Détails du Roman
Publiée aux Éditions de Salon de Belles Lettres (N'Djamena/Tchad), cette œuvre est subdivisée en deux parties. Le roman aborde la problématique de la polygamie dans nos sociétés, mettant en lumière les souffrances vécues par certaines jeunes filles, souvent victimes de maltraitance de la part de leurs coépouses ou de leur conjoint.
Le récit suit Aicha, une jeune fille donnée en mariage forcé à un homme polygame. Elle fait face à des maltraitances répétées de la part de son mari, menant à des drames dévastateurs.
Biographie de l'Auteure
Hadjé Banat Mahamat Abgoudja est née le 21 juin 2001 à Ati/Batha. Après avoir terminé ses études primaires et secondaires au Lycée Ibnoucina et à Cheikh Hamdan, elle obtient son baccalauréat en série littéraire avec mention bien au Lycée de la Fidélité. Passionnée de lecture dès son jeune âge, elle poursuit des études à l'Université de Ngaoundéré au Cameroun, où elle décroche une licence en communication pour le développement.
Dans son allocution, Hadjé Banat a souligné que la polygamie, le mariage forcé, le mariage précoce et le mariage par intérêt ne sont pas de simples concepts, mais des réalités qui brisent des vies et des rêves. Chaque page de son ouvrage témoigne d'une lutte et d'un cri de douleur, ainsi que d'un désir ardent de liberté.
Elle a précisé que ce roman rend hommage à toutes les filles enfermées dans des foyers polygamiques et qu'elle espère éveiller la conscience de la société patriarcale pour la reconnaissance des droits des femmes.
"En tant qu'auteure et porte-parole des jeunes filles opprimées, je dénonce la maltraitance et m'engage à continuer mon combat pour la justice, l'égalité et la dignité de toutes," a-t-elle affirmé.
La cérémonie a été un moment fort, mettant en avant non seulement le talent littéraire de Hadjé Banat Mahamat Abgoudja, mais aussi son engagement pour les droits des femmes et des jeunes filles dans des situations difficiles. Ce roman représente un pas vers une prise de conscience collective sur des problématiques sociétales cruciales.
Publiée aux Éditions de Salon de Belles Lettres (N'Djamena/Tchad), cette œuvre est subdivisée en deux parties. Le roman aborde la problématique de la polygamie dans nos sociétés, mettant en lumière les souffrances vécues par certaines jeunes filles, souvent victimes de maltraitance de la part de leurs coépouses ou de leur conjoint.
Le récit suit Aicha, une jeune fille donnée en mariage forcé à un homme polygame. Elle fait face à des maltraitances répétées de la part de son mari, menant à des drames dévastateurs.
Biographie de l'Auteure
Hadjé Banat Mahamat Abgoudja est née le 21 juin 2001 à Ati/Batha. Après avoir terminé ses études primaires et secondaires au Lycée Ibnoucina et à Cheikh Hamdan, elle obtient son baccalauréat en série littéraire avec mention bien au Lycée de la Fidélité. Passionnée de lecture dès son jeune âge, elle poursuit des études à l'Université de Ngaoundéré au Cameroun, où elle décroche une licence en communication pour le développement.
Dans son allocution, Hadjé Banat a souligné que la polygamie, le mariage forcé, le mariage précoce et le mariage par intérêt ne sont pas de simples concepts, mais des réalités qui brisent des vies et des rêves. Chaque page de son ouvrage témoigne d'une lutte et d'un cri de douleur, ainsi que d'un désir ardent de liberté.
Elle a précisé que ce roman rend hommage à toutes les filles enfermées dans des foyers polygamiques et qu'elle espère éveiller la conscience de la société patriarcale pour la reconnaissance des droits des femmes.
"En tant qu'auteure et porte-parole des jeunes filles opprimées, je dénonce la maltraitance et m'engage à continuer mon combat pour la justice, l'égalité et la dignité de toutes," a-t-elle affirmé.
La cérémonie a été un moment fort, mettant en avant non seulement le talent littéraire de Hadjé Banat Mahamat Abgoudja, mais aussi son engagement pour les droits des femmes et des jeunes filles dans des situations difficiles. Ce roman représente un pas vers une prise de conscience collective sur des problématiques sociétales cruciales.