Le bizutage, ou initiation qui est un ensemble de pratiques, épreuves, traitements ritualisés et imposés, destiné à symboliser l'intégration d'une personne au sein d'un groupe social particulier, est formellement interdit au sien de l’Université de Ndjamena, a rappelé aux étudiants, le vice-président chargé des Enseignements de cet établissement, Tatoloum Amane.
« Certains étudiants se faisant appeler ‘’généraux ou leaders’’ se livrent aux actes de bizutage. Cette pratique humiliante entamant la dignité des victimes est formellement interdite sur tout le campus de l’Université de Ndjamena », a souligné dans un communiqué le 6 octobre 2023, le Maitre de conférences, Tatoloum Amane.
Selon le vice-président chargé des Enseignements à l’Université de Ndjamena, ces soi-disant généraux ou leaders ainsi que tous « ceux qui livrent à cette pratique s’exposent à des sanctions disciplinaires graves ».
La pratique du bizutage à l’université, souvent associée aux célèbres fraternités américaines, n’épargne pas les facultés et les grandes écoles tchadiennes aujourd’hui.
En effet, le principe du bizutage réside dans la domination, selon des pédagogues. « Un groupe domine l’autre. Dans ce cas, ce sont les étudiants les plus âgés qui imposent des épreuves aux nouveaux entrants. Et les nouveaux étudiants acceptent forcément, parce qu’ils se trouvent en position délicate. Ils craignent d’être exclus ou bien ils ne veulent pas se faire remarquer et ont peur de la punition qui leur sera infligée », nous explique un conseiller d’orientation.
« Certains étudiants se faisant appeler ‘’généraux ou leaders’’ se livrent aux actes de bizutage. Cette pratique humiliante entamant la dignité des victimes est formellement interdite sur tout le campus de l’Université de Ndjamena », a souligné dans un communiqué le 6 octobre 2023, le Maitre de conférences, Tatoloum Amane.
Selon le vice-président chargé des Enseignements à l’Université de Ndjamena, ces soi-disant généraux ou leaders ainsi que tous « ceux qui livrent à cette pratique s’exposent à des sanctions disciplinaires graves ».
La pratique du bizutage à l’université, souvent associée aux célèbres fraternités américaines, n’épargne pas les facultés et les grandes écoles tchadiennes aujourd’hui.
En effet, le principe du bizutage réside dans la domination, selon des pédagogues. « Un groupe domine l’autre. Dans ce cas, ce sont les étudiants les plus âgés qui imposent des épreuves aux nouveaux entrants. Et les nouveaux étudiants acceptent forcément, parce qu’ils se trouvent en position délicate. Ils craignent d’être exclus ou bien ils ne veulent pas se faire remarquer et ont peur de la punition qui leur sera infligée », nous explique un conseiller d’orientation.