, il y a un an ?
Pourquoi le directeur général de la gendarmerie, Daoud Yaya Brahim ne s'est-il pas plaint sur la quantité insignifiante de carburant délivré à son institution depuis sa quatrième année à la tête de la gendarmerie, alors qu'il en maitrise bien les rouages ?
Ce capitaine de la gendarmerie a t-il agi afin de detourner cette quantité impressionnante de carburant pour le compte du general Daoud Yaya Brahim ?
Plusieurs sources proche de la gendarmerie indiquent que ce capitaine de la gendarmerie continuait à detourner le carburant à l'insu du directeur technique et du sous directeur matériel de la gendarmerie pour le compte et sur l'instruction du DG Daoud Yaya Brahim.
Plusieurs faits indéniables mettent en cause son implication présumé dans le détournement de carburant. Lors d'une réunion de crise sur la disparition du carburant tenue à la gendarmerie, le DG aurait informé les officiers de la gendarmerie sur la fuite du capitaine, ce qui a pris de coup le présent.
En principe, si un officier de l'armée parvient à déceler un tel détournement de carburant, il devrait recevoir les encouragements de son chef et non pas de l'acharnement comme c'est le cas du DG à l'égard de son directeur technique. Gêné par l'eclatement de cette affaire, il a procédé à l'arrestation du directeur pour soit disant raison d'enquête.
Tout a commencé quand le capitaine, chef de service carburant de la gendarmerie a acheminé 50 fûts au lieu de 100. Le directeur technique Hamid Sirry fait un soit transmis pour informer le directeur adjoint avant de remettre au directeur général qui n'ayant pas d'autres choix, transmet au chef d'Etat major général pour vérification.
Le chef d'état major général informe le DG de la gendarmerie que son institution met 300 fûts de carburant pour le compte de la gendarmerie. Le directeur technique Hamid Sirry et le sous directeur du matériel Djamal sont détenus à la maison d'arrêt.
Cette affaire de détournement minutieux de carburant destiné à la gendarmerie nationale comporte plusieurs zones d'ombres et l'attitude du directeur général de la gendarmerie nationale Daoud Yaya Brahim depuis l'éclatement de l'affaire laisse apparaitre qu'il y serait pour quelque chose. Il a mis aux arrêts le directeur technique Hamid Sirry et le sous-directeur Djamal pour besoin d'enquête, surtout pour défaillance pendant 3 semaines à la section nationale de la recherche judiciaire de la gendarmerie, pourtant la garde a vue n'excède pas quarante-huit heures.
Pourquoi Le DG de la gendarmerie a refusé de transmettre le soit-transmis qu'il a reçu de la part du directeur technique et qu'il a lui même annoté au ministre de la défense ? Il aurait fait un autre rapport pour déformer la réalité pourtant ce dernier aurait été rejeté par le ministre de la défense qui aurait reçu le soit transmis annoté.
Pourquoi le directeur technique après avoir été blanchi par le juge d'instruction et relaxé en date du 13 décembre, a été rappelé par le subsitut du procureur pour être incarcéré de nouveau le 15 décembre ? Le juge d'instruction aurait avoué à ce dernier qu'il aurait subi des pressions, tout en passant une nuit blanche par l'entremise d'un substitut du procureur pour l'incarcérer, sinon qu'il ne lui reprocherait rien.
Actuellement, le directeur technique, le sous-directeur matériel, les agents travaillants pour le compte de cette station ou le carburant volé est vendu, sont en prison. Ils ne sont que des boucs émissaires mais les vraix coupables sont ailleurs.
Pourtant, le DG Daoud Yaya qui a dirigé la gendarmerie pour la troisième fois connait mieux que quiconque le affectés.
Le service de dotation de l'armée nationale Tchadienne met à la disposition de la gendarmerie 10.000 litres de carburant équivalant à 300 fûts, or la gendarmerie ne reçoit que 100 fûts de carburant par trimestre depuis 2004.
