Le Coordonnateur humanitaire au Tchad, Dr. François Batalingaya, a condamné ce 9 septembre 2024 avec la plus grande fermeté l'enlèvement de deux acteurs de santé par des éléments de groupes armés non étatiques (GANE) lors d'une incursion à Fende 2, près de Kiskra, dans la province du Lac.
Détails de l'incident
Il a été rapporté que plusieurs agents de santé ont été enlevés. Parmi eux, un agent a été abattu, tandis que trois ont réussi à s'échapper. Les deux autres agents, des femmes, restent introuvables à ce jour, laissant leurs collègues et familles dans une grande inquiétude.
Condamnation des actes de violence
Dr. Batalingaya a exprimé son indignation face à cette attaque, soulignant la gravité de s'en prendre à des travailleurs humanitaires dont la mission est de soulager la souffrance dans une région où les besoins humanitaires sont immenses. Il a appelé les ravisseurs à libérer sans condition les deux collègues toujours portées disparues.
Il a rappelé que toute atteinte à la vie des acteurs humanitaires constitue un crime de guerre, et que les responsables de tels actes devront un jour répondre de leurs actions.
Appel à la justice
Tout en remerciant le gouvernement pour ses efforts visant à protéger les civils et les travailleurs humanitaires, Dr. Batalingaya a salué les initiatives en cours pour retrouver les deux agents disparus. Il a exhorté à ce que les ravisseurs soient rapidement appréhendés et traduits en justice.
Le communiqué du Coordonnateur humanitaire au Tchad met en lumière une situation sécuritaire dégradante dans la région du Lac, caractérisée par une recrudescence des violences perpétrées par des groupes armés non étatiques (GANE). L'enlèvement et l'assassinat de travailleurs humanitaires constituent une grave violation du droit international humanitaire et un obstacle majeur à la fourniture d'aide humanitaire à une population déjà vulnérable.
Détails de l'incident
Il a été rapporté que plusieurs agents de santé ont été enlevés. Parmi eux, un agent a été abattu, tandis que trois ont réussi à s'échapper. Les deux autres agents, des femmes, restent introuvables à ce jour, laissant leurs collègues et familles dans une grande inquiétude.
Condamnation des actes de violence
Dr. Batalingaya a exprimé son indignation face à cette attaque, soulignant la gravité de s'en prendre à des travailleurs humanitaires dont la mission est de soulager la souffrance dans une région où les besoins humanitaires sont immenses. Il a appelé les ravisseurs à libérer sans condition les deux collègues toujours portées disparues.
Il a rappelé que toute atteinte à la vie des acteurs humanitaires constitue un crime de guerre, et que les responsables de tels actes devront un jour répondre de leurs actions.
Appel à la justice
Tout en remerciant le gouvernement pour ses efforts visant à protéger les civils et les travailleurs humanitaires, Dr. Batalingaya a salué les initiatives en cours pour retrouver les deux agents disparus. Il a exhorté à ce que les ravisseurs soient rapidement appréhendés et traduits en justice.
Le communiqué du Coordonnateur humanitaire au Tchad met en lumière une situation sécuritaire dégradante dans la région du Lac, caractérisée par une recrudescence des violences perpétrées par des groupes armés non étatiques (GANE). L'enlèvement et l'assassinat de travailleurs humanitaires constituent une grave violation du droit international humanitaire et un obstacle majeur à la fourniture d'aide humanitaire à une population déjà vulnérable.