PROPOSITION DE MISE EN PLACE D’UN PROGRAMME STRUCTUREL D’URGENCE SANITAIRE (PSUS) ET D’UN PROGRAMME DE CONFINEMENT LOCAL, DE DEPISTAGE, D’ISOLEMENT ET DE SOINS (PCL-DIS)
Justification contextuelle
Etant donné la proportion inquiétante que prend la vitesse de contamination ces derniers jours, le risque d’une hécatombe n’est pas loin. Et il sera bien trop difficile de contrôler quoi que ce soit, sinon laisser place à l’effondrement de l’ensemble du système si des mesures énergiques ne sont pas prises. Bien que cela ne soit jamais produit encore dans le monde, mais au Tchad, le risque est élevé à cause de l’ancrage du système social dans lequel les gens sont moulés avec une solidarité poussée, le besoin sans cesse de partager la parole, les informations, les sentiments de joie ou de malheurs, et les affinités, etc. Cet ancrage social est devenu un marqueur social tchadien difficile à dégommer.
Ainsi, pour éviter qu’un tel drame n’arrive, le Président de la République est appelé à faire transmuter le Comité de Veille en une structure de gestion de crise sanitaire et à accepter des propositions extra gouvernementales à l’effet de renforcer la stratégie nationale de riposte.
Nous sommes en face d’une situation imprévisible d’un caractère totalement hors normes qu’on ne peut imputer la responsabilité de façon univoque à une entité ni à un gouvernement du fait que, c’est d’abord une question de responsabilité personnelle de chaque citoyen à se sauver et sauver des vies qui, en soi, est un principe de précaution difficile à appliquer par les citoyens en de pareille circonstance. Et l’absence de l’application de l’obligation de responsabilité personnelle et commune face à la résistance sociétale bien trempée, peut conduire à des failles comme nous l’observons et le vivons maintenant. Ce faisant, nous pensons que le sectarisme politique caractérisé d’ordinaire par une majorité qui n’a l’air d’accepter que ce qu’elle propose en portant des œillères et se mettant dans l’autisme, et une opposition de principe qui ne cesse de critiquer sans proposer, doivent plier et laisser place à l’intérêt commun et à des propositions pour une stratégie d’ensemble.
A l’allure où vont les choses, l’heure n’est plus à la friture habituelle entre le gouvernement et l’opposition, et personne ne peut assister éberlué, face à une telle situation. Quand la médecine conventionnelle et les thérapies alternatives sont dépassées ou s’avèrent insuffisantes, les intelligences nationales doivent s’agréger et l’on doit s’organiser en émettant des idées constructives dont une meilleure synthèse pourrait aider à sortir le pays du péril.
Si nous n’agissons pas ensemble, dans quelques jours, notre pays ne sera plus celui qu’on a connu. C’est pourquoi, l’Union des Démocrates pour le Développement et le Progrès (UDP), vient par la présente, sans prétention d’aucune et très modestement, soumettre au gouvernement qui, a la charge du pays entre les mains et dispose des ressources de l’Etat en tout genre (techniques, juridiques, institutionnelles, matérielles, diplomatiques, de coopération, etc.), une réflexion stratégique toute simple en complément des mesures prises jusqu’ici.
Objectifs de l’action :
Il s’agit d’une réflexion comportant trois paliers d’objectifs qui visent à :
Prioritairement, à freiner l’ampleur actuelle en brisant la chaine de contamination dans les poches épidémiologiques de la Ville de N’Djamena. Secundo, maitriser la situation épidémiologique dans la Ville de N’Djamena. Reprendre la main en attendant une quelconque dynamique locale, régionale ou mondiale quant à la recherche de vaccin ou de traitement adéquat reconnu par les structures habilitées. Stratégies :
Pour réaliser les trois objectifs, deux programmes doivent être mis en place. Il ne s’agit pas d’un programme au sens plénier du terme mais tout simplement d’un dispositif comportant un agencement d’éléments à architecturer et à habiller qui peuvent concourir à réaliser les objectifs supra-cités :
Programme Structurel d’Urgence Sanitaire (PSUS) Programme de Confinement Local, de Dépistage, d’Isolement et de Soins (PCL-DIS) Programme Structurel d’Urgence Sanitaire (PSUS) :
Etant entendu que nous ne sommes plus au stade de veille sanitaire, mais plutôt de gestion épidémiologique avec l’avantage d’un seul itinéraire thérapeutique jusqu’ici observé par tous les patients, la veille disparait pour laisser place à la gestion d’urgence ou de crise sanitaire. Ce faisant, le Programme Structurel d’Urgence Sanitaire (PSUS) est un programme qui consiste à mettre en place des structures et à les doter des moyens.
