Le Haut comité chargé des réformes institutionnelles (HCRI), créé par un décret présidentiel n°681, en 2016, est composé de plusieurs membres -installés officiellement par le Président de la République le 09 février 2017-, issus de la haute administration, des partis politiques et de la société civile.
Cet organe politique de pilotage des réformes institutionnelles est principalement composé de 16 membres. Qui sont-ils ?
Le Président du HCRI est le Premier ministre, chef du gouvernement. Le vice-président est le 1er Vice-président de l'Assemblée Nationale.
Le rapporteur Général est le Ministre en Charge des Réformes, tandis que le rapporteur Général 1er adjoint est le Secrétaire Général de la Primature. Le rapporteur Général 2ème adjoint est Abdelrahim Bireme Hamid, et le rapporteur Général 3ème adjoint, Sylviane Ngardoum.
15 membres figurent également dans le comité : Le ministre en charge de l'administration du territoire, le ministre en charge des finances, le ministre en charge de l'aménagement du territoire, le conseiller aux affaires juridiques à la Présidence de la République, le Directeur de Cabinet civil du Président de la République, le député Ali Kolotou Tchaimi, le député Djimet Clément Bagaou, le député Ndouababe Tomel, Djimtibaye Lapia Neldita, Abderamane Djasnabaye, Laona Gong Raoul, Assia Abbo, Mahamat Digadimbaye, Deyo Julienne, Abdoulaye Mbodou Mbami.
En fonction des points inscripts à l'ordre du jour, d'autres personnalités peuvent être conviées à prendre part aux travaux du Haut Comité.
Le HCRI est également assisté d'un Comité Technique Intermnistériel d'Appui. Par la suite, un autre comité sera mis en place avec pour mission d'organiser un Forum National de validation des réformes.
Cet organe politique de pilotage des réformes institutionnelles est principalement composé de 16 membres. Qui sont-ils ?
Le Président du HCRI est le Premier ministre, chef du gouvernement. Le vice-président est le 1er Vice-président de l'Assemblée Nationale.
Le rapporteur Général est le Ministre en Charge des Réformes, tandis que le rapporteur Général 1er adjoint est le Secrétaire Général de la Primature. Le rapporteur Général 2ème adjoint est Abdelrahim Bireme Hamid, et le rapporteur Général 3ème adjoint, Sylviane Ngardoum.
15 membres figurent également dans le comité : Le ministre en charge de l'administration du territoire, le ministre en charge des finances, le ministre en charge de l'aménagement du territoire, le conseiller aux affaires juridiques à la Présidence de la République, le Directeur de Cabinet civil du Président de la République, le député Ali Kolotou Tchaimi, le député Djimet Clément Bagaou, le député Ndouababe Tomel, Djimtibaye Lapia Neldita, Abderamane Djasnabaye, Laona Gong Raoul, Assia Abbo, Mahamat Digadimbaye, Deyo Julienne, Abdoulaye Mbodou Mbami.
En fonction des points inscripts à l'ordre du jour, d'autres personnalités peuvent être conviées à prendre part aux travaux du Haut Comité.
Le HCRI est également assisté d'un Comité Technique Intermnistériel d'Appui. Par la suite, un autre comité sera mis en place avec pour mission d'organiser un Forum National de validation des réformes.
Installation du Haut comité des reformes institutionnelles.
Les missions du HCRI
Le HCRI a pour mission de définir et exécuter les stratégies de réforme ; initier, proposer et conduire toute réforme touchant aux institutions ; élaborer un projet de nouvelle constitution ; initier et conduire tous les projets de textes relatifs aux réformes, et superviser l'organisation du Forum National de validation des réformes.
Le Haut comité des reformes institutionnelles "est tenu de déposer les conclusions de ses travaux, avant la fin du premier semestre 2017", précise la Présidence de la République.
L'appel du Premier ministre aux contributions individuelles ou collectives
Pour l'actuel Premier ministre, cette future réforme est "une formidable opportunité à toutes les forces progressistes de la nation de participer à cette réflexion collective".
Le chef du gouvernement Albert Pahimi Padacké appelle à des consultations citoyennes, notamment à travers des contributions écrites des tchadiens de l'intérieur et de l'extérieur, "qui le souhaitent, soit individuellement ou collectivement". En effet, "des consultations sous toutes les formes doivent être menées", estime-t-il.
Le Premier ministre tient à préciser que "il ne s’agira pas, bien évidemment, d’un débat uniquement d’experts ; mais aussi et surtout, d’une consultation populaire à la base dans la perspective d’un forum national où les attentes de toutes les sensibilités politiques et sociales du pays devraient être confrontées dans le respect de notre diversité."
Le HCRI a pour mission de définir et exécuter les stratégies de réforme ; initier, proposer et conduire toute réforme touchant aux institutions ; élaborer un projet de nouvelle constitution ; initier et conduire tous les projets de textes relatifs aux réformes, et superviser l'organisation du Forum National de validation des réformes.
Le Haut comité des reformes institutionnelles "est tenu de déposer les conclusions de ses travaux, avant la fin du premier semestre 2017", précise la Présidence de la République.
L'appel du Premier ministre aux contributions individuelles ou collectives
Pour l'actuel Premier ministre, cette future réforme est "une formidable opportunité à toutes les forces progressistes de la nation de participer à cette réflexion collective".
Le chef du gouvernement Albert Pahimi Padacké appelle à des consultations citoyennes, notamment à travers des contributions écrites des tchadiens de l'intérieur et de l'extérieur, "qui le souhaitent, soit individuellement ou collectivement". En effet, "des consultations sous toutes les formes doivent être menées", estime-t-il.
Le Premier ministre tient à préciser que "il ne s’agira pas, bien évidemment, d’un débat uniquement d’experts ; mais aussi et surtout, d’une consultation populaire à la base dans la perspective d’un forum national où les attentes de toutes les sensibilités politiques et sociales du pays devraient être confrontées dans le respect de notre diversité."