
Samir Adam Annour, président de la Cour suprême. Crédits : DR
Le président de la République, après avis du président de l'Assemblée nationale, décrète que Samir Adam Annour est désigné président de la Cour suprême. L'intéressé est reconduit à la tête de l'institution à la suite de la nouvelle réforme de la constitution.
Au terme d'un second acte du chef de l'Etat, plusieurs membres de la Cour suprême sont nommés. Il s'agit de : Abakar Mahamat Abakar, Ndoubaidi Samadingar François, Abdelnasser Harouna, Abdrahmane Mohammed, Ali Abdoulaye Ibrahim, Amadou Oumarou Moustapha, Djédéboum Ngardidimbaye, Djimadimbaye Kantanga, Djimet Akouya, Dr. Hassan Mahamat Idriss, Hamid Atim, Issa Sokoye, Kéné Foba, Mahamat Adam Hassabalnebi, Mahamat Adoudou Alhazam, Mahamat Ahmat Dogo, Mahamat Nadjib Boukhari, Mahamat Saleh Ibrahim, Mahamat Aouaré Neissa, Mbaïguedem Kémian, Memsalah Fetoum Amoursalla, Moukthar Hissein Moukhtar, Mme. Assia Mahamat Habbo, Fatimé Assara Abdoulaziz, Hélène Lambatim, Massal Donongar, Népité Dossoum Popé, Ngoyam Beradingar, Zara Brahim Mahamat Itno, Inditama Baninga, Djarketé Djidingar, Gartabé Bertoloum, Nguénéloum Terkam, Noubatongar Siakam, Ousman Mamadou Afanou, Oumarou Djibrine, Rakidji Ngomdibaye, Souroumbaye Djidabion, Taptilo Nguelembaye, Tahir Abderahman Haggar.
Au terme d'un troisième décret n°1358, 21 conseillers référendaires sont nommés à la Cour suprême.
Par ailleurs, le chef de l'Etat, sur proposition du ministre de la Justice et des Droits humains, après avis du bureau de la Cour suprême, nomme Mohammed Alfadil Abakar au poste de secrétaire général de la Cour suprême. Pour sa part, Darkem Joseph est nommé secrétaire général adjoint.
A l'issue du forum des réformes institutionnelles et de la réforme constitutionnelle, la Cour suprême reprend désormais les attributions de la Haute Cour de Justice et de la Cour de comptes.
Au terme d'un second acte du chef de l'Etat, plusieurs membres de la Cour suprême sont nommés. Il s'agit de : Abakar Mahamat Abakar, Ndoubaidi Samadingar François, Abdelnasser Harouna, Abdrahmane Mohammed, Ali Abdoulaye Ibrahim, Amadou Oumarou Moustapha, Djédéboum Ngardidimbaye, Djimadimbaye Kantanga, Djimet Akouya, Dr. Hassan Mahamat Idriss, Hamid Atim, Issa Sokoye, Kéné Foba, Mahamat Adam Hassabalnebi, Mahamat Adoudou Alhazam, Mahamat Ahmat Dogo, Mahamat Nadjib Boukhari, Mahamat Saleh Ibrahim, Mahamat Aouaré Neissa, Mbaïguedem Kémian, Memsalah Fetoum Amoursalla, Moukthar Hissein Moukhtar, Mme. Assia Mahamat Habbo, Fatimé Assara Abdoulaziz, Hélène Lambatim, Massal Donongar, Népité Dossoum Popé, Ngoyam Beradingar, Zara Brahim Mahamat Itno, Inditama Baninga, Djarketé Djidingar, Gartabé Bertoloum, Nguénéloum Terkam, Noubatongar Siakam, Ousman Mamadou Afanou, Oumarou Djibrine, Rakidji Ngomdibaye, Souroumbaye Djidabion, Taptilo Nguelembaye, Tahir Abderahman Haggar.
Au terme d'un troisième décret n°1358, 21 conseillers référendaires sont nommés à la Cour suprême.
Par ailleurs, le chef de l'Etat, sur proposition du ministre de la Justice et des Droits humains, après avis du bureau de la Cour suprême, nomme Mohammed Alfadil Abakar au poste de secrétaire général de la Cour suprême. Pour sa part, Darkem Joseph est nommé secrétaire général adjoint.
A l'issue du forum des réformes institutionnelles et de la réforme constitutionnelle, la Cour suprême reprend désormais les attributions de la Haute Cour de Justice et de la Cour de comptes.