Cette mission de terrain a pour objectif de rendre plus visible les actions mise en œuvre par ces différentes organisations, faire le point sur ce qui a déjà été fait et ce qui reste à faire. Le site de Indiklia situé à 16 km de Kekidina a accueilli ce 14 avril 2022 la délégation de ses experts.
On découvre un site de 75 personnes où plusieurs d'entre elles ont reçu des appuis de différents ordres. Notamment dans l'installation d'infrastructures pour la campagne maraichère et le renforcement des capacités et de la résilience, expliquent les experts.
L'objectif sur ce site est de lutter contre "l'ensablement et la dévastation des cultures", souligne Bethléem Tchipkere Bari. Il précise que la campagne maraichère débute en octobre et s'achève en avril.
On découvre un site de 75 personnes où plusieurs d'entre elles ont reçu des appuis de différents ordres. Notamment dans l'installation d'infrastructures pour la campagne maraichère et le renforcement des capacités et de la résilience, expliquent les experts.
L'objectif sur ce site est de lutter contre "l'ensablement et la dévastation des cultures", souligne Bethléem Tchipkere Bari. Il précise que la campagne maraichère débute en octobre et s'achève en avril.
Le responsable du projet Confluence initié par l'Association d'actions pour la recherche du développement du Kanem (ARDEK), Bethléem Tchipkere Bari, révèle que "c'est un projet sous-régional qui est implanté dans 5 pays francophones". Au Tchad, c'est la province du Kanem qui en est le bénéficiaire. Le projet est piloté par Action contre la Faim et l'ARDEK.
Un projet qui vient en "appui des autres projets existants à travers l'amélioration des actions mises en place notamment dans les domaines de la santé, de l'alimentation et de l'éducation", détaille Bethléem Tchipkere Bari.
De manière concrète, le responsable du projet Confluence énumère les actions déjà menées sur le terrain. Elles concernent "l'aménagement de Wadi, le renforcement des capacités autour des thèmes liés à la sécurité alimentaire, la dotation des matériels de production des cultures et de transformation à certains bénéficiaires". Mais pour Bethléem Tchipkere Bari, ces actions menées dans le Kanem sont en phase "d'expérimentation et nécessitent qu'on les étendent à d'autres zones d'intervention".
Un projet qui vient en "appui des autres projets existants à travers l'amélioration des actions mises en place notamment dans les domaines de la santé, de l'alimentation et de l'éducation", détaille Bethléem Tchipkere Bari.
De manière concrète, le responsable du projet Confluence énumère les actions déjà menées sur le terrain. Elles concernent "l'aménagement de Wadi, le renforcement des capacités autour des thèmes liés à la sécurité alimentaire, la dotation des matériels de production des cultures et de transformation à certains bénéficiaires". Mais pour Bethléem Tchipkere Bari, ces actions menées dans le Kanem sont en phase "d'expérimentation et nécessitent qu'on les étendent à d'autres zones d'intervention".
Bethléem Tchipkere Bari lance un appel aux différents partenaires techniques et financiers pour "multiplier leurs apports afin de pouvoir atteindre l'objectif visé".
Sur le site d'Indikilia, les bénéficiaires n'ont pas manqué de témoigner "leur gratitude". Ils se sont dits "satisfaits'' du projet implémenté ici depuis 5 à 6 mois. Néanmoins, des difficultés persistent et sont liées "aux insectes et animaux qui détruisent les cultures", signalent les bénéficiaires. Seule solution à ce problème : "la construction des clôtures" afin "d'empêcher la dévastation des cultures".
Autres difficultés et non des moindres : "l'absence d'outils pour la transformation et le manque de moyens de transport ainsi que de centres de santé, sans oublier les écoles primaires". La problématique de l'accès aux soins de santé est primordiale, insistent les populations. En cas d'urgence, le malade est condamné à mourir, se désolent des habitants.
Sur le site d'Indikilia, les bénéficiaires n'ont pas manqué de témoigner "leur gratitude". Ils se sont dits "satisfaits'' du projet implémenté ici depuis 5 à 6 mois. Néanmoins, des difficultés persistent et sont liées "aux insectes et animaux qui détruisent les cultures", signalent les bénéficiaires. Seule solution à ce problème : "la construction des clôtures" afin "d'empêcher la dévastation des cultures".
Autres difficultés et non des moindres : "l'absence d'outils pour la transformation et le manque de moyens de transport ainsi que de centres de santé, sans oublier les écoles primaires". La problématique de l'accès aux soins de santé est primordiale, insistent les populations. En cas d'urgence, le malade est condamné à mourir, se désolent des habitants.