Avec un budget de 10 millions d’euros sur quatre ans, ADELAC est mis en œuvre par un consortium d’ONG, dont COOPI (Italie), ID (France), PADIESE (Tchad), sous l’égide d’IRC (États-Unis). Son objectif est de bâtir un avenir meilleur pour les enfants de Mamdi, en renforçant l’accès à l’éducation et aux soins de santé.
Le directeur pays d’IRC, Rusuku Alain, a souligné les résultats tangibles obtenus grâce au projet, parmi lesquels :
« Nous avons été formés et accompagnés pour améliorer notre enseignement. Nous espérons maintenant être intégrés à la fonction publique pour assurer la continuité du projet. »
De son côté, le représentant de l’ambassadeur de France, Benjamin Weisz, a insisté sur l’appropriation locale du projet :
« Ce projet appartient avant tout aux bénéficiaires. Il représente un modèle que nous voulons reproduire dans d’autres régions. »
Le directeur pays d’IRC, Rusuku Alain, a souligné les résultats tangibles obtenus grâce au projet, parmi lesquels :
- La construction et l’équipement des centres de santé de Tchoubourou et d’une unité nutritionnelle thérapeutique à l’hôpital provincial de Bol.
- L’édification de 28 salles de classe et 33 latrines, offrant de meilleures conditions de scolarisation à plus de 6 000 enfants.
- La réhabilitation et construction de 7 centres communautaires.
- La prise en charge de plus de 36 000 enfants atteints de diverses pathologies.
- L’accompagnement des femmes enceintes et allaitantes à l’hôpital de Bol.
- Un projet salué par les bénéficiaires et les partenaires
« Nous avons été formés et accompagnés pour améliorer notre enseignement. Nous espérons maintenant être intégrés à la fonction publique pour assurer la continuité du projet. »
De son côté, le représentant de l’ambassadeur de France, Benjamin Weisz, a insisté sur l’appropriation locale du projet :
« Ce projet appartient avant tout aux bénéficiaires. Il représente un modèle que nous voulons reproduire dans d’autres régions. »
Le représentant du ministère de l’Éducation nationale, Mahamat Mahaboub Abakar, a plaidé pour l’extension du projet vers d’autres provinces comme le Kanem et le Barh El Gazal, soulignant le manque de structures éducatives dans ces régions.
La secrétaire d’État à la Santé publique, Bourkou Louise Ngaradoumri, a insisté sur la nécessité de pérenniser les efforts entrepris. Elle a notamment recommandé :
La secrétaire d’État à la Santé publique, Bourkou Louise Ngaradoumri, a insisté sur la nécessité de pérenniser les efforts entrepris. Elle a notamment recommandé :
- L’intégration de la culture maraîchère pour lutter contre la malnutrition.
- La mise en place d’unités de transformation du poisson du Lac pour stimuler l’économie locale.