Les partis disent ne pas être d'accord avec des passages en force opérés lors de l'adoption du règlement intérieur, la mise en place du Présidium, des commissions thématiques et des sous-commissions.
Pour eux, l'esprit de consensus a été "complètement ignoré", entrainant un "climat de méfiance" et "mettant en doute la crédibilité du dialogue".
Les 51 partis refusent d'être des "figurants dans un scénario écrit d'avance". Ils préconisent de bannir le phénomène majoritaire obtenu par applaudissement, le refus de consensus par un passage en force, la non prise en compte des voix minoritaires et l'attribution sélective de la parole.
Pour eux, l'esprit de consensus a été "complètement ignoré", entrainant un "climat de méfiance" et "mettant en doute la crédibilité du dialogue".
Les 51 partis refusent d'être des "figurants dans un scénario écrit d'avance". Ils préconisent de bannir le phénomène majoritaire obtenu par applaudissement, le refus de consensus par un passage en force, la non prise en compte des voix minoritaires et l'attribution sélective de la parole.