Le porte-parole du gouvernement Abderaman Koulamallah.
Abderaman Koulamallah a souligné que ce dialogue, le peuple l'attend depuis longtemps. "Ça fait 15 mois qu'ils se battent pour ce dialogue avec ses espérances mais aussi avec ses imprécisions et ses insuffisances. Malgré cela, il faut l'accepter et ça sert à rien de le boycotter", dit-il.
Concernant les mécontentement des jeunes, il affirme avoir discuté avec eux et espère les ramener à la table.
Répondant aux journalistes à propos des réactions de certains politico-militaires, le ministre a annoncé qu'ils ont déjà deux représentants dans le présiduim. "Ils doivent comprendre qu'on ne peut pas satisfaire tout le monde".
Relativement à la proposition faite par le CODNI qui vient à l'encontre de sa proposition lors des débats, Koulamalah a indiqué que "ce n'était que son opinion" et qu'il n'est pas un prophète".
S'agissant de la colère de Takilal Ndolassem, le ministre rétorque qu'il n'y a pas de sudiste et de nordiste. Il n'y a que des tchadiens, dit-il. "Si l'on parle toujours de Nord et du Sud, c'est se tromper de dialogue", relève le ministre.
"Si vous avez vu le niveau de débat, vous allez dire que c'est ça même le dialogue (...) Ce n'est pas un forum bis qu'ils ont mis en place, mais un vrai dialogue. Ceux qui ne sont toujours pas là ont raté le train de l'histoire, et le train de l'histoire ne passe généralement que tous les 10 ans. C'est très dommage. Être au dialogue c'est être aux côtés de son peuple pour l'avenir de son peuple. Être dehors, c'est tourner le dos à son peuple", conclut Abderaman Koulamallah.
Concernant les mécontentement des jeunes, il affirme avoir discuté avec eux et espère les ramener à la table.
Répondant aux journalistes à propos des réactions de certains politico-militaires, le ministre a annoncé qu'ils ont déjà deux représentants dans le présiduim. "Ils doivent comprendre qu'on ne peut pas satisfaire tout le monde".
Relativement à la proposition faite par le CODNI qui vient à l'encontre de sa proposition lors des débats, Koulamalah a indiqué que "ce n'était que son opinion" et qu'il n'est pas un prophète".
S'agissant de la colère de Takilal Ndolassem, le ministre rétorque qu'il n'y a pas de sudiste et de nordiste. Il n'y a que des tchadiens, dit-il. "Si l'on parle toujours de Nord et du Sud, c'est se tromper de dialogue", relève le ministre.
"Si vous avez vu le niveau de débat, vous allez dire que c'est ça même le dialogue (...) Ce n'est pas un forum bis qu'ils ont mis en place, mais un vrai dialogue. Ceux qui ne sont toujours pas là ont raté le train de l'histoire, et le train de l'histoire ne passe généralement que tous les 10 ans. C'est très dommage. Être au dialogue c'est être aux côtés de son peuple pour l'avenir de son peuple. Être dehors, c'est tourner le dos à son peuple", conclut Abderaman Koulamallah.