La coordination des actions citoyennes Wakit Tamma a exprimé vendredi son indignation et sa vive protestation face aux actes de tortures dont a été victime le président du Parti Réformiste, Yacine Abderamane Sakine. L’opposant avait été arrêté le 19 mai à N’Djamena lors d’une marche pacifique. Il a été relâché le lendemain et admis d’urgence à l’hôpital de l’Amitié Tchad-Chine.
« Il a été encagoulé et conduit dans un commissariat qu’il croit être le CSP n°2, où il a été sauvagement torturé avant d’être abandonné au CSP n°12, à l’autre extrémité de la ville », explique Me. Max Loalngar, coordonnateur des actions citoyennes.
Wakit Tamma dénonce et condamne ces actes répétitifs. Elle interpelle la communauté internationale et le Procureur de la République « sur la nécessité d’ouvrir les portes des prisons et des centres de détention à la visite des institutions en charge des questions de monitoring des droits humains ».
« Il a été encagoulé et conduit dans un commissariat qu’il croit être le CSP n°2, où il a été sauvagement torturé avant d’être abandonné au CSP n°12, à l’autre extrémité de la ville », explique Me. Max Loalngar, coordonnateur des actions citoyennes.
Wakit Tamma dénonce et condamne ces actes répétitifs. Elle interpelle la communauté internationale et le Procureur de la République « sur la nécessité d’ouvrir les portes des prisons et des centres de détention à la visite des institutions en charge des questions de monitoring des droits humains ».