Le raid du 10 mai 2008 contre le SOUDAN menée conjointement par des rebelles soudanais et des éléments de la Garde Républicaine de IDRISS DEBY n’est pas un acte conjoncturel, il correspond parfaitement à une politique délibérée de notre incorrigible va-t-en-guerre national qui a pris en otage le Tchad et le peuple tchadien depuis décembre 1990 et cherche depuis à mettre au pas ses voisins.
Faut-il en effet rappeler les aventures guerrières à mettre au débit de notre potentat: TOGO, RD CONGO(ZAÏRE), CONGO (BRAZZAVILLE), CENTRAFRIQUE, sans oublier un obscur épisode au LIBERIA et en SIERRA LEONE. Un « beau palmarès » en somme pour celui que ses lobbyistes français affublent de « Napoléon tchadien ».
C’est ce fauteur de guerre impénitent que la France de SARKOZY et KOUCHNER a entrainé toute l’EUROPE à soutenir, et voilà que le premier forfait est commis sous le regard bienveillant de l’EUFOR. Gageons que le décompte ne fait que commencer, et on est en droit de se demander à quels autres excès et péripéties IDRISS DEBY est en train de songer sous son parapluie européen. Les condamnations de Paris ainsi que de Washington sont le comble de l’hypocrisie diplomatique de la part de ceux qui se sont donné pour mission de stopper au Soudan, d’enrayer en Afrique le nouveau « péril jaune », spectre qui menacerait les intérêts mercantiles occidentaux.
Que tout cela est triste pour le peuple tchadien et le peuple soudanais d’abord, dont les intérêts économiques et sociaux et le droit à la démocratie et à la liberté sont relégués aux oubliettes, et pour tous les peuples de la région ensuite ! Pour la paix et la tranquillité dans la zone, il faut soigner le mal à la racine, c'est-à-dire changer de régime par tous les moyens et amener le tyran brutal qui a mis à sac son propre pays à rendre des comptes.
L’Union des Forces pour le Changement qui ne s’est jamais fait d’illusions sur IDRISS DEBY et son régime clanique, ni sur sa gestion calamiteuse du pouvoir condamne avec force l’expédition contre la capitale soudanaise. Aucune exportation délibérée ou autre expédition militaire hors de nos frontières ne sauraient dissimuler tous les soulèvements et rebellions qui illustrent la funeste gouvernance consacrée il y a plus de dix huit ans. Aucune aventure ou provocation n’empêchera d’y apporter l’unique solution que notre peuple et ceux de la région appellent de tous leurs voeux : la fin volontaire ou forcée de la dictature clanique au TCHAD.
Le 11 Mai 2008.
ADOUM YACOUB Kougou
Coordinateur National de l’U.F.C.
Président du Conseil du F.P.R.N.
Faut-il en effet rappeler les aventures guerrières à mettre au débit de notre potentat: TOGO, RD CONGO(ZAÏRE), CONGO (BRAZZAVILLE), CENTRAFRIQUE, sans oublier un obscur épisode au LIBERIA et en SIERRA LEONE. Un « beau palmarès » en somme pour celui que ses lobbyistes français affublent de « Napoléon tchadien ».
C’est ce fauteur de guerre impénitent que la France de SARKOZY et KOUCHNER a entrainé toute l’EUROPE à soutenir, et voilà que le premier forfait est commis sous le regard bienveillant de l’EUFOR. Gageons que le décompte ne fait que commencer, et on est en droit de se demander à quels autres excès et péripéties IDRISS DEBY est en train de songer sous son parapluie européen. Les condamnations de Paris ainsi que de Washington sont le comble de l’hypocrisie diplomatique de la part de ceux qui se sont donné pour mission de stopper au Soudan, d’enrayer en Afrique le nouveau « péril jaune », spectre qui menacerait les intérêts mercantiles occidentaux.
Que tout cela est triste pour le peuple tchadien et le peuple soudanais d’abord, dont les intérêts économiques et sociaux et le droit à la démocratie et à la liberté sont relégués aux oubliettes, et pour tous les peuples de la région ensuite ! Pour la paix et la tranquillité dans la zone, il faut soigner le mal à la racine, c'est-à-dire changer de régime par tous les moyens et amener le tyran brutal qui a mis à sac son propre pays à rendre des comptes.
L’Union des Forces pour le Changement qui ne s’est jamais fait d’illusions sur IDRISS DEBY et son régime clanique, ni sur sa gestion calamiteuse du pouvoir condamne avec force l’expédition contre la capitale soudanaise. Aucune exportation délibérée ou autre expédition militaire hors de nos frontières ne sauraient dissimuler tous les soulèvements et rebellions qui illustrent la funeste gouvernance consacrée il y a plus de dix huit ans. Aucune aventure ou provocation n’empêchera d’y apporter l’unique solution que notre peuple et ceux de la région appellent de tous leurs voeux : la fin volontaire ou forcée de la dictature clanique au TCHAD.
Le 11 Mai 2008.
ADOUM YACOUB Kougou
Coordinateur National de l’U.F.C.
Président du Conseil du F.P.R.N.