En matière de classements internationaux sur la protection de l'enfance, le Tchad est souvent mal classé et confronté à des défis importants. Selon des rapports et des évaluations d'organisations internationales, le pays fait face à des problèmes tels que le travail des enfants, la malnutrition, l'accès limité à l'éducation de qualité, les mariages précoces et les abus contre les enfants.
Par exemple, dans l'Indice de Protection de l'Enfance de Save the Children, qui évalue la situation des enfants dans différents pays en fonction de facteurs tels que la santé, l'éducation, la protection et le travail des enfants, le Tchad a généralement obtenu des scores relativement bas. Bien que ces classements peuvent varier d'une année à l'autre en fonction des progrès et des initiatives prises par le gouvernement et la société civile pour améliorer la situation des enfants.
Le ministère du Genre et de la Solidarité nationale, chargé de veiller sur ces questions, semble manquer d'engagement envers cette problématique. Pourtant, la protection de l'enfance devrait être l'une de ses priorités. Ce ministère met en avant les intérêts et les droits des femmes ainsi que les célébrations qui leur sont dédiées, mais accorde moins d'attention à la question de l'enfance.
En dépit de son importance, les droits et protections de l'enfant semblent être ignorés à travers tout le pays, y compris par les plus hautes autorités. Les enfants sont laissés à leur triste sort, et des abus flagrants à leur égard se déroulent sous nos yeux. Les maltraitances, les travaux forcés imposés à des mineurs, les enlèvements d'enfants à des fins de rançon, les jeunes vendeurs ambulants, les enfants déscolarisés par manque de soutien, et même la mendicité forcée des enfants talibés, tout cela échappe au regard silencieux du ministère du Genre et de la Solidarité nationale. Des mesures urgentes doivent être prises pour mettre fin à ces violations qui entravent l'application des protocoles relatifs aux droits et protections de l'enfant.
La journée de l'enfant africain, célébrée le 16 juin de chaque année, a perdu de sa signification au Tchad en raison du manque de mobilisation de la part des parties prenantes. L'édition de 2023 démontre clairement le manque de volonté d'agir en faveur des droits et protections de l'enfant. Cette journée devrait être une opportunité de formuler des recommandations fermes au gouvernement et à ses partenaires qui s'efforcent de promouvoir le bien-être de l'enfant. Le gouvernement doit accorder une attention particulière aux traités relatifs aux droits de l'enfant afin de garantir que les mineurs jouissent de leurs droits et protections sur l'ensemble du territoire.
Plusieurs pays sont reconnus pour être respectueux des droits de l'enfant et ont mis en place des politiques et des mesures visant à assurer leur protection et leur bien-être. Certains de ces pays incluent la Norvège, la Suède, la Finlande, les Pays-Bas, le Danemark, l'Islande et la Slovénie.
Ces pays se distinguent par leurs efforts pour garantir un environnement sûr et favorable aux enfants, en mettant en place des lois et des politiques spécifiques, en investissant dans l'éducation, la santé et la protection sociale, et en impliquant activement les enfants dans les processus de décision qui les concernent. Le Tchad pourrait s'inspirer de ces pays en mettant en œuvre des mesures concrètes, sachant qu'un important pas a été réalisé avec une législation et des politiques robustes.
Par exemple, dans l'Indice de Protection de l'Enfance de Save the Children, qui évalue la situation des enfants dans différents pays en fonction de facteurs tels que la santé, l'éducation, la protection et le travail des enfants, le Tchad a généralement obtenu des scores relativement bas. Bien que ces classements peuvent varier d'une année à l'autre en fonction des progrès et des initiatives prises par le gouvernement et la société civile pour améliorer la situation des enfants.
Le ministère du Genre et de la Solidarité nationale, chargé de veiller sur ces questions, semble manquer d'engagement envers cette problématique. Pourtant, la protection de l'enfance devrait être l'une de ses priorités. Ce ministère met en avant les intérêts et les droits des femmes ainsi que les célébrations qui leur sont dédiées, mais accorde moins d'attention à la question de l'enfance.
En dépit de son importance, les droits et protections de l'enfant semblent être ignorés à travers tout le pays, y compris par les plus hautes autorités. Les enfants sont laissés à leur triste sort, et des abus flagrants à leur égard se déroulent sous nos yeux. Les maltraitances, les travaux forcés imposés à des mineurs, les enlèvements d'enfants à des fins de rançon, les jeunes vendeurs ambulants, les enfants déscolarisés par manque de soutien, et même la mendicité forcée des enfants talibés, tout cela échappe au regard silencieux du ministère du Genre et de la Solidarité nationale. Des mesures urgentes doivent être prises pour mettre fin à ces violations qui entravent l'application des protocoles relatifs aux droits et protections de l'enfant.
La journée de l'enfant africain, célébrée le 16 juin de chaque année, a perdu de sa signification au Tchad en raison du manque de mobilisation de la part des parties prenantes. L'édition de 2023 démontre clairement le manque de volonté d'agir en faveur des droits et protections de l'enfant. Cette journée devrait être une opportunité de formuler des recommandations fermes au gouvernement et à ses partenaires qui s'efforcent de promouvoir le bien-être de l'enfant. Le gouvernement doit accorder une attention particulière aux traités relatifs aux droits de l'enfant afin de garantir que les mineurs jouissent de leurs droits et protections sur l'ensemble du territoire.
Plusieurs pays sont reconnus pour être respectueux des droits de l'enfant et ont mis en place des politiques et des mesures visant à assurer leur protection et leur bien-être. Certains de ces pays incluent la Norvège, la Suède, la Finlande, les Pays-Bas, le Danemark, l'Islande et la Slovénie.
Ces pays se distinguent par leurs efforts pour garantir un environnement sûr et favorable aux enfants, en mettant en place des lois et des politiques spécifiques, en investissant dans l'éducation, la santé et la protection sociale, et en impliquant activement les enfants dans les processus de décision qui les concernent. Le Tchad pourrait s'inspirer de ces pays en mettant en œuvre des mesures concrètes, sachant qu'un important pas a été réalisé avec une législation et des politiques robustes.