Mr ABDELHAK ADOUM OUADDAI se confie à ALWIHDA pour apporter de lumière sur son terrain qui est en train d’être accaparé par un autre acquérant puissant.
Le terrain est situé au quartier Goudji charafa, dans le 10ème arrondissement. C’est la section 1 îlot 84 GC 129. Le premier acquéreur Abdelhak reconnaît l’avoir acquis de façon traditionnelle. C’était en 1994 en présence de son premier attributaire Boulama Djidda Ramadan. Mais lorsque le gouvernement a commencé à restructurer les nouveaux quartiers, que, lui aussi a engagé sa demande auprès de service cadastral pour l’obtention légale de la parcelle. Sa demande a été agréée et une cession de gré à gré lui a été délivrée. Car goudji charafa Fait partie des quartiers restructurés déjà. M. Abdelhak Adoum Ouaddaï a construit des maisons d’habitation sur son terrain, planté des arbres, clôturé et y vit avec sa famille.
A sa grande surprise une tiers de personnes avec ses complices ont passé sur les lieux pour déterrer les dix arbres plantés et démolir les clôtures faites en briques parpaing. C’était le 16 mai 2009. « La scène était passée en présence de tous mes voisins et étant handicapé de mon état ,je n’ai pas de force pour agir comme une personne bien portante , j’étais obligé d’appeler le Huissier de justice, titulaire de charge, commissaire priseur près la cour d’appel et les tribunaux de N’Djamena pour lui en informer. Maitre Moussa Youssouf Ahmed aussitôt est descendu sur le terrain, section1 îlot 84 GC129 d’une superficie de 2100m2 constater des dégâts causés. Il a pu filmer et noter les dix arbres déterrés ainsi que leurs clôtures respectives saccagées. Je suis handicapé, qui sait, qu’est ce que j’ai fait pour m’approprier de ce terrain ?» Se plaint ABDELHAK. Pour lui, son opposant ADAM FADOUL TAHIR se déclare le premier acquérant du terrain pour rien. « Il nous rassure que son attributaire est le président de la république. C’est une parole de sommation à mon avis. L‘ acquisition de son terrain dont il est question est postérieure à la mienne » précise ABDELHAK ADOUM OUADDAI.
« J’ai occupé la parcelle depuis 1994 tandis que le concurrent l’a occupée en 2004 seulement. Alors comment peut-on comprendre un comportement d’incivique ? Il argumente qu’i la payé la parcelle tantôt avec un certain Mahamat Goulaye tantôt c’est le président de la République qui lui a donné le terrain. Je suppose que cette versatilité a certainement l’anguille sous roche. Je pense que dans ce pays les pauvres n’ont pas leur place. En tout cas, Je ne vais pas baisser le bras face à ce sieur. Je suis déjà mort, cabris mort n’a pas peur de couteau » rugit ABDELHAK.
En revanche, faut -il rappeler, le cabinet du Me Néatobei Bidi Valentin après avoir exploité les documents enregistrés sous n° 081 /MFB/SG/DG/DEDTCF/SEC/2010 DU 19 janvier 2010 ressort que l’Arrêt infirmatif de la Cour d’Appel du céans sur la parcelle querellée suscite beaucoup d’interrogations et pose le véritable problème de la validité des actes administratifs en l’espèce de l’Arrêt n° 2597/MEF/SG/DGI/907/DEDTCF/2004 portant cession de gré à gré du 3/02/2005 antérieur au jugement rendu par le tribunal de première instance de N’djamena en date du 5/09 /06, prononçant à bon droit l’appartenance du terrain au sieur Adam Fadoul Tahir [...] lire la suite dans Alwihda actualité du 11 mars 2010
Le terrain est situé au quartier Goudji charafa, dans le 10ème arrondissement. C’est la section 1 îlot 84 GC 129. Le premier acquéreur Abdelhak reconnaît l’avoir acquis de façon traditionnelle. C’était en 1994 en présence de son premier attributaire Boulama Djidda Ramadan. Mais lorsque le gouvernement a commencé à restructurer les nouveaux quartiers, que, lui aussi a engagé sa demande auprès de service cadastral pour l’obtention légale de la parcelle. Sa demande a été agréée et une cession de gré à gré lui a été délivrée. Car goudji charafa Fait partie des quartiers restructurés déjà. M. Abdelhak Adoum Ouaddaï a construit des maisons d’habitation sur son terrain, planté des arbres, clôturé et y vit avec sa famille.
A sa grande surprise une tiers de personnes avec ses complices ont passé sur les lieux pour déterrer les dix arbres plantés et démolir les clôtures faites en briques parpaing. C’était le 16 mai 2009. « La scène était passée en présence de tous mes voisins et étant handicapé de mon état ,je n’ai pas de force pour agir comme une personne bien portante , j’étais obligé d’appeler le Huissier de justice, titulaire de charge, commissaire priseur près la cour d’appel et les tribunaux de N’Djamena pour lui en informer. Maitre Moussa Youssouf Ahmed aussitôt est descendu sur le terrain, section1 îlot 84 GC129 d’une superficie de 2100m2 constater des dégâts causés. Il a pu filmer et noter les dix arbres déterrés ainsi que leurs clôtures respectives saccagées. Je suis handicapé, qui sait, qu’est ce que j’ai fait pour m’approprier de ce terrain ?» Se plaint ABDELHAK. Pour lui, son opposant ADAM FADOUL TAHIR se déclare le premier acquérant du terrain pour rien. « Il nous rassure que son attributaire est le président de la république. C’est une parole de sommation à mon avis. L‘ acquisition de son terrain dont il est question est postérieure à la mienne » précise ABDELHAK ADOUM OUADDAI.
« J’ai occupé la parcelle depuis 1994 tandis que le concurrent l’a occupée en 2004 seulement. Alors comment peut-on comprendre un comportement d’incivique ? Il argumente qu’i la payé la parcelle tantôt avec un certain Mahamat Goulaye tantôt c’est le président de la République qui lui a donné le terrain. Je suppose que cette versatilité a certainement l’anguille sous roche. Je pense que dans ce pays les pauvres n’ont pas leur place. En tout cas, Je ne vais pas baisser le bras face à ce sieur. Je suis déjà mort, cabris mort n’a pas peur de couteau » rugit ABDELHAK.
En revanche, faut -il rappeler, le cabinet du Me Néatobei Bidi Valentin après avoir exploité les documents enregistrés sous n° 081 /MFB/SG/DG/DEDTCF/SEC/2010 DU 19 janvier 2010 ressort que l’Arrêt infirmatif de la Cour d’Appel du céans sur la parcelle querellée suscite beaucoup d’interrogations et pose le véritable problème de la validité des actes administratifs en l’espèce de l’Arrêt n° 2597/MEF/SG/DGI/907/DEDTCF/2004 portant cession de gré à gré du 3/02/2005 antérieur au jugement rendu par le tribunal de première instance de N’djamena en date du 5/09 /06, prononçant à bon droit l’appartenance du terrain au sieur Adam Fadoul Tahir [...] lire la suite dans Alwihda actualité du 11 mars 2010