Les moustiques, plus particulièrement les femelles de l'espèce Anopheles, sont des insectes hématophages qui se nourrissent de sang. Lors d'un repas sur une personne infectée par le paludisme, le moustique ingère les parasites Plasmodium falciparum responsables de la maladie. Ces parasites se développent ensuite dans l'insecte avant d'être transmis à un individu sain lors d'une nouvelle piqûre.
Le paludisme demeure un problème de santé publique majeur au Tchad. Selon le Dr Ali Dahab Djimet, "le paludisme tue encore des milliers de personnes chaque année, en particulier les jeunes enfants".
Le ministère de la Santé publique doit renforcer son système de santé en distribuant des moustiquaires imprégnées d'insecticide aux populations, en assurant la disponibilité des médicaments antipaludiques et en formant le personnel médical à la prise en charge efficace de la maladie.
L'Organisation mondiale de la Santé (OMS) doit apporter son soutien technique et financier aux programmes nationaux de lutte contre le paludisme.
Les citoyens doivent adopter des comportements préventifs tels que l'utilisation de moustiquaires, le port de vêtements longs et l'application de répulsifs anti-moustiques.
La lutte contre le paludisme au Tchad requiert un engagement continu et des efforts concertés de la part du gouvernement, des organisations internationales et des populations. En renforçant les stratégies de prévention et de prise en charge, l'objectif est de réduire significativement la prévalence de cette maladie et de sauver des vies.
Le paludisme demeure un problème de santé publique majeur au Tchad. Selon le Dr Ali Dahab Djimet, "le paludisme tue encore des milliers de personnes chaque année, en particulier les jeunes enfants".
Le ministère de la Santé publique doit renforcer son système de santé en distribuant des moustiquaires imprégnées d'insecticide aux populations, en assurant la disponibilité des médicaments antipaludiques et en formant le personnel médical à la prise en charge efficace de la maladie.
L'Organisation mondiale de la Santé (OMS) doit apporter son soutien technique et financier aux programmes nationaux de lutte contre le paludisme.
Les citoyens doivent adopter des comportements préventifs tels que l'utilisation de moustiquaires, le port de vêtements longs et l'application de répulsifs anti-moustiques.
La lutte contre le paludisme au Tchad requiert un engagement continu et des efforts concertés de la part du gouvernement, des organisations internationales et des populations. En renforçant les stratégies de prévention et de prise en charge, l'objectif est de réduire significativement la prévalence de cette maladie et de sauver des vies.