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Tchad: Où est passé la fibre optique?
Depuis le lancement officiel de la fibre optique, on en parle plus de la suite. Beaucoup se demandent si l’utilisation de cette technologie sera élargie au public, car on apprend que seules la Présidence et la Primatures en profitent pour le moment!
Au pays de Toumaï, l’arrivée de la fibre optique devrait changer les mauvaises habitudes en matière de la communication technologique. La téléphonie et l’internet demeurent les plus chers au Monde. Le débit internet ne répond pas à la demande de la jeunesse en rage de surfer pour dialoguer avec le Monde de l’extérieur. Nous l’avons déjà dit à plusieurs reprises qu’il faut revoir la stratégie qui consiste à aider la jeunesse à avoir accès à l’internet, à la téléphonie. Car l’internet est un des facteurs majeurs du développement et il est urgent que les autorités compétentes interviennent pour libéraliser ce marché et ne pas le laisser monopoliser par quatre opérateurs qui exploitent le manque de contrôle par l’Etat. Pour cela, il faut simplifier les démarches d’installation des sociétés nationales et étrangères, supprimer provisoirement les taxes, exonérer tous les matériels informatiques et solaires des taxes de douane.
En Ouganda, l’internet est banalisé
Prenons l’exemple de l’Ouganda qui a banaliser l’internet jusqu’à dans les zones rurales puisque ce pays a compris que l’internet est un facteur majeur de développement. C’est un pays qui a, comme le Tchad, connu quelques années de guerre. Et il a compris qu’il faut donner au plus démunies dans les zones rurales une voix grâce à l’internet pour favoriser l’alphabétisation, renforcer les développement et faire connaître les questions relatives aux droits de l’homme. C’est comme ça que l’Ouganda a élaboré un projet ambitieux en 2005. Des nombreuses personnes déplacées et des populations rurales marginalisées qui ont subi vingt ans de conflit, et dont la plupart sont analphabètes, se sont connectées avec le monde extérieur. Pour manipuler l’ordinateur et l’internet, les populations rurales sont obligées d’apprendre à lire. Elles ont compris que l’éducation est utile.
M. Brahim Alwihda actualités
Au pays de Toumaï, l’arrivée de la fibre optique devrait changer les mauvaises habitudes en matière de la communication technologique. La téléphonie et l’internet demeurent les plus chers au Monde. Le débit internet ne répond pas à la demande de la jeunesse en rage de surfer pour dialoguer avec le Monde de l’extérieur. Nous l’avons déjà dit à plusieurs reprises qu’il faut revoir la stratégie qui consiste à aider la jeunesse à avoir accès à l’internet, à la téléphonie. Car l’internet est un des facteurs majeurs du développement et il est urgent que les autorités compétentes interviennent pour libéraliser ce marché et ne pas le laisser monopoliser par quatre opérateurs qui exploitent le manque de contrôle par l’Etat. Pour cela, il faut simplifier les démarches d’installation des sociétés nationales et étrangères, supprimer provisoirement les taxes, exonérer tous les matériels informatiques et solaires des taxes de douane.
En Ouganda, l’internet est banalisé
Prenons l’exemple de l’Ouganda qui a banaliser l’internet jusqu’à dans les zones rurales puisque ce pays a compris que l’internet est un facteur majeur de développement. C’est un pays qui a, comme le Tchad, connu quelques années de guerre. Et il a compris qu’il faut donner au plus démunies dans les zones rurales une voix grâce à l’internet pour favoriser l’alphabétisation, renforcer les développement et faire connaître les questions relatives aux droits de l’homme. C’est comme ça que l’Ouganda a élaboré un projet ambitieux en 2005. Des nombreuses personnes déplacées et des populations rurales marginalisées qui ont subi vingt ans de conflit, et dont la plupart sont analphabètes, se sont connectées avec le monde extérieur. Pour manipuler l’ordinateur et l’internet, les populations rurales sont obligées d’apprendre à lire. Elles ont compris que l’éducation est utile.
M. Brahim Alwihda actualités
