La route, longue de 100,81 km, est cofinancée par la Banque africaine de développement (BAD), la Banque de développement des États de l’Afrique centrale (BDEAC) et l’État tchadien. Les travaux sont exécutés par l’entreprise CGCOC. Malheureusement, des problèmes ont été constatés, notamment une dégradation précoce de la couche de roulement en certains endroits.
Actuellement, l’entreprise a posé 28,703 km de béton bitumineux (goudron), mais celui-ci présente « des fissures et des affaissements sur la chaussée », a regretté le ministère des Infrastructures. Des propositions de changement de la structure de la chaussée sont en cours d’approbation. Il est envisagé de remplacer la couche en sol ciment par de la grave concassée pour améliorer la durabilité de la route.
Des discussions sont en cours concernant les fonds supplémentaires nécessaires pour mettre en œuvre cette nouvelle structure. Le Ministre des Infrastructures et du Désenclavement est déterminé à concrétiser ces améliorations pour assurer la sécurité et la qualité de la route transsaharienne au Tchad.
Actuellement, l’entreprise a posé 28,703 km de béton bitumineux (goudron), mais celui-ci présente « des fissures et des affaissements sur la chaussée », a regretté le ministère des Infrastructures. Des propositions de changement de la structure de la chaussée sont en cours d’approbation. Il est envisagé de remplacer la couche en sol ciment par de la grave concassée pour améliorer la durabilité de la route.
Des discussions sont en cours concernant les fonds supplémentaires nécessaires pour mettre en œuvre cette nouvelle structure. Le Ministre des Infrastructures et du Désenclavement est déterminé à concrétiser ces améliorations pour assurer la sécurité et la qualité de la route transsaharienne au Tchad.