Le rectorat de l'université de N'Djamena s'est proposé d'assurer une médiation entre les étudiants de la faculté de science de la santé humaine et le ministère de l'enseignement supérieur afin de trouver une solution à propos du non paiement de leurs bourses d'études.
Les étudiants de la faculté de médecine réclament 6 mois d'arriérés de bourses dont 4 mois pour l'année en cours et 2 mois pour l'année passée, que le Centre National des Oeuvres Universitaires refuse de payer aux bénéficiaires.
Les étudiants, après avoir entamé plusieurs démarches auprès des autorités à différents niveaux, ont entamé jeudi une marche pacifique au départ de l'Hôpital Général de Référence Nationale, et transitant par l'Ambassade des États-Unis pour arriver à la Maison de la Culture Baba Moustapha, avant d'être dispersés par des gaz lacrymogènes lancés par la police. Dans la course poursuite, la police interpelle cinq étudiants qui seront ensuite libérés.
D'après de sources proches des étudiants, cinq étudiants blessés lors des échanges avec la police, ont été admis aux pavillon des urgences afin de recevoir des soins appropriés, avant d'être libérés.
Après ces échauffourées, les étudiants maintiennent la pression sur les autorités et décident entre autres de suspendre le cours, les stages effectués dans les différents hôpitaux et surtout d'organiser des marches pacifiques. Ce mouvement de grève pourrait avoir des répercussions négatives sur les patients hospitalisés sachant que ce sont ces stagiaires en fin de formation qui assurent l'essentiel des services dans tous les hôpitaux.
Les étudiants de la faculté de médecine réclament 6 mois d'arriérés de bourses dont 4 mois pour l'année en cours et 2 mois pour l'année passée, que le Centre National des Oeuvres Universitaires refuse de payer aux bénéficiaires.
Les étudiants, après avoir entamé plusieurs démarches auprès des autorités à différents niveaux, ont entamé jeudi une marche pacifique au départ de l'Hôpital Général de Référence Nationale, et transitant par l'Ambassade des États-Unis pour arriver à la Maison de la Culture Baba Moustapha, avant d'être dispersés par des gaz lacrymogènes lancés par la police. Dans la course poursuite, la police interpelle cinq étudiants qui seront ensuite libérés.
D'après de sources proches des étudiants, cinq étudiants blessés lors des échanges avec la police, ont été admis aux pavillon des urgences afin de recevoir des soins appropriés, avant d'être libérés.
Après ces échauffourées, les étudiants maintiennent la pression sur les autorités et décident entre autres de suspendre le cours, les stages effectués dans les différents hôpitaux et surtout d'organiser des marches pacifiques. Ce mouvement de grève pourrait avoir des répercussions négatives sur les patients hospitalisés sachant que ce sont ces stagiaires en fin de formation qui assurent l'essentiel des services dans tous les hôpitaux.