Les problèmes dans le domaine de la sécurité qui se manifestent par la montée des actes de violence dans les régions frontalières du Tchad, du Cameroun et de la RCA, ont de plus en plus d’importance en tant que l’un des sujets principaux pour les autorités de chaque pays de la région.
Les civils de tous les trois pays deviennent de plus en plus souvent des victimes du banditisme, de la terreur et des répressions politiques de la part des rebelles. La situation sur la frontière du Tchad et de la RCA reste tendue. Différents rebelles font le déplacement dans la zone frontalière des deux pays, cachant leurs actes criminels sous des slogans politiques.
La migration continue, vue le manque d’un contrôle suffisant de la frontière, causant de fréquents maux de tête pour les autorités des deux pays. La situation se complique durement par l’afflux sans cesse de la contrebande qui touche le domaine du carburant, des armes et d’autres biens de valeur.
Les derniers mois sont devenus particulièrement difficiles pour la RCA, compte tenu de la brusque montée de la menace terroriste venant de l’extérieur. La frontière du Cameroun et du Tchad représente également un territoire problème pour raison de l’invasion des rebelles. Mais le problème le plus marquant de la zone frontalière, est la redynamisation de l’organisation terroriste « Boko Haram » qui s’est à nouveau activé ces derniers mois.
Malgré certains acquis dans la lutte contre les djihadistes, ils continuent de se réfugier dans les zones frontalières entre le Tchad et le Cameroun. Les activités de « Boko Haram » qui durent de longues années ont provoqué une crise humanitaire et économique aigu dans les deux pays.
La situation sur la frontière entre le Cameroun et le RCA fait état de la présence les terroristes du Boko Haram, ainsi que des groupes rebelles, notamment la CPC de la RCA, se déplacent vers la partie Est du Cameroun, pour se ravitailler en munitions, en équipements et en armement. C’est souvent que l’on peut retrouver des victimes parmi les civils dans les zones sous contrôle des rebelles.
Néanmoins, l’un des conseiller de Faustin-Archange Touadéra, président de la République centrafricaine fait savoir que « ces dernières semaines, les représentants des trois pays ont repris les contacts tripartis étroits en raison de la redynamisation des terroristes internationaux ».
Le Tchad, la RCA et le Cameroun discutent la possibilité de la signature d’un accord tripartite qui sera consacré à la sécurité collective, et au renforcement du contrôle des zones frontalières. La forme de l’accord n’étant pas encore été dévoilée. Avant la discussion d’un tel accord sur la sécurité, les représentants des pays ont déjà conduit des négociations l’année dernière, en marge du Conseil de Sécurité de l’ONU, sur la possibilité de la sécurisation des frontières conjointes.
En plus de cela, des telles discussions sur initiative du président Déby étaient déjà en cours entre les pays. Notamment Paul Biya, président du Cameroun, a soutenu ces efforts.
Il est bien possible que c’est la coopération interétatique du Tchad, de la RCA et du Cameroun qui pourra hausser les capacités des pays dans le cadre de la lutte contre le terrorisme, et pourra significativement faire monter le niveau de sécurité dans l’ensemble de la région, permettant de surmonter la crise sécuritaire en RCA qui dure pour nombreuses années.
Les civils de tous les trois pays deviennent de plus en plus souvent des victimes du banditisme, de la terreur et des répressions politiques de la part des rebelles. La situation sur la frontière du Tchad et de la RCA reste tendue. Différents rebelles font le déplacement dans la zone frontalière des deux pays, cachant leurs actes criminels sous des slogans politiques.
La migration continue, vue le manque d’un contrôle suffisant de la frontière, causant de fréquents maux de tête pour les autorités des deux pays. La situation se complique durement par l’afflux sans cesse de la contrebande qui touche le domaine du carburant, des armes et d’autres biens de valeur.
Les derniers mois sont devenus particulièrement difficiles pour la RCA, compte tenu de la brusque montée de la menace terroriste venant de l’extérieur. La frontière du Cameroun et du Tchad représente également un territoire problème pour raison de l’invasion des rebelles. Mais le problème le plus marquant de la zone frontalière, est la redynamisation de l’organisation terroriste « Boko Haram » qui s’est à nouveau activé ces derniers mois.
Malgré certains acquis dans la lutte contre les djihadistes, ils continuent de se réfugier dans les zones frontalières entre le Tchad et le Cameroun. Les activités de « Boko Haram » qui durent de longues années ont provoqué une crise humanitaire et économique aigu dans les deux pays.
La situation sur la frontière entre le Cameroun et le RCA fait état de la présence les terroristes du Boko Haram, ainsi que des groupes rebelles, notamment la CPC de la RCA, se déplacent vers la partie Est du Cameroun, pour se ravitailler en munitions, en équipements et en armement. C’est souvent que l’on peut retrouver des victimes parmi les civils dans les zones sous contrôle des rebelles.
Néanmoins, l’un des conseiller de Faustin-Archange Touadéra, président de la République centrafricaine fait savoir que « ces dernières semaines, les représentants des trois pays ont repris les contacts tripartis étroits en raison de la redynamisation des terroristes internationaux ».
Le Tchad, la RCA et le Cameroun discutent la possibilité de la signature d’un accord tripartite qui sera consacré à la sécurité collective, et au renforcement du contrôle des zones frontalières. La forme de l’accord n’étant pas encore été dévoilée. Avant la discussion d’un tel accord sur la sécurité, les représentants des pays ont déjà conduit des négociations l’année dernière, en marge du Conseil de Sécurité de l’ONU, sur la possibilité de la sécurisation des frontières conjointes.
En plus de cela, des telles discussions sur initiative du président Déby étaient déjà en cours entre les pays. Notamment Paul Biya, président du Cameroun, a soutenu ces efforts.
Il est bien possible que c’est la coopération interétatique du Tchad, de la RCA et du Cameroun qui pourra hausser les capacités des pays dans le cadre de la lutte contre le terrorisme, et pourra significativement faire monter le niveau de sécurité dans l’ensemble de la région, permettant de surmonter la crise sécuritaire en RCA qui dure pour nombreuses années.