Le conseiller politique des Transformateurs, Don Ebert, a dénoncé mercredi un acharnement des autorités suite à l'intervention policière contre une marche pacifique dans le 7ème arrondissement de N'Djamena. La marche "des leaders pour la justice" a été interdite par le ministère de la Sécurité publique en raison du Covid-19. Les Transformateurs avaient toutefois décidé de la maintenir.
Intervenant dans une retransmission vidéo relayée sur la page des Transformateurs, peu après les incidents autour du siège du parti, Don Ebert a déclaré : "ce pays, soit on le transforme avec les Transformateurs ou bien on ne le transforme pas avec les Transformateurs. Ça ne se fera jamais sans nous".
Des militants des Transformateurs ont présenté une dizaine de douilles de gaz lacrymogène sur un plateau.
"Le régime en place est prêt à discuter avec quelques personnes qui s'engagent dans des rébellions. Le régime en place discute avec quelques bandits de grands chemins mais il n'est pas prêt à dialoguer, discuter avec des gens comme nous qui sont totalement pacifiques", a affirmé Don Ebert, ajoutant que "cette peur de la matraque doit nous quitter".
Il a ajouté : "nous sommes violentés, nous sommes agressés, chez nous, ici au siège, avec ce genre d'armes, les gaz lacrymogènes. On a des blessés, des gens qui ont été arrêtés mais qui grâce à Dieu, ont rapidement été libérés. Il y a des gens qui sont encore arrêtés".
À Doba, une marche des Transformateurs a également été dispersée par les forces de l'ordre. M. Bako, un homme âgé de 69 ans a été blessé au visage.
Intervenant dans une retransmission vidéo relayée sur la page des Transformateurs, peu après les incidents autour du siège du parti, Don Ebert a déclaré : "ce pays, soit on le transforme avec les Transformateurs ou bien on ne le transforme pas avec les Transformateurs. Ça ne se fera jamais sans nous".
Des militants des Transformateurs ont présenté une dizaine de douilles de gaz lacrymogène sur un plateau.
"Le régime en place est prêt à discuter avec quelques personnes qui s'engagent dans des rébellions. Le régime en place discute avec quelques bandits de grands chemins mais il n'est pas prêt à dialoguer, discuter avec des gens comme nous qui sont totalement pacifiques", a affirmé Don Ebert, ajoutant que "cette peur de la matraque doit nous quitter".
Il a ajouté : "nous sommes violentés, nous sommes agressés, chez nous, ici au siège, avec ce genre d'armes, les gaz lacrymogènes. On a des blessés, des gens qui ont été arrêtés mais qui grâce à Dieu, ont rapidement été libérés. Il y a des gens qui sont encore arrêtés".
À Doba, une marche des Transformateurs a également été dispersée par les forces de l'ordre. M. Bako, un homme âgé de 69 ans a été blessé au visage.