En réponse à l'invitation des organisations de la société civile tchadienne, l'Alliance Citoyenne pour les Élections au Tchad (ACET), l'Union Européenne (UE) a exprimé sa préoccupation concernant le refus de délivrer les lettres d'accréditation pour l'observation du scrutin présidentiel du 6 mai 2024.
Sona Jarosova, cheffe de section politique à la délégation de l'UE au Tchad, a clarifié le rôle de l'Union Européenne dans le cadre de l'observation électorale. L'UE a soutenu la transition depuis le début, en faveur d'un processus inclusif et crédible menant à l'élaboration d'un nouveau contrat social, fondement d'une démocratie renouvelée respectant les droits de l'homme. L'un des piliers de ce soutien est le projet d'appui aux citoyens tchadiens dans leur participation aux élections, avec pour objectif de contribuer au processus électoral.
L'observation électorale citoyenne n'a pas pour but de contester les résultats officiels ni de créer un sondage parallèle. Le soutien aux organisations citoyennes dans l'exercice de leurs libertés fondamentales et dans l'application des principes démocratiques a toujours été au cœur des priorités de l'UE. Les fonds des contribuables européens ont été utilisés pour former 2 900 observateurs citoyens qui devaient être déployés sur l'ensemble du territoire.
L'Union Européenne regrette le refus de l'ANGE d'octroyer l'accréditation aux organisations tchadiennes d'observation électorale citoyenne sans raison justifiée, ainsi que le manque de communication à ce sujet.
Il convient de rappeler que les organisations de la société civile tchadienne, notamment l'ACET, l'Observatoire des Associations sur le Processus Électoral au Tchad (OAPET), la Ligue Tchadienne des Droits de l'Homme (LTDH), et l'Organisation des Acteurs Non-Étatiques (OANET), ont publié un communiqué le dimanche 5 mai 2024. Ces organisations regrettent de constater que, quelques heures avant le vote, les accréditations pour l'observation du scrutin présidentiel n'ont toujours pas été délivrées.
Sona Jarosova, cheffe de section politique à la délégation de l'UE au Tchad, a clarifié le rôle de l'Union Européenne dans le cadre de l'observation électorale. L'UE a soutenu la transition depuis le début, en faveur d'un processus inclusif et crédible menant à l'élaboration d'un nouveau contrat social, fondement d'une démocratie renouvelée respectant les droits de l'homme. L'un des piliers de ce soutien est le projet d'appui aux citoyens tchadiens dans leur participation aux élections, avec pour objectif de contribuer au processus électoral.
L'observation électorale citoyenne n'a pas pour but de contester les résultats officiels ni de créer un sondage parallèle. Le soutien aux organisations citoyennes dans l'exercice de leurs libertés fondamentales et dans l'application des principes démocratiques a toujours été au cœur des priorités de l'UE. Les fonds des contribuables européens ont été utilisés pour former 2 900 observateurs citoyens qui devaient être déployés sur l'ensemble du territoire.
L'Union Européenne regrette le refus de l'ANGE d'octroyer l'accréditation aux organisations tchadiennes d'observation électorale citoyenne sans raison justifiée, ainsi que le manque de communication à ce sujet.
Il convient de rappeler que les organisations de la société civile tchadienne, notamment l'ACET, l'Observatoire des Associations sur le Processus Électoral au Tchad (OAPET), la Ligue Tchadienne des Droits de l'Homme (LTDH), et l'Organisation des Acteurs Non-Étatiques (OANET), ont publié un communiqué le dimanche 5 mai 2024. Ces organisations regrettent de constater que, quelques heures avant le vote, les accréditations pour l'observation du scrutin présidentiel n'ont toujours pas été délivrées.