Et pour faciliter cet itinéraire thérapeutique et à défaut de traitement, l’offre de soins doit être assurée par des médecins cliniciens assistés des agents de santé convenablement protégés avec des matériels adéquats dans le cadre d’une prophylaxie obligatoire.
C’est pourquoi, il faut donner à l’état d’urgence sanitaire un contenu. Et ce contenu passe par le Programme Structurel d’Urgence Sanitaire (PSUS) qui consiste, en perspective à l’implosion de la contamination et du pic du développement attendu des malades, vu le nombre des personnes asymptomatiques dont l’incubation ne tardera pas, à :
Augmenter les structures d’accueil équipées avec cinq (05) sites ad hoc : site nord, site sud, site est, site ouest et le site centre, le tout coordonné par un le Centre National de Riposte et de Contrôle (CNRC)géré par des spécialistes expérimentés ; Remobiliser les organisations nationales (des médecins, des pharmaciens, des étudiants en médecine, en santé et des agents de santé) autour de la stratégie ; Mettre en place un système d’intéressement ou de motivation du personnel de santé.
Programme de Confinement Local, de Dépistage, d’Isolement et de Soins (PCL-DIS)
Le confinement dans un contexte socioéconomique comme le nôtre est une décision politique difficile à prendre tant, les enjeux sont énormes. Mais, nous y sommes obligés à opter pour une telle extrémité. Ce faisant, prendre une telle mesure suppose mettre la vie sociale et économique entre parenthèse pendant quelques temps. Par voie de conséquent, pour amoindrir les effets et requérir l’adhésion et le respect de la population, ce confinement sera d’une durée limitée, adossé sur des structures établies, des protocoles juridiques, médicales, et des mesures accessoires complémentaires.
Type, durée, stratégies et objectifs du PCL-DIS
Le PCL-DIS est un confinement local étanche de la Ville de N’Djamena de vingt jours, renouvelables une seule fois, visant à atteindre le point d’achèvement de l’incubation de tous les porteurs sains.
Il consiste à :
cantonner les populations de la Ville de N’Djamena chez-elles, dépister progressivement par un test de masse et en cascade les ménages, identifier et isoler les personnes atteintes dans les sites ad hoc, apporter les soins préventifs aux personnes dépistées positifs, des soins aux personnes présentant des manifestations cliniques légères ou au stade avancé.
La mise en œuvre du PCL-DIS sera assurée par le Centre National de Riposte et de Contrôle dont le travail va se baser sur deux mécanismes : un mécanisme de prise en charge sanitaire et un mécanisme de prise en charge sociale.
La mise en œuvre de ces mécanismes sera facilitée et accompagnée par trois (03) brigades, une Centrale Pharmaceutique d’Urgence (CPU), une Banque Alimentaire Sociale (BAS) et un Magasin d’Appui d’Urgence (MAU) :
- Une Brigade Sociale Mobile (BSM-COVID-19) en charge de l’aide alimentaire ponctuelle ou d’appoint aux nécessiteux impliquant les associations d’entre-aide de quartier et les associations des jeunes des arrondissements.
- Une Brigade Sanitaire Mobile d’Intervention (BSMI-COVID-19) en charge des cas d’urgence et d’évacuation pour des pathologies bénignes à référer dans les formations sanitaires traditionnelles, et de veiller sur les retours des patients libérés.
