La police nationale a présenté, ce mercredi 28 juin 2017, 33 présumés malfrats appréhendés sur l'ensemble de la ville de N'Djamena, qui opéraient pendant le mois de Ramadan pour braquer des motos en infligeant souvent des coups mortels à leurs victimes, avant de disparaitre dans la nature avec les engins.
Ces présumés braqueurs agissent en petit groupe en se remorquant à trois derrière une moto. Ils s'approchent d'un motocycliste en lui jetant du piment sur les yeux, avant de lui asséner des coups de marteau sur la tête, soit pour l'achever carrément, soit pour le neutraliser et ensuite récupérer l'engin pour disparaitre dans la nature.
Une méthode est également employée par ces forcenés qui consiste à utiliser une jeune fille, faisant partie de leur groupe, qui demande à un clandoman de la déposer quelque part et une fois remorquée, elle conduit ce dernier dans un endroit isolé où ses complices l'attendent et finissent par neutraliser le clandomen avant de récupérer sa moto.
Cette jeune fille serait impliquée à maintes reprises dans des actes criminels en trompant la vigilance des clandomans pour les conduire souvent à la mort à cause de leur propre bien.
Trois parmi les trente-trois (33) présumés braqueurs sont responsables de la mort par étranglement d'un clandoman dont le corps sans vie a été retrouvé à Milezi. L'un des auteurs avait trompé la vigilance d'un clandoman depuis Chagoua pour l'abattre à Milezi. Les assassins s'étaient servis de couteaux, de piment, d'un pistolet de marque Falcon et d'un marteau pour assommer leurs victimes.
Même si la police arrête souvent des présumés malfrats et les met à la disposition de la justice, ces derniers recouvrent la liberté pour récidiver.
Ces présumés braqueurs agissent en petit groupe en se remorquant à trois derrière une moto. Ils s'approchent d'un motocycliste en lui jetant du piment sur les yeux, avant de lui asséner des coups de marteau sur la tête, soit pour l'achever carrément, soit pour le neutraliser et ensuite récupérer l'engin pour disparaitre dans la nature.
Une méthode est également employée par ces forcenés qui consiste à utiliser une jeune fille, faisant partie de leur groupe, qui demande à un clandoman de la déposer quelque part et une fois remorquée, elle conduit ce dernier dans un endroit isolé où ses complices l'attendent et finissent par neutraliser le clandomen avant de récupérer sa moto.
Cette jeune fille serait impliquée à maintes reprises dans des actes criminels en trompant la vigilance des clandomans pour les conduire souvent à la mort à cause de leur propre bien.
Trois parmi les trente-trois (33) présumés braqueurs sont responsables de la mort par étranglement d'un clandoman dont le corps sans vie a été retrouvé à Milezi. L'un des auteurs avait trompé la vigilance d'un clandoman depuis Chagoua pour l'abattre à Milezi. Les assassins s'étaient servis de couteaux, de piment, d'un pistolet de marque Falcon et d'un marteau pour assommer leurs victimes.
Même si la police arrête souvent des présumés malfrats et les met à la disposition de la justice, ces derniers recouvrent la liberté pour récidiver.