Ahmat Bachir. Crédits photos : Sources
Un coup de tonnerre dans un ciel serein!
Le limogeage du Ministre Mahamat Ahmat Bachir a été un véritable coup de tonnerre dans un ciel serein. De départ bien qu’ayant pris de court de nombreuses personnes, réjouit grandement ceux qui reprochent beaucoup de choses à l’ancien Ministre de la sécurité publique pour son intransigeance et qui ne va pas par quatre chemins pour exiger l’application des normes de son département, même s’il s’est attiré les foudres des uns et des autres en pareil circonstance, son travail au sein du Ministère a laissé des empreintes tangibles et louables.
Beaucoup de personnes empreintes d’honnêteté apprécient le phénoménal travail accompli par Ahmat Bachar et son équipe. On dit qu’on ne change pas une équipe qui gagne, mais pourquoi donc ce revirement? Seuls les proches du chef de l’état et du Premier Ministre ainsi que les membres de la CONACOPOL chargée de se pencher sur la police, peuvent lever le coin du voile pour nous laisser entrevoir la pomme de discorde. Mais sans surprise de nous tromper, le limogeage d’Ahmat Bachar aurait également des liens avec les relations conflictuelles et parfois houleuses avec bon nombre des membres de la CONACOPOL et non des moindres. Nous pouvons également avancés des insuffisances dans la gestion des activités de la police qui découle directement du Directeur général et ses différentes structures.
La tentaculaire police obéirait selon les connaissant à une règle bien huilée propre à chaque service. Chaque commissariat, poste de police ou directeurs fait son « shopping » sur les citoyens en les rackettant lors des contrôles d’identité, des contrôles routiers, de dépôt et d’enregistrement de plaintes. La police bien que dotée en carburant par l’état oblige les citoyens à payer des frais pour les déplacements, les interventions et la remise des convocations. Ces activités bien organisées dont les fruits sont partagés entre les éléments qui laissent une part aux responsables de leur poste ou commissariat. Pour nous, novices de la chose policière, nous toujours crus que ces manières de faire ne sont que normales. Ahmat Bachar aurait peut-être fait les frais des sommes de l’animosité entretenue contre lui et a dû subir les foudres des hautes autorités sur des ouï-dire, en principe, Monsieur Ahmat Bachar doit avoir la chance de se défendre devant une commission parlementaire, mais comme au Tchad la pluie et le beau temps n’est pas le monopole de tout le monde, on doit nous conformer à la situation.
Toute fois, on ne doit pas relativiser les susceptibilités et les rivalités entre les individus pour en faire une affaire pouvant couter la tête d’un Ministre aussi consciencieux et engagé qu’Ahmat Bachar qui a su imposer son empreinte au département de l’immigration et de la sécurité publique. On dit souvent que les talentueux auront toujours tord, le Ministre Bachar en est un et c’est la raison des forts qui prime. Tout en déplorant ce départ prématuré au moment où le terrorisme cherche à s’installer dans le sahel, limoger un Ministre bien huilé dans le domaine de la sécurité publique n’est que pure gageur et une erreur possiblement. Mais sans camper sur l’expectatif et les supputations sans résultats, nous disons que les Hommes partent les institutions restent. Nous disons que les hautes autorités ne laisseraient pas M. Ahmat Bachar moisir..
Le Ministre Ahmat Bachir a été pris au piège sur les mailles des filets de ceux qui s’opposent à une méthode de gestion du Ministère autre qu’orthodoxe. Cette manière de débarquer les Ministres et les hautes responsables sans leur donner la possibilité de prouver le contraire des accusations et les griefs portés contre eux ternie grandement l’image de notre démocratie. Nous osons croire que de telles prises de décision aussi hâtives qu’improductives ne soient pas banalisées dans notre pays où nous le besoin d’une bonne gouvernance est grandement sollicité. Toute fois, nous concluons en disant que la raison du plus fort est la meilleure. Les pauvres eux, ne peuvent jouer sur le champ de combat des pachydermes. Ahmat Bachir limogé c’est comme le chat n’est pas là, les souris danses ou plutôt disons pour la circonstance Bachir n’est pas là, les bandits jubilent. La roue de l’état tourne et tournera encore. Bon vent Mahamat Ahmat Bachir!