- Une Brigade Mobile de Surveillance et de Maintien de l’Ordre (BMSMO-COVID-19) en charge de la sécurité et du contrôle des mouvements des populations, composée essentiellement des gardiens de la paix formés travaillant en étroite collaboration avec les ADH et les Maires d’Arrondissements et les Délégués des quartiers.
- Une Centrale Pharmaceutique d’Urgence dotée des médicaments d’urgence contre les pathologies courantes en charge d’intervenir avec des paquets médicaux.
- Une Banque Alimentaire Sociale en charge de fourniture des paquets alimentaires de situation aux nécessiteux.
- Un Magasin d’Appui d’Urgence doté des produits d’hygiène et eaux.
Délai de mise en place des structures : sept (07) jours Moyens de mise en œuvre :
Moyens légaux et réglementaires : Décret N°0708/PR/2020 Portant institution de l’état d’urgence sanitaire.
Moyens financiers : les fonds spéciaux mobilisés au niveau national (Etat et privé) et les fonds d’appuis à recevoir des organisations internationales, les partenaires et pays amis.
Moyens matériels et logistiques : réquisition de 5 structures équipées devant abriter les sites d’accueil des malades (hôtels privés de catégorie 1 à 3 étoiles) et les matériels hospitaliers.
Ressources humaines : le personnel de santé (civile et militaire) et les compétences à réquisitionner.
Organes à impliquer Ministère de la Santé Publique Ministère de la Femme, de la Promotion de la Petite Enfance et de la Solidarité Nationale Ministère de l’Administration du Territoire et des Collectivités Territoriales Décentralisées Ministère délégué, chargé de la Défense Nationale, de la Sécurité, des Anciens Combattants et Victimes de Guerre Ministère des Affaires Etrangères Ministère de Finances et du Budget Partenaires à mobiliser : Représentation résidente de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) Représentation résidente du Programme Alimentaire Mondiale (PAM) Gouvernorat de la Ville de N’Djamena Mairie de la Ville de N’Djamena Mairie d’arrondissements ONG humanitaire locale ONG humanitaire internationale (Médecins Sans Frontière, OXFAM, etc.) Medias locaux (Radios et télévisions) ADH locales Associations des Jeunes Associations de quartiers, etc. Institution de mise en œuvre des programmes : Présidence de la République
Justification contextuelle
Etant donné la proportion inquiétante que prend la vitesse de contamination ces derniers jours, le risque d’une hécatombe n’est pas loin. Et il sera bien trop difficile de contrôler quoi que ce soit, sinon laisser place à l’effondrement de l’ensemble du système si des mesures énergiques ne sont pas prises. Bien que cela ne soit jamais produit encore dans le monde, mais au Tchad, le risque est élevé à cause de l’ancrage du système social dans lequel les gens sont moulés avec une solidarité poussée, le besoin sans cesse de partager la parole, les informations, les sentiments de joie ou de malheurs, et les affinités, etc. Cet ancrage social est devenu un marqueur social tchadien difficile à dégommer.
Ainsi, pour éviter qu’un tel drame n’arrive, le Président de la République est appelé à faire transmuter le Comité de Veille en une structure de gestion de crise sanitaire et à accepter des propositions extra gouvernementales à l’effet de renforcer la stratégie nationale de riposte.
Nous sommes en face d’une situation imprévisible d’un caractère totalement hors normes qu’on ne peut imputer la responsabilité de façon univoque à une entité ni à un gouvernement du fait que, c’est d’abord une question de responsabilité personnelle de chaque citoyen à se sauver et sauver des vies qui, en soi, est un principe de précaution difficile à appliquer par les citoyens en de pareille circonstance. Et l’absence de l’application de l’obligation de responsabilité personnelle et commune face à la résistance sociétale bien trempée, peut conduire à des failles comme nous l’observons et le vivons maintenant. Ce faisant, nous pensons que le sectarisme politique caractérisé d’ordinaire par une majorité qui n’a l’air d’accepter que ce qu’elle propose en portant des œillères et se mettant dans l’autisme, et une opposition de principe qui ne cesse de critiquer sans proposer, doivent plier et laisser place à l’intérêt commun et à des propositions pour une stratégie d’ensemble.
