Gontran Baba et Dourba ne cessent de surprendre leur public avec des scénarios inattendus. Ces deux maîtres de scène sont bien connus à N'Djamena grâce à des titres tels que "Mbo Nia", "Jow Sey", "New School Power" et bien d'autres encore.
Inséparables à première vue, Dourba et Gontran Baba sont cousins et partagent la même passion débordante. Ils se lancent dans des improvisations en freestyle entre eux et devant leur public. "Djow Sey" est devenu un slogan reconnaissable par de nombreux fans, symbolisant l'état d'ivresse qui engendre un flow de rap original.
Ces deux rappeurs du Clan Mati Walif sont tous deux originaires de la communauté Kim, et ils mettent en valeur leur langue à travers leur musique, tout en utilisant également des langues populaires telles que l'arabe et le ngambaye.
"Petit, tu ne connais pas les Kim ou quoi ?" est également un slogan récurrent dans leurs chansons. La plupart de leurs titres racontent les expériences vécues par les jeunes de la capitale.
Ces jeunes talents sont très passionnés par leur carrière. Malheureusement, l'entrepreneuriat culturel dans ce pays est masqué par son manque de soutien gouvernemental, ce qui crée de nombreux obstacles pour les artistes. Le secteur est corrompu, ce qui entrave leur progression.
Inséparables à première vue, Dourba et Gontran Baba sont cousins et partagent la même passion débordante. Ils se lancent dans des improvisations en freestyle entre eux et devant leur public. "Djow Sey" est devenu un slogan reconnaissable par de nombreux fans, symbolisant l'état d'ivresse qui engendre un flow de rap original.
Ces deux rappeurs du Clan Mati Walif sont tous deux originaires de la communauté Kim, et ils mettent en valeur leur langue à travers leur musique, tout en utilisant également des langues populaires telles que l'arabe et le ngambaye.
"Petit, tu ne connais pas les Kim ou quoi ?" est également un slogan récurrent dans leurs chansons. La plupart de leurs titres racontent les expériences vécues par les jeunes de la capitale.
Ces jeunes talents sont très passionnés par leur carrière. Malheureusement, l'entrepreneuriat culturel dans ce pays est masqué par son manque de soutien gouvernemental, ce qui crée de nombreux obstacles pour les artistes. Le secteur est corrompu, ce qui entrave leur progression.