Le salon international de l’artisanat tchadien (SIAT) s’est ouvert ce lundi 14 octobre 2019 à l’hôtel Radisson Blu. L’évènement a été ouvert par le ministre d’Etat, ministre secrétaire général de la Présidence de la République, Kalzeubet Pahimi Deubet.
Cette première édition est organisée par l’Office national de promotion du tourisme, de l’artisanat et des arts (ONPTA), en collaboration avec la plateforme Tchad Inter’ Art.
« L’artisanat est une richesse économique comme l’agriculture, l’élevage et la pêche. Je ne cite pas la culture et le tourisme car c’est l’artisanat qui aiguillonne le développement culturel et touristique. Notre pays, à l’image de nombreux pays du continent, accorde une place de choix au secteur de l’artisanat », a déclaré le ministre d’Etat.
Selon lui, « cette politique volontariste a eu sa plein manifestation, au plan institutionnel, par la création d’un ministère dédié à la promotion de l’artisanat. Dans le sillage de cette mission, un certain nombre d’actions stratégiques ont été menées à l’effet de donner une impulsion nouvelle à l’artisanat, comme le prouve la tenue de ce salon international qui est une occasion pour tous les artisans tchadiens de valoriser les produits issus de leur création, et au-delà de montrer toute l’étendue de la richesse culturelle et artistique de notre pays. »
L’organisation en marge de ce salon d’un atelier de validation de la politique nationale de développement de l’artisanat, hautement stratégique, est extrêmement important pour moderniser ce secteur et le rendre plus performant et attractif, a estimé Kalzeubet Pahimi Deubet.
Il a également ajouté qu’il est « évident que l’artisanat tchadien n’a pas encore atteint son âge d’or. En plaçant ce salon sous le thème « l’Artisanat tchadien : défis et perspectives », c’est pour dire que l’art ne peut prospérer s’il ne subit pas la transformation positive du temps. Tout enfermement est dangereux pour l’art qui doit vivre et se nourrir du contact tout en gardant sa propre authenticité et son originalité. Il importe de se pencher sur la question de distribution organisée et optimale des produits de l’artisanat. »
Selon la ministre de la Culture, du Développement touristique et de l’Artisanat, Madeleine Alingué, « cette rencontre permet aux acteurs artisanaux d’échanger pour la promotion et la modernisation de l’artisanat tchadien. L’avenir de l’artisanat tchadien sera défini au cours de ces échanges. Place sous le thème « l’artisanat tchadien, défis et perspectives », le salon se propose d’apporter des solutions aux problèmes qui minent le développement de ce secteur. »
Cette première édition est organisée par l’Office national de promotion du tourisme, de l’artisanat et des arts (ONPTA), en collaboration avec la plateforme Tchad Inter’ Art.
« L’artisanat est une richesse économique comme l’agriculture, l’élevage et la pêche. Je ne cite pas la culture et le tourisme car c’est l’artisanat qui aiguillonne le développement culturel et touristique. Notre pays, à l’image de nombreux pays du continent, accorde une place de choix au secteur de l’artisanat », a déclaré le ministre d’Etat.
Selon lui, « cette politique volontariste a eu sa plein manifestation, au plan institutionnel, par la création d’un ministère dédié à la promotion de l’artisanat. Dans le sillage de cette mission, un certain nombre d’actions stratégiques ont été menées à l’effet de donner une impulsion nouvelle à l’artisanat, comme le prouve la tenue de ce salon international qui est une occasion pour tous les artisans tchadiens de valoriser les produits issus de leur création, et au-delà de montrer toute l’étendue de la richesse culturelle et artistique de notre pays. »
L’organisation en marge de ce salon d’un atelier de validation de la politique nationale de développement de l’artisanat, hautement stratégique, est extrêmement important pour moderniser ce secteur et le rendre plus performant et attractif, a estimé Kalzeubet Pahimi Deubet.
