Tchad - Le 17 mai 2013 © koaci.com - L’opposant Tchadien Saleh Kebzabo qui se trouve actuellement en Afrique du Sud se dit prêt à rentrer au pays malgré le risque "d’arrestation" voire "d’élimination" qu’il encourt, Kebzabo a été mis en cause dans la tentative de déstabilisation du 1er mai et son domicile perquisitionné.
Saleh Kebzabo actuellement en Afrique du Sud pour une session du Parlement panafricain se dit prêt à rentrer au pays malgré les risques qu’il encourt.
Suite à la tentative de déstabilisation révélée par les autorités Tchadiennes le 1er mai dernier, une vague d’arrestation a été effectuée dans la capitale N’Djamena et un mandat d’ d'arrêt officiel a été lancé contre l’opposant et son domicile perquisitionné en son absence, Kebzabo se trouvant en Afrique du Sud.
Le chef de file de l'UNDR (Union nationale pour le développement et le renouveau) a affirmé à la suite de cet évènement que cette affaire est montée de toutes pièces par le pouvoir pour régler ses comptes avec l'opposition.
Cependant Kebzabo se dit prêt à rentrer au Tchad, même s’il encourt le risque d’être " emprisonné "voir " éliminé ".
Pour rappel après l’annonce de la tentative de déstabilisation du Tchad, la justice du pays a mis une dizaine de personnalités civiles et militaires en détention parmi lesquels quatre députés.
Nanita
Saleh Kebzabo actuellement en Afrique du Sud pour une session du Parlement panafricain se dit prêt à rentrer au pays malgré les risques qu’il encourt.
Suite à la tentative de déstabilisation révélée par les autorités Tchadiennes le 1er mai dernier, une vague d’arrestation a été effectuée dans la capitale N’Djamena et un mandat d’ d'arrêt officiel a été lancé contre l’opposant et son domicile perquisitionné en son absence, Kebzabo se trouvant en Afrique du Sud.
Le chef de file de l'UNDR (Union nationale pour le développement et le renouveau) a affirmé à la suite de cet évènement que cette affaire est montée de toutes pièces par le pouvoir pour régler ses comptes avec l'opposition.
Cependant Kebzabo se dit prêt à rentrer au Tchad, même s’il encourt le risque d’être " emprisonné "voir " éliminé ".
Pour rappel après l’annonce de la tentative de déstabilisation du Tchad, la justice du pays a mis une dizaine de personnalités civiles et militaires en détention parmi lesquels quatre députés.
Nanita