Le capitaine de la gendarmerie Abdelkerim Saleh, chef de service carburant, après avoir récupéré les 300 fûts de carburant au dépôt de l'Etat major général de l'armée l'achemine à la direction générale de la gendarmerie. Seule 100 fûts arrivent trimestriellement à la direction.
Pourquoi cet officier de la gendarmerie a continué à détourner le carburant de la gendarmerie sans être inquiété pendant 10 ans, avant d'être descellé par le directeur technique, le colonel Hamit Sorry, affecté à ce poste, il y a un an ?
Pourquoi le directeur général de la gendarmerie, Daoud Yaya Brahim ne s'est-il pas plaint sur la quantité insignifiante de carburant délivré à son institution depuis sa quatrième année à la tête de la gendarmerie, alors qu'il en maitrise bien les rouages ?
Ce capitaine de la gendarmerie a t-il agi afin de detourner cette quantité impressionnante de carburant pour le compte du general Daoud Yaya Brahim ?
Plusieurs sources proche de la gendarmerie indiquent que ce capitaine de la gendarmerie continuait à detourner le carburant à l'insu du directeur technique et du sous directeur matériel de la gendarmerie pour le compte et sur l'instruction du DG Daoud Yaya Brahim.
Plusieurs faits indéniables mettent en cause son implication présumé dans le détournement de carburant. Lors d'une réunion de crise sur la disparition du carburant tenue à la gendarmerie, le DG aurait informé les officiers de la gendarmerie sur la fuite du capitaine, ce qui a pris de coup le présent.
En principe, si un officier de l'armée parvient à déceler un tel détournement de carburant, il devrait recevoir les encouragements de son chef et non pas de l'acharnement comme c'est le cas du DG à l'égard de son directeur technique. Gêné par l'eclatement de cette affaire, il a procédé à l'arrestation du directeur pour soit disant raison d'enquête.
Tout a commencé quand le capitaine, chef de service carburant de la gendarmerie a acheminé 50 fûts au lieu de 100. Le directeur technique Hamid Sirry fait un soit transmis pour informer le directeur adjoint avant de remettre au directeur général qui n'ayant pas d'autres choix, transmet au chef d'Etat major général pour vérification.
Le chef d'état major général informe le DG de la gendarmerie que son institution met 300 fûts de carburant pour le compte de la gendarmerie. Le directeur technique Hamid Sirry et le sous directeur du matériel Djamal sont détenus à la maison d'arrêt.
Cette affaire de détournement minutieux de carburant destiné à la gendarmerie nationale comporte plusieurs zones d'ombres et l'attitude du directeur général de la gendarmerie nationale Daoud Yaya Brahim depuis l'éclatement de l'affaire laisse apparaitre qu'il y serait pour quelque chose. Il a mis aux arrêts le directeur technique Hamid Sirry et le sous-directeur Djamal pour besoin d'enquête, surtout pour défaillance pendant 3 semaines à la section nationale de la recherche judiciaire de la gendarmerie, pourtant la garde a vue n'excède pas quarante-huit heures.
Pourquoi Le DG de la gendarmerie a refusé de transmettre le soit-transmis qu'il a reçu de la part du directeur technique et qu'il a lui même annoté au ministre de la défense ? Il aurait fait un autre rapport pour déformer la réalité pourtant ce dernier aurait été rejeté par le ministre de la défense qui aurait reçu le soit transmis annoté.
Pourquoi le directeur technique après avoir été blanchi par le juge d'instruction et relaxé en date du 13 décembre, a été rappelé par le subsitut du procureur pour être incarcéré de nouveau le 15 décembre ? Le juge d'instruction aurait avoué à ce dernier qu'il aurait subi des pressions, tout en passant une nuit blanche par l'entremise d'un substitut du procureur pour l'incarcérer, sinon qu'il ne lui reprocherait rien.
Actuellement, le directeur technique, le sous-directeur matériel, les agents travaillants pour le compte de cette station ou le carburant volé est vendu, sont en prison. Ils ne sont que des boucs émissaires mais les vraix coupables sont ailleurs.
Pourtant, le DG Daoud Yaya qui a dirigé la gendarmerie pour la troisième fois connait mieux que quiconque le affectés.
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