Dans son discours de bienvenue, la maire de la ville de N’Djamena, Fatime Douga Batchiré, a déclaré : "Nous sommes heureux, ainsi que nos concitoyens, que notre ville soit électrifiée. Je me réjouis aujourd’hui de voir le vœu le plus ardent de notre peuple en train de se réaliser. Aujourd’hui, nous sommes déjà en train de mettre cela sur les rails."
Ce programme vise à augmenter l’accès à l’électricité de 6% à 30% au Tchad d’ici 2027. Il concerne la ville de N’Djamena, 12 villes desservies par la Société nationale d’électricité (SNE), des zones rurales et des villes non desservies par la SNE, des centres de santé et des écoles, ainsi que des camps de réfugiés et des communautés d’accueil.
L’électrification se fera via des systèmes solaires domestiques, des systèmes solaires autonomes, la densification et l’extension du réseau existant, la mise à disposition de moyens de cuisson propres et la réhabilitation de 400 hectares de terres dégradées par la coupe de bois de chauffage.
Le ministère de l’Eau et de l’Énergie informe que ce programme permettra d’électrifier environ 1.000.000 de ménages, 850 centres de santé et 700 écoles. "Nous sommes conscients que nous devons redoubler d’efforts pour que ce secteur névralgique et stratégique soit promu et diversifié sans limites," a déclaré le ministre de l’Eau et de l’Énergie, Passalé Kanabé Marcelin.
Dans son discours de lancement des travaux, le Premier ministre, Allah-Maye Halina, représentant le président de la République, a souligné que ce programme "marque une étape décisive pour la concrétisation du chantier n°7 du programme du président de la République pour lequel il a été élu."
Financé par la Banque mondiale à travers son association internationale de développement (IDA), ce programme comprend le Projet d’accroissement de l’accès à l’énergie au Tchad, le Projet d’intervention régionale d’urgence en énergie solaire et le Projet d’interconnexion des réseaux électriques du Cameroun et du Tchad. Le coût total s’élève à 460 millions de dollars américains (don). Les travaux dureront, selon le projet, entre 15 et 18 mois.
Ce programme vise à augmenter l’accès à l’électricité de 6% à 30% au Tchad d’ici 2027. Il concerne la ville de N’Djamena, 12 villes desservies par la Société nationale d’électricité (SNE), des zones rurales et des villes non desservies par la SNE, des centres de santé et des écoles, ainsi que des camps de réfugiés et des communautés d’accueil.
L’électrification se fera via des systèmes solaires domestiques, des systèmes solaires autonomes, la densification et l’extension du réseau existant, la mise à disposition de moyens de cuisson propres et la réhabilitation de 400 hectares de terres dégradées par la coupe de bois de chauffage.
Le ministère de l’Eau et de l’Énergie informe que ce programme permettra d’électrifier environ 1.000.000 de ménages, 850 centres de santé et 700 écoles. "Nous sommes conscients que nous devons redoubler d’efforts pour que ce secteur névralgique et stratégique soit promu et diversifié sans limites," a déclaré le ministre de l’Eau et de l’Énergie, Passalé Kanabé Marcelin.
Dans son discours de lancement des travaux, le Premier ministre, Allah-Maye Halina, représentant le président de la République, a souligné que ce programme "marque une étape décisive pour la concrétisation du chantier n°7 du programme du président de la République pour lequel il a été élu."
Financé par la Banque mondiale à travers son association internationale de développement (IDA), ce programme comprend le Projet d’accroissement de l’accès à l’énergie au Tchad, le Projet d’intervention régionale d’urgence en énergie solaire et le Projet d’interconnexion des réseaux électriques du Cameroun et du Tchad. Le coût total s’élève à 460 millions de dollars américains (don). Les travaux dureront, selon le projet, entre 15 et 18 mois.