Chronique de Moussa
Il est des évènements dans l’histoire d’un peuple qu’on ne peut s’empêcher de saluer d’un sourire d’espérance et de satisfaction. La date du 1er décembre 1990 en est une. A cette date, le Tchad a tourné une page noire de son histoire. Une nouvelle ère de démocratie et de liberté fut proclamée.
Des lors, le parti de Bamina devient la victime expiratoire des excès de la liberté retrouvée et de la démocratie restaurée. Quand il fait chaud, c’est le MPS ; quand il ne pleut pas, c’est le MPS ; le paludisme, c’est le MPS ; la décrue du Lac Tchad, c’est toujours le MPS. Bref, le MPS est devenu la cible de toute sorte d’attaques des Francs-tireurs. Mais, il a su garder le Cap.
Le Parti du 1er décembre a tout vécu, tout subi, tout enduré. Il a survécu, car rien ne lui a été épargné. Oppositions armées, oppositions politiques, des difficultés et les écueils en tout genre. Ces épreuves dignes d’un parcours du combattant lui ont forgé une mentalité et une expérience remarquable.
En dépit de ces « vuvuzelas », le pouvoir MPS, fidèle à son engagement à promouvoir l’unité, le progrès et la démocratie dans un Tchad en paix, reste toujours à l’ouvrage.
Ce qui est marrant, ce combat politique n’est point au niveau des idées. L’on n’a pas besoin d’être un expert en sciences politiques pour s’en rendre compte.
Les positions politiques affichées par les uns et les autres sont d’abord et toujours dictées par les intérêts égoïstes et bassement matériels du moment.
Dans le débat politique actuel, bien malin qui pourrait établir la ligne de démarcation idéologique entre les vrais amis et les adversaires du MPS. Il suffit pour s’en convaincre de jeter un regard rétrospectif sur les parcours politiques de l’ère démocratique. Pour la plupart, ils ont flirté avec la mouvance présidentielle. Au nom du partage du pouvoir, Certains ont occupé des hautes fonctions dans la hiérarchie politique.
Pour ces acteurs patentés de vagabondage politique, ce sont les intérêts et non les idées qui déterminent leur appartenance politique à la mouvance ou à l’opposition.
Feu Omar Bongo Ondimba, Président du Gabon, avec beaucoup d’humour et de réalisme, il définissait l’opposition politique en Afrique en ce terme : « lorsque ton frère se déclare opposant, il faut comprendre qu’il a faim. Donnes lui à manger et il n’est plus opposant ».
Cette plaisanterie, reflète l’image des retournements spectaculaires de vestes observés ces derniers jours au sein du MPS.
Quand le ventre pense à la place de la tête, on sait ce qu’on peut en sortir.
Moussa Goudja
66 24 03 08
Des lors, le parti de Bamina devient la victime expiratoire des excès de la liberté retrouvée et de la démocratie restaurée. Quand il fait chaud, c’est le MPS ; quand il ne pleut pas, c’est le MPS ; le paludisme, c’est le MPS ; la décrue du Lac Tchad, c’est toujours le MPS. Bref, le MPS est devenu la cible de toute sorte d’attaques des Francs-tireurs. Mais, il a su garder le Cap.
Le Parti du 1er décembre a tout vécu, tout subi, tout enduré. Il a survécu, car rien ne lui a été épargné. Oppositions armées, oppositions politiques, des difficultés et les écueils en tout genre. Ces épreuves dignes d’un parcours du combattant lui ont forgé une mentalité et une expérience remarquable.
En dépit de ces « vuvuzelas », le pouvoir MPS, fidèle à son engagement à promouvoir l’unité, le progrès et la démocratie dans un Tchad en paix, reste toujours à l’ouvrage.
Ce qui est marrant, ce combat politique n’est point au niveau des idées. L’on n’a pas besoin d’être un expert en sciences politiques pour s’en rendre compte.
Les positions politiques affichées par les uns et les autres sont d’abord et toujours dictées par les intérêts égoïstes et bassement matériels du moment.
Dans le débat politique actuel, bien malin qui pourrait établir la ligne de démarcation idéologique entre les vrais amis et les adversaires du MPS. Il suffit pour s’en convaincre de jeter un regard rétrospectif sur les parcours politiques de l’ère démocratique. Pour la plupart, ils ont flirté avec la mouvance présidentielle. Au nom du partage du pouvoir, Certains ont occupé des hautes fonctions dans la hiérarchie politique.
Pour ces acteurs patentés de vagabondage politique, ce sont les intérêts et non les idées qui déterminent leur appartenance politique à la mouvance ou à l’opposition.
Feu Omar Bongo Ondimba, Président du Gabon, avec beaucoup d’humour et de réalisme, il définissait l’opposition politique en Afrique en ce terme : « lorsque ton frère se déclare opposant, il faut comprendre qu’il a faim. Donnes lui à manger et il n’est plus opposant ».
Cette plaisanterie, reflète l’image des retournements spectaculaires de vestes observés ces derniers jours au sein du MPS.
Quand le ventre pense à la place de la tête, on sait ce qu’on peut en sortir.
Moussa Goudja
66 24 03 08