
Face au manque d'emploi au Tchad, de nombreuses personnes se tournent vers le pousse-pousse pour gagner leur vie. Ce mode de transport se révèle particulièrement utile dans les marchés et quartiers, facilitant le déplacement de marchandises et d'autres services.
La problématique du chômage reste pressante, surtout pour les jeunes qui peinent à accéder à des emplois correspondant à leurs aspirations. Beaucoup d'entre eux choisissent de devenir pousseurs. Mbaira Madji, un jeune d'une trentaine d'années, témoigne : « Mon pousse-pousse me permet de gagner ma vie. Je travaille au marché de Dembé. Quand les véhicules arrivent avec des sacs ou autres marchandises, j'assure le déplacement. En moyenne, je gagne entre 7000 et 8000 F par jour, selon le nombre de concurrents. C'est un travail qui demande beaucoup d'énergie. » Le pousse-pousse peut transporter trois à quatre sacs, selon l'utilisateur.
Ce moyen de transport est également apprécié par des entrepreneurs. Marcelline, qui possède une épicerie, confie : « Pour me ravitailler, je vais au marché de Dembé ou Taradonna. Pour déplacer mes marchandises jusqu'au point d'arrêt des bus, je fais appel à un pousse-pousse. »
Dans le contexte actuel, il ne s'agit plus de choisir un métier par préférence, mais de trouver une source de revenus. Certains jeunes, bien que diplômés, sont encouragés à envisager d'autres métiers. Kaobassi, licencié en histoire, conseille : « Il faut laisser de côté ces diplômes et chercher un autre métier plutôt que de rester les bras croisés en attendant un poste dans la fonction publique. »
Le pousse-pousse est également utilisé pour l'évacuation des déchets ménagers. Alphonse, par exemple, propose ce service en se déplaçant de maison en maison. « Je fais ce travail depuis deux ans. Certaines personnes n'ont pas de dépotoir près de chez elles, je les aide à évacuer leurs déchets. Le prix varie de 250 à 500 F selon la quantité d'ordures, » explique-t-il.
Malgré les difficultés d'accès à l'emploi, il est essentiel de ne pas rester inactif. Comme le dit le proverbe, la vie est un combat ; il faut toujours chercher des moyens de se prendre en charge.
La problématique du chômage reste pressante, surtout pour les jeunes qui peinent à accéder à des emplois correspondant à leurs aspirations. Beaucoup d'entre eux choisissent de devenir pousseurs. Mbaira Madji, un jeune d'une trentaine d'années, témoigne : « Mon pousse-pousse me permet de gagner ma vie. Je travaille au marché de Dembé. Quand les véhicules arrivent avec des sacs ou autres marchandises, j'assure le déplacement. En moyenne, je gagne entre 7000 et 8000 F par jour, selon le nombre de concurrents. C'est un travail qui demande beaucoup d'énergie. » Le pousse-pousse peut transporter trois à quatre sacs, selon l'utilisateur.
Ce moyen de transport est également apprécié par des entrepreneurs. Marcelline, qui possède une épicerie, confie : « Pour me ravitailler, je vais au marché de Dembé ou Taradonna. Pour déplacer mes marchandises jusqu'au point d'arrêt des bus, je fais appel à un pousse-pousse. »
Dans le contexte actuel, il ne s'agit plus de choisir un métier par préférence, mais de trouver une source de revenus. Certains jeunes, bien que diplômés, sont encouragés à envisager d'autres métiers. Kaobassi, licencié en histoire, conseille : « Il faut laisser de côté ces diplômes et chercher un autre métier plutôt que de rester les bras croisés en attendant un poste dans la fonction publique. »
Le pousse-pousse est également utilisé pour l'évacuation des déchets ménagers. Alphonse, par exemple, propose ce service en se déplaçant de maison en maison. « Je fais ce travail depuis deux ans. Certaines personnes n'ont pas de dépotoir près de chez elles, je les aide à évacuer leurs déchets. Le prix varie de 250 à 500 F selon la quantité d'ordures, » explique-t-il.
Malgré les difficultés d'accès à l'emploi, il est essentiel de ne pas rester inactif. Comme le dit le proverbe, la vie est un combat ; il faut toujours chercher des moyens de se prendre en charge.