A l’allure où vont les choses, l’heure n’est plus à la friture habituelle entre le gouvernement et l’opposition, et personne ne peut assister éberlué, face à une telle situation. Quand la médecine conventionnelle et les thérapies alternatives sont dépassées ou s’avèrent insuffisantes, les intelligences nationales doivent s’agréger et l’on doit s’organiser en émettant des idées constructives dont une meilleure synthèse pourrait aider à sortir le pays du péril.
Si nous n’agissons pas ensemble, dans quelques jours, notre pays ne sera plus celui qu’on a connu. C’est pourquoi, l’Union des Démocrates pour le Développement et le Progrès (UDP), vient par la présente, sans prétention d’aucune et très modestement, soumettre au gouvernement qui, a la charge du pays entre les mains et dispose des ressources de l’Etat en tout genre (techniques, juridiques, institutionnelles, matérielles, diplomatiques, de coopération, etc.), une réflexion stratégique toute simple en complément des mesures prises jusqu’ici.
Objectifs de l’action :
Il s’agit d’une réflexion comportant trois paliers d’objectifs qui visent à :
Prioritairement, à freiner l’ampleur actuelle en brisant la chaine de contamination dans les poches épidémiologiques de la Ville de N’Djamena. Secundo, maitriser la situation épidémiologique dans la Ville de N’Djamena. Reprendre la main en attendant une quelconque dynamique locale, régionale ou mondiale quant à la recherche de vaccin ou de traitement adéquat reconnu par les structures habilitées. Stratégies :
Pour réaliser les trois objectifs, deux programmes doivent être mis en place. Il ne s’agit pas d’un programme au sens plénier du terme mais tout simplement d’un dispositif comportant un agencement d’éléments à architecturer et à habiller qui peuvent concourir à réaliser les objectifs supra-cités :
Programme Structurel d’Urgence Sanitaire (PSUS) Programme de Confinement Local, de Dépistage, d’Isolement et de Soins (PCL-DIS) Programme Structurel d’Urgence Sanitaire (PSUS) :
Etant entendu que nous ne sommes plus au stade de veille sanitaire, mais plutôt de gestion épidémiologique avec l’avantage d’un seul itinéraire thérapeutique jusqu’ici observé par tous les patients, la veille disparait pour laisser place à la gestion d’urgence ou de crise sanitaire. Ce faisant, le Programme Structurel d’Urgence Sanitaire (PSUS) est un programme qui consiste à mettre en place des structures et à les doter des moyens.
Et pour faciliter cet itinéraire thérapeutique et à défaut de traitement, l’offre de soins doit être assurée par des médecins cliniciens assistés des agents de santé convenablement protégés avec des matériels adéquats dans le cadre d’une prophylaxie obligatoire.
C’est pourquoi, il faut donner à l’état d’urgence sanitaire un contenu. Et ce contenu passe par le Programme Structurel d’Urgence Sanitaire (PSUS) qui consiste, en perspective à l’implosion de la contamination et du pic du développement attendu des malades, vu le nombre des personnes asymptomatiques dont l’incubation ne tardera pas, à :
Augmenter les structures d’accueil équipées avec cinq (05) sites ad hoc : site nord, site sud, site est, site ouest et le site centre, le tout coordonné par un le Centre National de Riposte et de Contrôle (CNRC)géré par des spécialistes expérimentés ; Remobiliser les organisations nationales (des médecins, des pharmaciens, des étudiants en médecine, en santé et des agents de santé) autour de la stratégie ; Mettre en place un système d’intéressement ou de motivation du personnel de santé.
Programme de Confinement Local, de Dépistage, d’Isolement et de Soins (PCL-DIS)
Le confinement dans un contexte socioéconomique comme le nôtre est une décision politique difficile à prendre tant, les enjeux sont énormes. Mais, nous y sommes obligés à opter pour une telle extrémité. Ce faisant, prendre une telle mesure suppose mettre la vie sociale et économique entre parenthèse pendant quelques temps. Par voie de conséquent, pour amoindrir les effets et requérir l’adhésion et le respect de la population, ce confinement sera d’une durée limitée, adossé sur des structures établies, des protocoles juridiques, médicales, et des mesures accessoires complémentaires.