Il a également ajouté qu’il est « évident que l’artisanat tchadien n’a pas encore atteint son âge d’or. En plaçant ce salon sous le thème « l’Artisanat tchadien : défis et perspectives », c’est pour dire que l’art ne peut prospérer s’il ne subit pas la transformation positive du temps. Tout enfermement est dangereux pour l’art qui doit vivre et se nourrir du contact tout en gardant sa propre authenticité et son originalité. Il importe de se pencher sur la question de distribution organisée et optimale des produits de l’artisanat. »
Selon la ministre de la Culture, du Développement touristique et de l’Artisanat, Madeleine Alingué, « cette rencontre permet aux acteurs artisanaux d’échanger pour la promotion et la modernisation de l’artisanat tchadien. L’avenir de l’artisanat tchadien sera défini au cours de ces échanges. Place sous le thème « l’artisanat tchadien, défis et perspectives », le salon se propose d’apporter des solutions aux problèmes qui minent le développement de ce secteur. »
Un secteur d’activité représentatif de la diversité
Le coordonnateur de l’ONPTA, Abakar Rozzi Teguil, a indiqué que « promouvoir l’artisanat, c’est aussi se préoccuper de son devenir, de ses acteurs, de son poids dans la société Tchadienne et en Afrique », tout en rappelant que « nous célébrons aujourd’hui l’un des secteurs d’activité le plus prolifique et le plus représentative de la diversité de nos multiples identités tchadiennes ».
« Les produits issus de l’artisanat tchadiens sont d’une excellente qualité, d’une belle précision et surtout ne polluent pas, ce fameux label ‘’hand made’’, gage d’authenticité d’un produit prisé par une clientèle internationale en quête de qualité », a-t-il indiqué.
Selon lui, « en marge des marchés internationaux, nous devrons aussi convaincre nos compatriotes de consommer les produits artisanaux locaux en créant un label de qualité tchadien. »
« A nous de créer les conditions pour rendre l’artisanat tchadien viable, visible et attractif. Travailler sur ses structures, son organisation, sa rentabilité et son image pour qu’il soit séduisant à plus d’un titre. Le SIAT doit être un point de départ pour toutes les réflexions qui apporteront les changements souhaités par tous », a-t-il ajouté.
Plusieurs activités prévues pendant trois jours
Durant trois jours, plusieurs conférence et ateliers vont se tenir simultanément avec des panelistes venus de l’intérieur et de l’extérieur, notamment l’atelier de validation de la Politique nationale de l’artisanat et du Code de l’artisanat ; ou encore des panels en arabe sur le rôle de l’artisanat dans l’économie et le patrimoine artisanal comme moyen de promouvoir le tourisme au Tchad.
Neuf pays sont représentés à cette rencontre artisanale qui va se poursuivre jusqu’au 16 octobre 2019.
Le coordonnateur de l’ONPTA, Abakar Rozzi Teguil, a indiqué que « promouvoir l’artisanat, c’est aussi se préoccuper de son devenir, de ses acteurs, de son poids dans la société Tchadienne et en Afrique », tout en rappelant que « nous célébrons aujourd’hui l’un des secteurs d’activité le plus prolifique et le plus représentative de la diversité de nos multiples identités tchadiennes ».
« Les produits issus de l’artisanat tchadiens sont d’une excellente qualité, d’une belle précision et surtout ne polluent pas, ce fameux label ‘’hand made’’, gage d’authenticité d’un produit prisé par une clientèle internationale en quête de qualité », a-t-il indiqué.
Selon lui, « en marge des marchés internationaux, nous devrons aussi convaincre nos compatriotes de consommer les produits artisanaux locaux en créant un label de qualité tchadien. »
« A nous de créer les conditions pour rendre l’artisanat tchadien viable, visible et attractif. Travailler sur ses structures, son organisation, sa rentabilité et son image pour qu’il soit séduisant à plus d’un titre. Le SIAT doit être un point de départ pour toutes les réflexions qui apporteront les changements souhaités par tous », a-t-il ajouté.
Plusieurs activités prévues pendant trois jours
Durant trois jours, plusieurs conférence et ateliers vont se tenir simultanément avec des panelistes venus de l’intérieur et de l’extérieur, notamment l’atelier de validation de la Politique nationale de l’artisanat et du Code de l’artisanat ; ou encore des panels en arabe sur le rôle de l’artisanat dans l’économie et le patrimoine artisanal comme moyen de promouvoir le tourisme au Tchad.
Neuf pays sont représentés à cette rencontre artisanale qui va se poursuivre jusqu’au 16 octobre 2019.