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Les derniers résultats du concours d’entrée a l’école Nationale d’Administration et de la Magistrature (ENAM) publiés le 27 Aout par un arrêté signé du président de la république numéro 1525/ PR/ENAM 2014, font l’objet de critiques sans merci.
Le président des Droits de l’Homme Sans Frontière Dezoumbé Passalet Daniel, a, lors d’une conférence de presse, dénoncé et qualifié de régionalisme, d’appartenance ethnique et tribale, les résultats de ces concours. Pour lui, ces résultats qui viennent d’être publiés nous font accréditer la rumeur bien répandue en ville selon laquelle le concours est couronné par la discrimination et l’exclusion. « Ces résultats ont écarté et foulé aux pieds le sacro-principe de l’égalité de chance et a fait grandement place à la magouille et à l’injustice… » a insisté le président.
Selon le président de Droit de l’Homme sans Frontière, une violation grave des Droits de l’Homme qui est proscrit par l’article 1 de la convention Internationale sur l’élimination de toutes les formes de discrimination raciale et ethnique. Il demande, par conséquent, au ministère de la moralisation de mener des enquêtes sérieuses afin de déterminer et identifier les auteurs de cette magouille. « Annuler ces résultats et réorganiser le concours serait la seule alternative juste » précise-t-il.
Les images négatives que projette cet établissement de formation, de première nécessité administrative ne datent pas d’aujourd’hui.
Mais les contestations actuelles risqueront fort de décrédibiser l’institution et ses produits , compte-tenu de l’ampleur qu’elles prennent maintenant.
Le président des Droits de l’Homme Sans Frontière Dezoumbé Passalet Daniel, a, lors d’une conférence de presse, dénoncé et qualifié de régionalisme, d’appartenance ethnique et tribale, les résultats de ces concours. Pour lui, ces résultats qui viennent d’être publiés nous font accréditer la rumeur bien répandue en ville selon laquelle le concours est couronné par la discrimination et l’exclusion. « Ces résultats ont écarté et foulé aux pieds le sacro-principe de l’égalité de chance et a fait grandement place à la magouille et à l’injustice… » a insisté le président.
Selon le président de Droit de l’Homme sans Frontière, une violation grave des Droits de l’Homme qui est proscrit par l’article 1 de la convention Internationale sur l’élimination de toutes les formes de discrimination raciale et ethnique. Il demande, par conséquent, au ministère de la moralisation de mener des enquêtes sérieuses afin de déterminer et identifier les auteurs de cette magouille. « Annuler ces résultats et réorganiser le concours serait la seule alternative juste » précise-t-il.
Les images négatives que projette cet établissement de formation, de première nécessité administrative ne datent pas d’aujourd’hui.
Mais les contestations actuelles risqueront fort de décrédibiser l’institution et ses produits , compte-tenu de l’ampleur qu’elles prennent maintenant.