L'achat de conscience, campagne de tromperie et promesses fallacieuses ne sont plus à décrire. Tous ces signes prouvent que les jeunes affiliés aux partis politiques sont instrumentalisés.
Malgré les engagements non honorés et le manque de vision envers cette dernière. Beaucoup de jeunes se reconnaissent encore dans certains partis politiques, et dans leur mobilisation, ils font de la publicité pour ceux-là. La manipulation politique des jeunes est une réalité au Tchad.
Cependant, pour avoir un poste dans le pays, il faut nécessairement appartenir à un parti influent. Tout porte à croire que la majorité de ces jeunes jouent à la politique du ventre. Même si le mot alternance ne fait pas partie de l'agenda de plusieurs partis politiques, la jeunesse est utilisée comme couverture. Au regard du manque d'emploi, le difficile accès à la Fonction publique, les partis attirent les jeunes par l'emploi, ce qui devient un jeu d'attraction.
Désormais, un jeune qui veut vivre doit porter le cachet des politiciens. L'exemple le plus énervant porte sur les remerciements à l'égard de président du Comité Militaire de Transition, Mahamat Idriss Déby pour la deuxième vague d'intégration à la Fonction publique, adressés par le président du Conseil national de la jeunesse du Tchad (CNJT), Abakar Allamine Dangaya.
C'est de l'injure à l'égard de la jeunesse, un gouvernant incapable de créer de l'emploi aux gouvernés doit jeter l’éponge. La démission, c’est notamment ce à quoi a fait allusion Moussa Mahamat Faki, dans son discours du 20 août, en reprenant une célèbre phrase.
Ce phénomène n'est pas nouveau, beaucoup de jeunes profitent de cet achat de conscience, au détriment de la souffrance des autres jeunes. À 50 ans, certains diplômés vivent encore sous la tutelle des parents. Quel est donc le sens du diplôme ?
La jeunesse actuelle doit prendre conscience, afin de faire primer l'intérêt général, au lieu de l'intérêt individuel. Sinon, c'est autant trahir les autres, au profit de son ventre. Car celui qui donne sa voix à un corrompu est complice, dit-on. Avant d'adhérer à un parti politique, il faut penser à une lutte collective.
Malgré les engagements non honorés et le manque de vision envers cette dernière. Beaucoup de jeunes se reconnaissent encore dans certains partis politiques, et dans leur mobilisation, ils font de la publicité pour ceux-là. La manipulation politique des jeunes est une réalité au Tchad.
Cependant, pour avoir un poste dans le pays, il faut nécessairement appartenir à un parti influent. Tout porte à croire que la majorité de ces jeunes jouent à la politique du ventre. Même si le mot alternance ne fait pas partie de l'agenda de plusieurs partis politiques, la jeunesse est utilisée comme couverture. Au regard du manque d'emploi, le difficile accès à la Fonction publique, les partis attirent les jeunes par l'emploi, ce qui devient un jeu d'attraction.
Désormais, un jeune qui veut vivre doit porter le cachet des politiciens. L'exemple le plus énervant porte sur les remerciements à l'égard de président du Comité Militaire de Transition, Mahamat Idriss Déby pour la deuxième vague d'intégration à la Fonction publique, adressés par le président du Conseil national de la jeunesse du Tchad (CNJT), Abakar Allamine Dangaya.
C'est de l'injure à l'égard de la jeunesse, un gouvernant incapable de créer de l'emploi aux gouvernés doit jeter l’éponge. La démission, c’est notamment ce à quoi a fait allusion Moussa Mahamat Faki, dans son discours du 20 août, en reprenant une célèbre phrase.
Ce phénomène n'est pas nouveau, beaucoup de jeunes profitent de cet achat de conscience, au détriment de la souffrance des autres jeunes. À 50 ans, certains diplômés vivent encore sous la tutelle des parents. Quel est donc le sens du diplôme ?
La jeunesse actuelle doit prendre conscience, afin de faire primer l'intérêt général, au lieu de l'intérêt individuel. Sinon, c'est autant trahir les autres, au profit de son ventre. Car celui qui donne sa voix à un corrompu est complice, dit-on. Avant d'adhérer à un parti politique, il faut penser à une lutte collective.