L'opinion publique estime que l'arrêté ne prend pas en compte des profils de l'ensemble des provinces du pays. Ce que le ministre reconnait mais justifie.
"Suite à notre arrêté portant nomination des chefs de détachement, beaucoup sont montés au créneau pour dénoncer ces nominations car nous aurions favorisé un groupe de nomination (...) Les gens que j'ai nommé, est-ce que ce sont des tchadiens, oui ou non ? Je suis d'accord, ce ne sont pas toutes les provinces qui sont représentées mais il faut comprendre qu'au ministère de l'Environnement, nous avons le personnel civil et militaire. L'arrêté concentre le personnel militaire", explique Mahamat Lazina.
"Mon village se trouve dans le grand Chari-Baguirmi. À l'heure où je vous parle, dans le Chari-Baguirmi, il n'y a même pas un seul général. Pour le profil de chef de détachement, il y a un certain grade qu'il faut respecter (...) Les gens qui crient sur les réseaux sociaux que je n'ai pas pris leurs parents, ils n'ont qu'à dire à leurs parents d'embrasser le métier des armes", affirme le ministre.
Mahamat Lazina reconnait qu'il y a "du boulot à faire" au sein de la garde nomade. Un chantier qu'il entend engager. Dans l'immédiat, il précise avoir demandé une dérogation au président du Conseil militaire de transition pour l'autorisation de recruter 250 agents. "Ne me faites pas un avant procès. J'ai trouvé les choses comme ça", tranche le ministre.
"Suite à notre arrêté portant nomination des chefs de détachement, beaucoup sont montés au créneau pour dénoncer ces nominations car nous aurions favorisé un groupe de nomination (...) Les gens que j'ai nommé, est-ce que ce sont des tchadiens, oui ou non ? Je suis d'accord, ce ne sont pas toutes les provinces qui sont représentées mais il faut comprendre qu'au ministère de l'Environnement, nous avons le personnel civil et militaire. L'arrêté concentre le personnel militaire", explique Mahamat Lazina.
"Mon village se trouve dans le grand Chari-Baguirmi. À l'heure où je vous parle, dans le Chari-Baguirmi, il n'y a même pas un seul général. Pour le profil de chef de détachement, il y a un certain grade qu'il faut respecter (...) Les gens qui crient sur les réseaux sociaux que je n'ai pas pris leurs parents, ils n'ont qu'à dire à leurs parents d'embrasser le métier des armes", affirme le ministre.
Mahamat Lazina reconnait qu'il y a "du boulot à faire" au sein de la garde nomade. Un chantier qu'il entend engager. Dans l'immédiat, il précise avoir demandé une dérogation au président du Conseil militaire de transition pour l'autorisation de recruter 250 agents. "Ne me faites pas un avant procès. J'ai trouvé les choses comme ça", tranche le ministre.