En visite à N'djamena, le milliardaire canadien d'origine pakistanaise, Monsieur Saleem Ahmed, a animé, vendredi, dans l'après-midi, une conférence de presse, à l'hôtel Kempinski. Au cours de la conférence de presse, le milliardaire pakistanais a tenu à rassurer la jeunesse tchadienne que leur pays est sur la bonne voie du développement industriel. Monsieur Saleem Ahmed était assisté par son représentant au Tchad Mr. Béchir Abouchere. Ce dernier qui est lui même actif dans le monde des affaires et conseiller au ministère du commerce, a réussi à convaincre plusieurs hommes d'affaires étrangers à venir investir au Tchad.
L'homme d'affaires pakistanais s'est dit surpris de la stabilité et la sécurité au Tchad. " Avant de venir au Tchad, j'avais une très mauvaise image de ce pays. C'était une image d'insécurité, de violence et d'instabilité. Aujourd'hui, je découvre un pays en plein développement. Je me suis promené à pieds dans les rues de N’Djamena sans s'inquiéter. J'ai constaté une jeunesse animée par la volonté de développer le pays, une jeunesse active. C'est pourquoi, j'ai décidé d'investir dans ce pays". Répondant à la question de savoir si l'installation d'une usine de textile est rentable pour lui? L'homme d'affaire pakistano canadien reconnait que dans toute affaire, le début est difficile. Il prend l'exemple de son installation à Dubaï. " Quand j'ai décidé de m'installer à Dubaï, j'ai eu des difficultés mais quand j'ai persévéré, j'ai réussi. En ce moment, les affaires marchent bien et Dubaï est devenu pour moi un centre de distribution pour les pays voisins et autres", a souligné Monsieur Saleem Ahmed..............suivre le détail de la conférence de presse lundi matin dans le journal d'Alwihda actualités
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Tchad: Un milliardaire pakistanais spécialiste en textile investit au Tchad
Alwihda Info | Par Djamil Ahmat - 19 Février 2012
" Avant de venir au Tchad, j'avais une très mauvaise image de ce pays. C'était une image d'insécurité, de violence et d'instabilité. Aujourd'hui, je découvre un pays en plein développement. Je me suis promené à pieds dans les rues de N’Djamena sans s'inquiéter. J'ai constaté une jeunesse animée par la volonté de développer le pays, une jeunesse active. C'est pourquoi, j'ai décidé d'investir dans ce pays".
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