Le premier groupe reçu par le Président de la République IDRISS DEBY ITNO est le bureau du Cadre national du dialogue politique (CNDP), conduit par son Président, Ali Golhor Gabriel. Cette rencontre entre dans le cadre régulier des échanges entre les membres du bureau du CNDP et le Chef de l’Etat qui en est le garant.
Ayant constaté que la mise en œuvre du processus électoral prend énormément du retard, le Chef de l’Etat IDRISS DEBY ITNO a anticipé pour interpeller les différents acteurs politiques à taire leurs querelles afin d’œuvrer dans le sens de l’intérêt général. « Laissez la CENI jouer son rôle, ne l’empêchez pas de travailler », a martelé d’entrée de jeu le Chef de l’Etat. Le Président de la République poursuit en déclarant qu’à ce rythme, nous risquerons de créer un vide juridique qui serait préjudiciable à tous. « Nous avons convenu depuis 2013 sur l’option du recensement mise en place par la CENI. Il faut donc aller vite pour tenir le délai constitutionnel. Je vous ai appelé pour vous demander de collaborer franchement avec la CENI ».
Répondant au Chef de l’Etat, le Président du CNDP, Ali Golhor Gabriel rassure qu’il n’y a aucun nuage entre le CNDP et la CENI. « On a même des échanges réguliers avec cette dernière ». C’est bon qu’il n’y ait pas de problème, a conclu le Chef de l’Etat avant de donner rendez-vous au CNDP pour une nouvelle rencontre la semaine prochaine.
Après le CNDP, le Président de la République a rencontré tous les membres de la Commission électorale nationale indépendante (CENI) conduits par le président de cette institution. Royoumbaye Nadoumgar. Il a présenté au Chef de l’Etat les activités qu’ils ont menées depuis leur installation.
Le Chef de l’Etat IDRISS DEBY ITNO a relevé le caractère, à la fois exaltant et ingrat de la mission assignée aux membres de la CENI. Leur prodiguant des conseils, il a insisté sur une franche collaboration avec le CNDP en privilégiant l’intérêt national.
C’est dans un climat serein empreint de cordialité que les deux cérémonies eurent lieu. Le Chef de l’Etat et les acteurs de la vie politique tchadienne ont eu une convergence de vue sur nombre de questions qui constituent de zones d’ombre. Des questions à aplanir avant la tenue des futures échéances électorales.
Ayant constaté que la mise en œuvre du processus électoral prend énormément du retard, le Chef de l’Etat IDRISS DEBY ITNO a anticipé pour interpeller les différents acteurs politiques à taire leurs querelles afin d’œuvrer dans le sens de l’intérêt général. « Laissez la CENI jouer son rôle, ne l’empêchez pas de travailler », a martelé d’entrée de jeu le Chef de l’Etat. Le Président de la République poursuit en déclarant qu’à ce rythme, nous risquerons de créer un vide juridique qui serait préjudiciable à tous. « Nous avons convenu depuis 2013 sur l’option du recensement mise en place par la CENI. Il faut donc aller vite pour tenir le délai constitutionnel. Je vous ai appelé pour vous demander de collaborer franchement avec la CENI ».
Répondant au Chef de l’Etat, le Président du CNDP, Ali Golhor Gabriel rassure qu’il n’y a aucun nuage entre le CNDP et la CENI. « On a même des échanges réguliers avec cette dernière ». C’est bon qu’il n’y ait pas de problème, a conclu le Chef de l’Etat avant de donner rendez-vous au CNDP pour une nouvelle rencontre la semaine prochaine.
Après le CNDP, le Président de la République a rencontré tous les membres de la Commission électorale nationale indépendante (CENI) conduits par le président de cette institution. Royoumbaye Nadoumgar. Il a présenté au Chef de l’Etat les activités qu’ils ont menées depuis leur installation.
Le Chef de l’Etat IDRISS DEBY ITNO a relevé le caractère, à la fois exaltant et ingrat de la mission assignée aux membres de la CENI. Leur prodiguant des conseils, il a insisté sur une franche collaboration avec le CNDP en privilégiant l’intérêt national.
C’est dans un climat serein empreint de cordialité que les deux cérémonies eurent lieu. Le Chef de l’Etat et les acteurs de la vie politique tchadienne ont eu une convergence de vue sur nombre de questions qui constituent de zones d’ombre. Des questions à aplanir avant la tenue des futures échéances électorales.