Ce samedi 7 septembre 2024, le ministre de la Santé publique a tenu une rencontre avec la presse, les responsables de l'autorité traditionnelle, ainsi que divers responsables du ministère de la Santé publique.
Lors de cette rencontre, le Directeur de l'Alimentation et de la Nutrition, le Professeur Mahamat Béchir, a rappelé l'impact de la malnutrition sur la santé des enfants, leur scolarité et leur épanouissement. Il a également évoqué les stratégies mises en place par le gouvernement, à travers le ministère de la Santé publique, pour protéger les enfants contre la malnutrition. Il a souligné que l’appui de tous les acteurs est nécessaire pour lutter efficacement contre ce fléau.
Le Directeur général du Centre hospitalier universitaire de référence nationale, le Professeur Ibrahim Ahmat, a quant à lui mis l'accent sur les insuffisances rénales, une maladie qui perturbe la vie des familles et affecte la performance des fonctionnaires qui en sont atteints, créant des dysfonctionnements dans les services publics. Il a également souligné que les médicaments vendus illégalement, les remèdes traditionnels non reconnus, ainsi que le tabac et l'alcool, sont des facteurs qui aggravent les maladies rénales. Il a salué les efforts des autorités du pays pour avoir facilité la prise en charge gratuite des séances de dialyse.
Le Secrétaire général du ministère, Dabsou Guidaoussou, a présenté le Plan National de Développement Sanitaire de 4ᵉ génération, qui inclut une analyse des tendances de la mortalité maternelle, néonatale, infantile et infanto-juvénile, ainsi que les conséquences sanitaires des inondations. Il a également détaillé les actions déjà réalisées et les perspectives à venir. Le renforcement des ressources humaines dans le secteur de la santé a été souligné comme essentiel pour promouvoir la santé, prévenir les maladies et surveiller les menaces sanitaires, contribuant ainsi au développement économique du pays et à une couverture sanitaire adéquate.
Enfin, le ministre de la Santé publique a rappelé l’organisation du système de santé tchadien, ses différentes configurations et les défis auxquels il est confronté, notamment la promiscuité dans les zones de forte concentration, particulièrement dans les localités qui accueillent des réfugiés. Il a également assuré que, concernant la variole du singe, aucun cas n'a été enregistré au Tchad, et que des mesures sont en place pour parer à toute éventualité.
Lors de cette rencontre, le Directeur de l'Alimentation et de la Nutrition, le Professeur Mahamat Béchir, a rappelé l'impact de la malnutrition sur la santé des enfants, leur scolarité et leur épanouissement. Il a également évoqué les stratégies mises en place par le gouvernement, à travers le ministère de la Santé publique, pour protéger les enfants contre la malnutrition. Il a souligné que l’appui de tous les acteurs est nécessaire pour lutter efficacement contre ce fléau.
Le Directeur général du Centre hospitalier universitaire de référence nationale, le Professeur Ibrahim Ahmat, a quant à lui mis l'accent sur les insuffisances rénales, une maladie qui perturbe la vie des familles et affecte la performance des fonctionnaires qui en sont atteints, créant des dysfonctionnements dans les services publics. Il a également souligné que les médicaments vendus illégalement, les remèdes traditionnels non reconnus, ainsi que le tabac et l'alcool, sont des facteurs qui aggravent les maladies rénales. Il a salué les efforts des autorités du pays pour avoir facilité la prise en charge gratuite des séances de dialyse.
Le Secrétaire général du ministère, Dabsou Guidaoussou, a présenté le Plan National de Développement Sanitaire de 4ᵉ génération, qui inclut une analyse des tendances de la mortalité maternelle, néonatale, infantile et infanto-juvénile, ainsi que les conséquences sanitaires des inondations. Il a également détaillé les actions déjà réalisées et les perspectives à venir. Le renforcement des ressources humaines dans le secteur de la santé a été souligné comme essentiel pour promouvoir la santé, prévenir les maladies et surveiller les menaces sanitaires, contribuant ainsi au développement économique du pays et à une couverture sanitaire adéquate.
Enfin, le ministre de la Santé publique a rappelé l’organisation du système de santé tchadien, ses différentes configurations et les défis auxquels il est confronté, notamment la promiscuité dans les zones de forte concentration, particulièrement dans les localités qui accueillent des réfugiés. Il a également assuré que, concernant la variole du singe, aucun cas n'a été enregistré au Tchad, et que des mesures sont en place pour parer à toute éventualité.