Cet atelier de deux jours s’est ouvert le 28 octobre 2024 à N’Djamena à Ledger Plaza, et a regroupé les partenaires des départements techniques, les services et projets de la Croix-Rouge du Tchad (CRT) qui interviennent dans le domaine de la migration, les autorités et partenaires conviés de la province du Batha, les représentants des communautés migrantes bénéficiaires du projet, et les membres des équipes techniques nationales de la CRT et les conseils techniques de la Croix-Rouge Britannique qui a pour objectif de capitaliser les leçons apprises lors des interventions précédentes, en matière d'amélioration de la qualité des services humanitaires offerts aux migrants.
Il vise également à diffuser les résultats de l'évaluation menée à Oum-Hadjer et à Abéché, afin d'optimiser les futures interventions, et de renforcer la réponse humanitaire, face aux besoins des migrants.
Dans son mot introductif, le président de la Croix-Rouge du Batha, Assileck, Abdelkrim Abakar, a rappelé que ce projet a été élaboré sur la base des résultats de l’évaluation menée dans le Batha (ATI), du 12 au 15 avril 2022. Cette dernière a permis d’avoir une meilleure compréhension du contexte de migration, ainsi que des besoins et des vulnérabilités des migrants dans le Batha.
La Croix-Rouge du Tchad et la Croix-Rouge Britannique, ainsi que leurs partenaires, proposent de contribuer à répondre en temps réel, aux besoins immédiats des populations migrantes en transit, et des membres vulnérables des communautés hôtes à Ati, Yao et Abou Hadjilid, indépendamment de leur statut (partant, revenant, transit, longue durée, rapatrié).
Car pour lui, cet atelier servira de cadre de réflexion au renforcement de la synergie entre la CRB et la CRT, ainsi qu’avec les autres acteurs du niveau central, et permettra à terme d’améliorer l’accompagnement de l’assistance aux migrants souffrants des troubles psychologiques graves et/ou victimes de Violences Basées sur le Genre.
Ouvrant les travaux, le coordinateur national de la Croix-Rouge du Tchad représentant le président Yacoub Mahamat Allamine a souligné que cet atelier revêt une importance capitale, car le partenariat qui lie les deux sociétés en dépend.
« Vous aurez deux jours durant à passer en revue tous les sujets qui seront soumis à votre appréciation. Mais je voudrais d’ores et déjà saluer les énormes efforts consentis par les responsables de la Croix-Rouge Britannique et de la Croix-Rouge du Tchad et les volontaires pour venir en aide à aux migrants vulnérables et les familles d’accueil. Car selon lui, le Mouvement Croix-Rouge et Croissant-Rouge est le plus vaste réseau humanitaire au monde. Il œuvre avant, pendant et après les catastrophes et les urgences pour répondre aux besoins et améliorer les conditions d’existence des populations vulnérables. Il le fait de façon impartiale. C’est ainsi, ne s’est pratiquement pas passé de jour sans un cruel rappel des terribles dangers auxquels sont exposés les migrants, en particulier lorsqu’ils s’aventurent. Les multiples manifestations de soutien auxquelles nous apportons sont, certes un puissant réconfort, mais cette crise humanitaire est là pour durer », a-t-il a martelé.
Pour finir, Yacoub Mahamat Allamine a demandé aux participants qu'à la sortie de cet atelier les acquis, les succès et les leçons apprises du projet sont documentés et partagés avec l’équipe du projet, et avec les autres acteurs clés de l’intervention. Les bonnes pratiques (exemple d’une expérience réussie) sont documentées par les participants à travers les fiches de partage d’expérience.
Des propositions de mesures correctives pour l’avenir sont identifiées à l’issue de l’analyse des difficultés, contraintes et gaps. Les besoins non couverts sont identifiés, analysés et des actions appropriées pour y pallier, sont proposées et les défis majeurs et la valeur ajoutée de la réponse apportée sur la base de l’approche du Mouvement CR, sont identifiés et analysés.
Il vise également à diffuser les résultats de l'évaluation menée à Oum-Hadjer et à Abéché, afin d'optimiser les futures interventions, et de renforcer la réponse humanitaire, face aux besoins des migrants.
Dans son mot introductif, le président de la Croix-Rouge du Batha, Assileck, Abdelkrim Abakar, a rappelé que ce projet a été élaboré sur la base des résultats de l’évaluation menée dans le Batha (ATI), du 12 au 15 avril 2022. Cette dernière a permis d’avoir une meilleure compréhension du contexte de migration, ainsi que des besoins et des vulnérabilités des migrants dans le Batha.
La Croix-Rouge du Tchad et la Croix-Rouge Britannique, ainsi que leurs partenaires, proposent de contribuer à répondre en temps réel, aux besoins immédiats des populations migrantes en transit, et des membres vulnérables des communautés hôtes à Ati, Yao et Abou Hadjilid, indépendamment de leur statut (partant, revenant, transit, longue durée, rapatrié).
Car pour lui, cet atelier servira de cadre de réflexion au renforcement de la synergie entre la CRB et la CRT, ainsi qu’avec les autres acteurs du niveau central, et permettra à terme d’améliorer l’accompagnement de l’assistance aux migrants souffrants des troubles psychologiques graves et/ou victimes de Violences Basées sur le Genre.
Ouvrant les travaux, le coordinateur national de la Croix-Rouge du Tchad représentant le président Yacoub Mahamat Allamine a souligné que cet atelier revêt une importance capitale, car le partenariat qui lie les deux sociétés en dépend.
« Vous aurez deux jours durant à passer en revue tous les sujets qui seront soumis à votre appréciation. Mais je voudrais d’ores et déjà saluer les énormes efforts consentis par les responsables de la Croix-Rouge Britannique et de la Croix-Rouge du Tchad et les volontaires pour venir en aide à aux migrants vulnérables et les familles d’accueil. Car selon lui, le Mouvement Croix-Rouge et Croissant-Rouge est le plus vaste réseau humanitaire au monde. Il œuvre avant, pendant et après les catastrophes et les urgences pour répondre aux besoins et améliorer les conditions d’existence des populations vulnérables. Il le fait de façon impartiale. C’est ainsi, ne s’est pratiquement pas passé de jour sans un cruel rappel des terribles dangers auxquels sont exposés les migrants, en particulier lorsqu’ils s’aventurent. Les multiples manifestations de soutien auxquelles nous apportons sont, certes un puissant réconfort, mais cette crise humanitaire est là pour durer », a-t-il a martelé.
Pour finir, Yacoub Mahamat Allamine a demandé aux participants qu'à la sortie de cet atelier les acquis, les succès et les leçons apprises du projet sont documentés et partagés avec l’équipe du projet, et avec les autres acteurs clés de l’intervention. Les bonnes pratiques (exemple d’une expérience réussie) sont documentées par les participants à travers les fiches de partage d’expérience.
Des propositions de mesures correctives pour l’avenir sont identifiées à l’issue de l’analyse des difficultés, contraintes et gaps. Les besoins non couverts sont identifiés, analysés et des actions appropriées pour y pallier, sont proposées et les défis majeurs et la valeur ajoutée de la réponse apportée sur la base de l’approche du Mouvement CR, sont identifiés et analysés.