A l’instar des autres quartiers reculés de N djaména, Gassi est de plus en plus victime de braquages à mains armées de moto quotidiennement. Ceci à cause du manque d’électricité. Le plus regrettable et flagrant délit date du 19 septembre 2011, quand (....)
Face cette situation combien de fois pitoyable, si l’Etat ne réagit pas à temps pour prendre des mesures disciplinaires et draconiennes, ce quartier sera toujours la proie des bandits de tout poids, c’est ainsi qu’unanimement ses habitants sollicitent le concours du gouvernement en demandant la multiplication des nombres de policiers , gendarmes et armées afin de restaurer l’ordre et la quiétude...... Lire l'intégralité de l'article dans la parution du journal du jeudi 29 septembre 2011
Bokade Moise