Type, durée, stratégies et objectifs du PCL-DIS
Le PCL-DIS est un confinement local étanche de la Ville de N’Djamena de vingt jours, renouvelables une seule fois, visant à atteindre le point d’achèvement de l’incubation de tous les porteurs sains.
Il consiste à :
cantonner les populations de la Ville de N’Djamena chez-elles, dépister progressivement par un test de masse et en cascade les ménages, identifier et isoler les personnes atteintes dans les sites ad hoc, apporter les soins préventifs aux personnes dépistées positifs, des soins aux personnes présentant des manifestations cliniques légères ou au stade avancé.
La mise en œuvre du PCL-DIS sera assurée par le Centre National de Riposte et de Contrôle dont le travail va se baser sur deux mécanismes : un mécanisme de prise en charge sanitaire et un mécanisme de prise en charge sociale.
La mise en œuvre de ces mécanismes sera facilitée et accompagnée par trois (03) brigades, une Centrale Pharmaceutique d’Urgence (CPU), une Banque Alimentaire Sociale (BAS) et un Magasin d’Appui d’Urgence (MAU) :
- Une Brigade Sociale Mobile (BSM-COVID-19) en charge de l’aide alimentaire ponctuelle ou d’appoint aux nécessiteux impliquant les associations d’entre-aide de quartier et les associations des jeunes des arrondissements.
- Une Brigade Sanitaire Mobile d’Intervention (BSMI-COVID-19) en charge des cas d’urgence et d’évacuation pour des pathologies bénignes à référer dans les formations sanitaires traditionnelles, et de veiller sur les retours des patients libérés.
- Une Brigade Mobile de Surveillance et de Maintien de l’Ordre (BMSMO-COVID-19) en charge de la sécurité et du contrôle des mouvements des populations, composée essentiellement des gardiens de la paix formés travaillant en étroite collaboration avec les ADH et les Maires d’Arrondissements et les Délégués des quartiers.
- Une Centrale Pharmaceutique d’Urgence dotée des médicaments d’urgence contre les pathologies courantes en charge d’intervenir avec des paquets médicaux.
- Une Banque Alimentaire Sociale en charge de fourniture des paquets alimentaires de situation aux nécessiteux.
- Un Magasin d’Appui d’Urgence doté des produits d’hygiène et eaux.
Délai de mise en place des structures : sept (07) jours Moyens de mise en œuvre :
Moyens légaux et réglementaires : Décret N°0708/PR/2020 Portant institution de l’état d’urgence sanitaire.
Moyens financiers : les fonds spéciaux mobilisés au niveau national (Etat et privé) et les fonds d’appuis à recevoir des organisations internationales, les partenaires et pays amis.
Moyens matériels et logistiques : réquisition de 5 structures équipées devant abriter les sites d’accueil des malades (hôtels privés de catégorie 1 à 3 étoiles) et les matériels hospitaliers.
Ressources humaines : le personnel de santé (civile et militaire) et les compétences à réquisitionner.
Organes à impliquer Ministère de la Santé Publique Ministère de la Femme, de la Promotion de la Petite Enfance et de la Solidarité Nationale Ministère de l’Administration du Territoire et des Collectivités Territoriales Décentralisées Ministère délégué, chargé de la Défense Nationale, de la Sécurité, des Anciens Combattants et Victimes de Guerre Ministère des Affaires Etrangères Ministère de Finances et du Budget Partenaires à mobiliser : Représentation résidente de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) Représentation résidente du Programme Alimentaire Mondiale (PAM) Gouvernorat de la Ville de N’Djamena Mairie de la Ville de N’Djamena Mairie d’arrondissements ONG humanitaire locale ONG humanitaire internationale (Médecins Sans Frontière, OXFAM, etc.) Medias locaux (Radios et télévisions) ADH locales Associations des Jeunes Associations de quartiers, etc. Institution de mise en œuvre des programmes : Présidence de la République