Mourhal Adam
Le limogeage du Ministre Mahamat Ahmat Bachir a été un véritable coup de tonnerre dans un ciel serein. De départ bien qu’ayant pris de court de nombreuses personnes, réjouit grandement ceux qui reprochent beaucoup de choses à l’ancien Ministre de la sécurité publique pour son intransigeance et qui ne va pas par quatre chemins pour exiger l’application des normes de son département, même s’il s’est attiré les foudres des uns et des autres en pareil circonstance, son travail au sein du Ministère a laissé des empreintes tangibles et louables.
Beaucoup de personnes empreintes d’honnêteté apprécient le phénoménal travail accompli par Ahmat Bachar et son équipe. On dit qu’on ne change pas une équipe qui gagne, mais pourquoi donc ce revirement? Seuls les proches du chef de l’état et du Premier Ministre ainsi que les membres de la CONACOPOL chargée de se pencher sur la police, peuvent lever le coin du voile pour nous laisser entrevoir la pomme de discorde. Mais sans surprise de nous tromper, le limogeage d’Ahmat Bachar aurait également des liens avec les relations conflictuelles et parfois houleuses avec bon nombre des membres de la CONACOPOL et non des moindres. Nous pouvons également avancés des insuffisances dans la gestion des activités de la police qui découle directement du Directeur général et ses différentes structures.
La tentaculaire police obéirait selon les connaissant à une règle bien huilée propre à chaque service. Chaque commissariat, poste de police ou directeurs fait son « shopping » sur les citoyens en les rackettant lors des contrôles d’identité, des contrôles routiers, de dépôt et d’enregistrement de plaintes. La police bien que dotée en carburant par l’état oblige les citoyens à payer des frais pour les déplacements, les interventions et la remise des convocations. Ces activités bien organisées dont les fruits sont partagés entre les éléments qui laissent une part aux responsables de leur poste ou commissariat. Pour nous, novices de la chose policière, nous toujours crus que ces manières de faire ne sont que normales. Ahmat Bachar aurait peut-être fait les frais des sommes de l’animosité entretenue contre lui et a dû subir les foudres des hautes autorités sur des ouï-dire, en principe, Monsieur Ahmat Bachar doit avoir la chance de se défendre devant une commission parlementaire, mais comme au Tchad la pluie et le beau temps n’est pas le monopole de tout le monde, on doit nous conformer à la situation.
Toute fois, on ne doit pas relativiser les susceptibilités et les rivalités entre les individus pour en faire une affaire pouvant couter la tête d’un Ministre aussi consciencieux et engagé qu’Ahmat Bachar qui a su imposer son empreinte au département de l’immigration et de la sécurité publique. On dit souvent que les talentueux auront toujours tord, le Ministre Bachar en est un et c’est la raison des forts qui prime. Tout en déplorant ce départ prématuré au moment où le terrorisme cherche à s’installer dans le sahel, limoger un Ministre bien huilé dans le domaine de la sécurité publique n’est que pure gageur et une erreur possiblement. Mais sans camper sur l’expectatif et les supputations sans résultats, nous disons que les Hommes partent les institutions restent. Nous disons que les hautes autorités ne laisseraient pas M. Ahmat Bachar moisir..
Le Ministre Ahmat Bachir a été pris au piège sur les mailles des filets de ceux qui s’opposent à une méthode de gestion du Ministère autre qu’orthodoxe. Cette manière de débarquer les Ministres et les hautes responsables sans leur donner la possibilité de prouver le contraire des accusations et les griefs portés contre eux ternie grandement l’image de notre démocratie. Nous osons croire que de telles prises de décision aussi hâtives qu’improductives ne soient pas banalisées dans notre pays où nous le besoin d’une bonne gouvernance est grandement sollicité. Toute fois, nous concluons en disant que la raison du plus fort est la meilleure. Les pauvres eux, ne peuvent jouer sur le champ de combat des pachydermes. Ahmat Bachir limogé c’est comme le chat n’est pas là, les souris danses ou plutôt disons pour la circonstance Bachir n’est pas là, les bandits jubilent. La roue de l’état tourne et tournera encore. Bon vent Mahamat Ahmat Bachir!
Mourhal Adam