Lors de la cérémonie de lancement, le ministre de l’Environnement, Hassan Bakhit Djamous, a rappelé les effets néfastes de la coupe abusive du bois, qui contribue à la désertification et au changement climatique. Il a insisté sur la nécessité de fournir aux populations des alternatives viables et accessibles pour répondre à leurs besoins énergétiques quotidiens.
Ce programme, soutenu par la Banque mondiale à travers le Projet ALBIA, prévoit la distribution de plus de 1 000 tonnes de charbon écologique et de 10 000 bouteilles de gaz butane. Il cible principalement les réfugiés des camps de l’est du pays, ainsi que les habitants des communautés hôtes, qui subissent une pression croissante sur leurs ressources naturelles.
Avec plus de 500 000 réfugiés soudanais et une population locale vulnérable, la demande en bois de chauffe s’est intensifiée, entraînant un déboisement accéléré. Face à cette urgence environnementale, le gouvernement a adopté une stratégie globale intégrant la sensibilisation, l’accès à l’eau et le développement d’énergies domestiques durables pour préserver les écosystèmes.
Présent à la cérémonie, Rasit Pertev, représentant résident de la Banque mondiale, a salué cette initiative et réaffirmé l’engagement de son institution.
« Cet appui vise à inciter la population à adopter des attitudes éco-responsables. Il est essentiel de proposer des alternatives accessibles et durables pour garantir la protection des ressources naturelles », a-t-il déclaré. Il a également souligné l’importance d’une collaboration entre le gouvernement, les partenaires internationaux et les populations locales pour assurer le succès du programme.
En s’inscrivant dans les engagements du Tchad pour la lutte contre le changement climatique, cette initiative marque une avancée significative vers une transition énergétique plus responsable. Le ministre a appelé à une mobilisation collective, impliquant la population, les organisations locales et les partenaires internationaux, afin d’assurer la réussite du programme et de garantir un avenir plus vert pour le pays.
Ce programme, soutenu par la Banque mondiale à travers le Projet ALBIA, prévoit la distribution de plus de 1 000 tonnes de charbon écologique et de 10 000 bouteilles de gaz butane. Il cible principalement les réfugiés des camps de l’est du pays, ainsi que les habitants des communautés hôtes, qui subissent une pression croissante sur leurs ressources naturelles.
Avec plus de 500 000 réfugiés soudanais et une population locale vulnérable, la demande en bois de chauffe s’est intensifiée, entraînant un déboisement accéléré. Face à cette urgence environnementale, le gouvernement a adopté une stratégie globale intégrant la sensibilisation, l’accès à l’eau et le développement d’énergies domestiques durables pour préserver les écosystèmes.
Présent à la cérémonie, Rasit Pertev, représentant résident de la Banque mondiale, a salué cette initiative et réaffirmé l’engagement de son institution.
« Cet appui vise à inciter la population à adopter des attitudes éco-responsables. Il est essentiel de proposer des alternatives accessibles et durables pour garantir la protection des ressources naturelles », a-t-il déclaré. Il a également souligné l’importance d’une collaboration entre le gouvernement, les partenaires internationaux et les populations locales pour assurer le succès du programme.
En s’inscrivant dans les engagements du Tchad pour la lutte contre le changement climatique, cette initiative marque une avancée significative vers une transition énergétique plus responsable. Le ministre a appelé à une mobilisation collective, impliquant la population, les organisations locales et les partenaires internationaux, afin d’assurer la réussite du programme et de garantir un avenir plus vert pour le pays.