Le président d’Ansar al-Sunna Muhammadiyah au Tchad, cheikh Dr. Yahya Ibrahim Khalil se dit attristé par ce qui s'est passé dans la ville d'Adré dans la nuit du 5 mai, "lorsqu'un groupe de terroristes, adeptes de la secte soufis Tidjaniya, a attaqué un groupe d'Ansar al-Sunna Muhammadiyah alors qui se trouvait dans l'une des maisons d'Allah".
L'acte de violence aurait fait un mort et plusieurs blessés. Cheikh Dr. Yahya Ibrahim Khalil condamne ces évènements. Il évoque des actes répétés dans plusieurs villes du Tchad avec notamment l'incendie de mosquées.
Cheikh Dr. Yahya Ibrahim Khalil pointe du doigt la responsabilité du Conseil supérieur des affaires islamiques (CSAI) qui doit en principe représenter les musulmans dans tout le Tchad. Il demande au président du Conseil militaire de transition (CMT) d'intervenir personnellement pour prendre des mesures urgentes et strictes contre les auteurs de l'attaque.
Ansar al-Sunna Muhammadiyah exige que la question des différences religieuses soit inscrite à l'ordre du jour en vue du dialogue national inclusif.
"Le désaccord entre religieux est dangereux, plus que toute autre menace à la sécurité du pays. Il est nécessaire que l'État sache que le CSAI dans sa structure actuelle ne représente que la secte Tidjaniya", affirme cheikh Dr. Yahya Ibrahim Khalil.
Le CSAI n'a pas encore réagi à ces accusations.
L'acte de violence aurait fait un mort et plusieurs blessés. Cheikh Dr. Yahya Ibrahim Khalil condamne ces évènements. Il évoque des actes répétés dans plusieurs villes du Tchad avec notamment l'incendie de mosquées.
Cheikh Dr. Yahya Ibrahim Khalil pointe du doigt la responsabilité du Conseil supérieur des affaires islamiques (CSAI) qui doit en principe représenter les musulmans dans tout le Tchad. Il demande au président du Conseil militaire de transition (CMT) d'intervenir personnellement pour prendre des mesures urgentes et strictes contre les auteurs de l'attaque.
Ansar al-Sunna Muhammadiyah exige que la question des différences religieuses soit inscrite à l'ordre du jour en vue du dialogue national inclusif.
"Le désaccord entre religieux est dangereux, plus que toute autre menace à la sécurité du pays. Il est nécessaire que l'État sache que le CSAI dans sa structure actuelle ne représente que la secte Tidjaniya", affirme cheikh Dr. Yahya Ibrahim Khalil.
Le CSAI n'a pas encore réagi à ces accusations.