Par Bou Ah Gandié
Suite à sa deuxième réunion tenue le 6 juillet dernier à Yaoundé au Cameroun le Comité de Politique Monétaire de la Banque des Etats de l’Afrique Centrale BEAC, a pris connaissance des tendances de l’économie mondiale au premier semestre 2011 ainsi que des prévisions économiques monétaires et financières actualisées de la CEMAC en 2011.
Le directeur général de la BEAC au Tchad a dans son point de presse fait au sein de l’institution le vendredi 15 juillet 2011 indiqué que l’évolution est toutefois lente dans les pays avancés que dans les économies émergentes et en développement. Il explique que l’économie mondiale reste exposée à des risques très importants de ralentissement. Les tensions sont d’après lui persistantes sur certains compartiments des marchés financiers surtout de la zone euro. Le dirigeant de la BEAC du Tchad a abordé le renchérissement des prix des matières premières et l’incertitude géopolitique dans les pays du Maghreb et du Moyen Orient.
Au plan sous-régional, les perspectives macroéconomiques actualisées confirment la relance de la croissance économique avec une progression du PIB réel de 5,2% contre 4,3% en 2010. Cette tendance selon le premier technicien de la BEAC serait entretenue par la hausse de la production pétrolière et de gaz, l’orientation favorable du secteur non pétrolier qui bénéficierait du dynamisme des télécommunications, des transports et des industries manufacturières, le lancement de pas mal des projets d’exploitation de minerais et l’intensification des travaux de construction des infrastructures publiques dans les pays membres.
En ce qui concerne notre pays le Tchad, pour l’année en cours, les principaux produits de l’exportation et l’augmentation des investissements publics agrégats macroéconomiques évolueront en un taux de croissance de 3,6% après l’expansion record de 13,6% en 2010, la poursuite de la tendance baissière de prix avec l’indice harmonisé diminuant 2,6% en moyenne annuelle et de 3,1% en glissement annuel en mars 2010 et mars 2011, une amélioration de la gestion des finances publiques avec à la fin de mars un excédent de 72,9 milliards contre un déficit de 21,1milliards, une hausse des avoirs extérieurs nets avec une couverture de la monnaie se situant à 63,1% et unehausse des crédits intérieurs de 19%.
Le directeur de la BEAC se dit satisfait de ce pas positif dans l’économie tchadienne.
Le directeur général de la BEAC au Tchad a dans son point de presse fait au sein de l’institution le vendredi 15 juillet 2011 indiqué que l’évolution est toutefois lente dans les pays avancés que dans les économies émergentes et en développement. Il explique que l’économie mondiale reste exposée à des risques très importants de ralentissement. Les tensions sont d’après lui persistantes sur certains compartiments des marchés financiers surtout de la zone euro. Le dirigeant de la BEAC du Tchad a abordé le renchérissement des prix des matières premières et l’incertitude géopolitique dans les pays du Maghreb et du Moyen Orient.
Au plan sous-régional, les perspectives macroéconomiques actualisées confirment la relance de la croissance économique avec une progression du PIB réel de 5,2% contre 4,3% en 2010. Cette tendance selon le premier technicien de la BEAC serait entretenue par la hausse de la production pétrolière et de gaz, l’orientation favorable du secteur non pétrolier qui bénéficierait du dynamisme des télécommunications, des transports et des industries manufacturières, le lancement de pas mal des projets d’exploitation de minerais et l’intensification des travaux de construction des infrastructures publiques dans les pays membres.
En ce qui concerne notre pays le Tchad, pour l’année en cours, les principaux produits de l’exportation et l’augmentation des investissements publics agrégats macroéconomiques évolueront en un taux de croissance de 3,6% après l’expansion record de 13,6% en 2010, la poursuite de la tendance baissière de prix avec l’indice harmonisé diminuant 2,6% en moyenne annuelle et de 3,1% en glissement annuel en mars 2010 et mars 2011, une amélioration de la gestion des finances publiques avec à la fin de mars un excédent de 72,9 milliards contre un déficit de 21,1milliards, une hausse des avoirs extérieurs nets avec une couverture de la monnaie se situant à 63,1% et unehausse des crédits intérieurs de 19%.
Le directeur de la BEAC se dit satisfait de ce pas positif dans l’économie tchadienne.